fête de fin d'année

Alors qu'il mangeait à sa guise au milieu de l'affolement général, Al' ne comprenait pas ce qu'il se passait et n'en avait cure, il avait de quoi manger et il mangerai. Le temps passa, la salle se vida pour ne laisser qu'une pièce vide, désolée, les décorations festives avaient étés piétinés, les chaises et les couverts renverser. Quelle folie avait pue les prendre au dépourvu e tant de mages?

Etrange... Bon, au moins je peux manger en paix....

Alors qu'il ingurgitait diverse substance, il se retourna vers l'elfe qui l'avait interrogé.

Euh.... on se connait? C'est curieux, j'ai l'impression de vous avoir déjà vu... Peut ête un cousin.. ah non. Tanpis. Je m'appelle Al', je suis pas d'ici et je suis là parce que j'ai vu la ville et j'voulait voir un peu à quoii ça ressemblait.
Dites, il se passe quoi au juste?

Sarius répondit à Arga:

"Je vais emmener les femmes et les enfants à l'académie je pense que tu pourras nous rejoindre là bas."

Puis il s'adressa à Elanor:

"Bon es que vous pourriez regroupé les femmes et les enfants le temps que je garde quel chemin est le plus sûr au cas où les Ktanirs rentrerais dans la cité. Mais au retour il faudra passé par l'armurerie pour que je puisse récupéré mon armure et peut être vous passer une protection"

Puis il sorti une carte de la ville qu'il avait piqué à l'académie un jour à la bibliothèque, il regarda quel chemin menait à l'académie sans passé trop près des porte.

Je me leva de la chaise quand l'annonce fut faite, une attaque? Parait, vraiment bien organiser cet journée, mais la salle ce vida rapidement, je me tourna vers le dénommé Al', qui mangeait toujours , et lui expliqua la situation:
"Une attaque ennemie en ce jour de fête , et bien voilà qui tombe à pique, nous verrons si vous savez vous battre "
J'eus un léger sourire en regardant la porte de sortie , là au dehors une horde d'ennemie attendait d'être combattue, et bien j'arrive !

Al' haussa les épaules, il continua de mager quelques instant, finit son assiette, puis, fixa l'elfe.

Me battre? Pourquoi? Il y a une guerre ici? C'est vraiment étrange la ville, il y a toujours de problèmes. D'ailleurs, qui on doit combattre?

Al' regarda une dernière fois le feu qui luisait, étouffé par le manque de combustible. Tous s'étaient éclipsé, il n'avait plus rien à faire ici. Il s'essuya avec sa serviette et rejoind Darl.

Dites, si on doit combattre, j'pourrais peut être copnaître votre nom, vous ne pensez pas?

Je m'avança un peu et me retourna vers Al':
"les ennemies sont les knatirs, tu dois les connaîtres, surtout si tu as traversé le pays pour venir ici, sinon appele moi tapette[ou darl]"
Je me retourna et avança la sortis, il est temps de combattre, se défoulait, et tuer !

Sarius était partit comme il l’avait dit devant. Elanor, tenta de regrouper peu à peu les enfants et les femmes présents. Il faut dire que dans la panique, c’était un peu complexe. Au prit d’un large effort elle créa sur sa bure un flash de lumière intense. Elle le baissa doucement, mais le garda lumineux. Elle avala sa salive, maintenant elle avait une poignée de seconde pour les apaiser et surtout s’imposer. Elle écarta ses longues manches nimbées de lumière.

Peuple de Girk’an, femmes et enfant ! Suivez la lumière ! Suivez-moi. Nous allons nous abriter à l’Académie. Ne paniquez pas.

Prenez les enfants par la main ! Mettez-vous en file.

Vous croyez au miracle ? moi oui. Peu à peu, les femmes et les enfants furent regrouper et je n’en fut pas peu fière. Ensuite, sortir, Le petit groupe derrière la clerc à la robe de lumière sortir de la salle. Dans les rues, un désordre sans nom régnait. Elanor craignit un instant qu’elle gagne son groupe. Elle intensifia légèrement la lumière et se retourna un instant vers le groupe.

Courage, A l’Académie nous serons en sécurité, suivez-moi et tout ira bien.

Un instant j’analysai la foule de visage tendu vers moi. Peur, elles avaient peur. C’était assez étrange de me retrouver devant eux, devant ses visages, tous différent et si homogène. Lentement, nous avons commencé la progression dans les rues. Quelques femmes et enfant se sont joint à nous. Un homme en arme arriva à cheval, un cheval à la robe blanche pommelée de gris. Il piaffait, apeuré par le climat tendu et baigné de panique. Il sauta lestement et m’aborda.

Que faites-vous Dame ?

Il affichait un air de.. soldat, semblant visiblement attendre des instructions. Je faillis lui dire sa méprise, que je n’étais que l’apprentie de la guérisseuse, mais cela aurait pris du temps.

Je suis Elanor Anàrion je travail à l’Académie, je conduis les femmes et enfants pour les y mettre à l’abri.

Il réfléchit un instant et m’enjoignit de monter à cheval, il me fit la courte échelle et pris les rênes.

Femmes et enfants, suivez la Lumière, venez à l’Académie !

Ah, évidemment, si j’avais eu une aussi grosse voix que lui, s’aurait été plus facile. Je regardais l’agitation de la ville et soudain un souvenir m’aborda, un souvenir paisible, un automne sous un érable pourpre, avec ses parents, je secouais la tête, ce n’était pas le moment. Pour l’instant, je me tenais à la tête d’une petite troupe de femme et d’enfant, sur un cheval tenu en bride par un soldat dans ma robe illuminée. Je guettais du regard si je voyais Sarius.

Al' passa à son tour la porte et fit signe à Darl de le suivre. Ensemble, ils avançaient dans la ville d'un pas méfiant, près à se battre à n'importe quel moment. Le temps passa, Al' voyait des gens courir dans toutes les directions, affolés par l'alarme qui venait de retentir. Il ne comprenait vraiment pas ce qu'il y avait de si terrible à fuir, à vrai dire, il n'avait jaamsi rencontré de ces créatures dont Darl lui avait cité le nom auparvant mais dont il ne se souvenait pas.

/ Bon alors, j'avais pris à gauche puis à droite.... euh non, j'avais suivit les panneaux, c'est ça !/
Il comptait retourner à l'académie quand soudain, un lumière blanche s'éleva et une voie retenti pour les entrainer dans cette direcrtion, celle de l'académie. Dès lors, la foule se canalisa vers le faiseau lumineux qui rayonnait sous la nuit étoilé mais sans lune.

Une fois au pied de l'académie, Al' se rappella d'une chose: le dernier sort qu'il avait réaliser en touchant le maître shaman./ Je me demande s'il m'en veut toujours... Je crois que oui, il vaiat pas l'air d'apprécier.... moi aussi j'aurai pas apprécié... ouai mais il l'avait bien chercher tout de même... en plus j'aimai pas son bob à rayures vertes... mieux vaut aller ailleurs/

Je crois qu'on devrait aider les défenseurs à tenir la muraille le temps que ces mau... gens soient à l'abri. Qu'est-ce que tu en penses tapette?

N'attendant pas de réponse de l'elfe, il se retourna et changea subitement de direction. Ils refirent donc le trajet inverse. Sur la route, il vit unepetite fille qui pleurait dans un coin, seule et visiblement abandonné. Curieux, il alla à sa rencontre.

Dis moi, ils sont où tes parents? Qu'est ce que tu fais ici et toute seule?

La petite fille se retrourna vers lui, elle était orpheline et c'était bien la première fois qu'une personne ne s'interesse à elle. Elle répondit entre deux sanglots:

Je sais pas, j'ai , jai, je n'ai jamais vu mes parents... J'ai pas d'abri, aidez moi monsieur, s'il vous plait.

Et bien t n'a cas qu'a suivre tout les gens qui courent, il vont se réfugier en lieu sur, il paraît que des monstres ou je ne sait trop quoi va arriver en ville.

Il se retourna, perplexe, plus personne ne courait, tous étaient barricadés chez eux où sur les murailles.

Bon bah va par là.

Dit-il en montrant la haute tour de l'académie s'élever dans les cieux. Elle s'exécuta.
/ Curieuse petite fille... elle à pas de parents? C'est possible de naîtr sans parents?/
Puis il reporta son attention autour de lui, plus personne n'était là et il ne savais absolument pas où ils se trouvaient.

Je crois qu'on c'est perdu... c'est ennuyeux....

Sarius qui attendait Elanor un peu plus loin dans une ruelle, il la vie enfin elle était accompagné de toutes les femmes et de tous les enfants qu'il y avait dans la salle des fêtes, il y avait aussi un soldat de la ville. Sarius avait eut vent que les ennemis était rentré dans la cité mais il ne s'avait pas si c'était vrai ou pas. Il vie Arga dans le ciel qui volait en direction des murailles. Quand Elanor arriva près de lui il dit:

"Bien je vois que tu t'es plutôt bien débrouiller, j'ai trouvé un chemin qui ne s'approche pas des portes."

Il avait préféré la tutoyer car celà était plus rasurant surtout en temps de guerre. Puis il s'adressa au soldat:

"Je vous demande de trouver environ 10 soldats pour nous aidé à escorter ces citoyens à l’abri, j'ai eu vent que les Ktanirs serraient peut être rentré dans la cité pendant que nous tous le monde était à la fête."

Quelque minute plus tard le cavalier revient avec les 10 soldats demandés, il arrivait aussi avec deux autre chevaux qu'il proposa à Sarius et Elanor. Ils monterent et partirent.

Puis la troupe parti en direction de l'académie qui se trouvait de l'autre côté de la ville donc il faudrait environ une demi heure pour y aller malheureusement se temps était amplement suffisant au Ktanirs de défoncé les portes si cela n'était pas encore fait.
Il regarda Elanor qui semblait un peu plus confiante qu’au début.

Sarius était en tête du convoi avec Elanor et le cavalier. Pour le moment à par les quelques citoyen apeurés qui se joignaient à eux, il n'y avait pas trop d'activité, la majorité des soldats devait se trouvait devant la porte. Il commença à pleuvoir se qui rendait le moment encore plus sinistre que se qu'il était déjà, malheureusement ils n’avaient rien pour se couvrir, voyant que Elanor n'avait que une simple robe il lui proposa son manteau équipé d'une capuche. Le trajet dura environ 20 minute jusqu'a se qu'ils arrivent enfin à l'académie, les citoyens rentrerent dans le batiment, les soldats partirent vers les murailles. Sarius se trouna vers Elanor et lui demanda:

"Esque tu veus aller combattre ou restait ici à l'abri, moi je vais aller aidé les soldats, si tu veu venir avec moi tu peus."

Il attendit la réponse de Elanor avant de partir.

Avec la pluit l'orage arriva, il vit un éclair frappé le sol à plusieur dizaine de kilomètre. Il se demanda pourquoi tout sa arrivait ici et pourquoi maintenant, était-il maudit à moins que un dieu soit en colere contre eux personne ne le saura jamais, la seul chose que les historiens retiendront c'est si la cité était tombée ou pas, et cette destinée était entre les mains des défenseurs de la cité et également de Sarius et de tout les aventuriers courageux que la cité contenait

Hrpg: je pense que on peut faire la suite dans un autre topic vut que on est plus dans la salle des fêtes.

suite ici :

https://mageetdemon.actifforum.com/batailles-f13/bataille-contre-les-ktanir-t214.htm#2554