fête de fin d'année

Oh, c'est assez simple... vous êtes le Maître Pyromage...

Elle lui adressa un sourire taquin.

Ne me dite pas que vous êtes une personne banale et inconnue.

Quand la guerre a détruit ma vie, prit ma mère puis mon père... je me suis réfugiée ici. Etant donné que j'ai certaine faculté, je suis entrée à l'Académie. Pour ainsi dire, je ne vous connais point du tout. Votre réputation vous précède sir.

Elle se tourna vers l'homme et s'assit en lui souriant.

Au moins d'ici je ne trébucherais pas. C'est fou ce que je suis maladroite. J'ai bien réfléchit à votre question. Elle implique une réponse personnelle. Je m'en vais quand même vous la fournir.

Monsieur, ce qui me fait plaisir n'existe pas ou alors simplement je ne le vois pas. Ceci est une vertu de l’humain. Je ne vais pas transgresser là-dessus. Chaque jour, je pleure la douleur de mon peuple et de la Déesse. J'ai.. J’ai une qualité qui fait mon plus grand malheur. Si vous pouviez ressentir la douleur des autres en les touchant qu'en penseriez vous ? Imaginez, je vous touche et je ressens la moindre de vos blessures. Physique entendons bien. Les blessures morales sont au-dessus de mon don.

Je suis née dans un petit village, ma mère est morte là-bas. Mon père est mort plus tard. Je suis la seule survivante. La guerre détruit tout.

Mais je sais, je sais et c'est là mon unique motivation : je sers la Déesse.

Je suis clerc, je travail à l'Académie. Récemment j'ai réussit à entrer en apprentissage chez la guérisseuse.

Finalement, je veux faire quelque chose pour que cesse ce massacre. Pour qu'un jour, je puisse fermer les yeux sereinement. Car l'homme est égoïste et je le suis. Finalement, je suis comme tout le monde...

Tout au long de son récit, ses yeux exprimaient tout le désespoir du monde.

La guerre détruit tout. La guerre a détruit ma vie. La guerre est un déséquilibre...

Elle écrasa son point sur son genou.

C'est pathétique, la Déesse ne m'a pas pourvue d'un corps solide. Je suis maladroite, donnez--moi une tape dans le dos et je valdingue.

C’est ainsi… et c’est là ma seule sagesse… et c’est pourquoi Elle m’a choisie, nous croyons tous en quelques choses n’est-ce pas ? Et c’est ce qui fait ses combats, car toutes les croyances ne prônent la tolérance.

C’est ainsi que sont fait les hommes et toutes les races de la Terre.

Bon, bon… je vais cesser de vous importuner…

Elle se leva et planta son regard dans celui de l’humain. Ses iris gris semblèrent lumineux, comme s’il cherchait à découvrir quelque chose. Elle se pencha finalement à son oreille et chuchota de façon à ce que lui seul l’entende.

Monsieur, j’ignore tout de vous-même votre nom, vous savez beaucoup de moi… pourtant, il y a quelque chose chez vous… si vous souhaitez me parler, je me tiendrais près de cette colonne là-bas.

Elle indiqua ladite colonne et s’éloigna.

Messieurs, je vous souhaite un agréable moment.

Il y avait quelque chose chez ce jeune homme qui la troublait. Elle haussa les épaules, elle était encore entrain de se faire un film et il allait la prendre pour je ne sais quoi…

Ne fesant que s'ennuyeux, Al' avait aussi appris à écouter, écouter tout et n'importe quoi, ce qui le mettait souvent dans des situations embarrassantes et périlleuses. Cependant, le monologue de la demie-elfe n'était pas quelque chose qui pourrait le mettre en danger. Il réfléchis à ses paroles,pourquoi? Par envie de compassion, par respect pour la comprendre? Non, tout simplement parce qu'il n'avait rien d'autre à faire, de toute façon, il se rendit vite compte qu'ici, les seuls choses possibles étaient, d'attendre le repas, dancer ou parler. Autant dire que c'était d'un ennuie mortel lorsque l'on arrive seul à se genre de festivétés.

/ « La guertre détruit tout »... bah oui, sinon ce ne serait pas la guerre mais la paix. J'aime bien la paix...
Elle est clerc et travail à l'académie... c'est un lieu étrange que l'académie, en plus Hurahara va surement me faire mal si j'y retroune....

« Monsieur, ce qui me fait plaisir n'existe pas ou alors simplement je ne le vois pas »... Elle est aveugle? Non sinon elle pourrait pas se déplacer sans canne... bizard....

« C'est pathétique, la déesse ne m'a pas pourvue d'un corps solide. Je suis maladroite, donnez moi un coup et je valdingue »... Faut que j'essaye pour voir.../

Puis vint une phrase qui le fit penser à haute voie.

« Messieurs, je vous souhaite un agréable moment. »

Sa va être dur, il n'on encore rien servit à manger...

Tout à coup il se sentit étrangement seul lorsque plusiseur mages le regardèrent, perplexes devant ce jeune insolent. Cependant, Al' n'avait cure de ce que les autres pouvaient penser de lui. Il les regarda un à un à son tour pour finallement reporter son attention sur le feu.

/ Elles sont jolies ces flammes.../

Sarius avait écouté attentivement la jeune femme, qui après une plus ample observation était un demi-elfe tout comme lui. Puis elle se leva et lui dit que si il avait encore envi de parler avec elle, après se qu'elle lui avait dit, il pouvait la rejoindre pour parler.
Il resta assis quelque instant car il vit le jeune singlé se faire menacé par Arga puis parler tout seul, le jeune homme était vraiment très bizarre.

Sarius décida de se levait et d'aller voir Elanor, il comprenait un peu se qu'elle ressentait, tout les deux avaient été séparé de leur famille elle par la guerre et lui par la haine que lui portaient les jeunes de son village, Sarius avait dût partir du village après un événement peu glorieux.
Il arriva devant Elanor et lui dit:

"Excusez moi, je ne me suis pas présenté, je me nomme Sarius Khan, je suis l'armurier de la ville, je fais parti des nombreux magelame, je suis un Demi-elfe.
Mon père qui était un elfe est reparti chez les sien en nous laissant ma mère et moi, un jour je fus exilé du village, mère en mourut de chagrin. Puis il met arrivé quelque chose d'horrible quelque année après qui ma permit d'en connaître plus sur la magie mais je préférerais ne pas en parlé."

Les personnes rassemblait dans la salle parlait et discutait, de tout et n'importe quoi. A 14h , heures tardives pour un repas, des personnes arrivérent charger de victuailles.
il déposérent un plat delicatemebt sur chaque assiette, un plateau était deposé au dessus de chaque assiette, ce qui permettait de ne pas voir le contenu.
Des bouteille diverses était deposé sur les tables, des bouteille d'alcool, d'eau, de jus de fruit, etc...
Puis les personnes preparant le repas repartirent

Arganalth vit les serveurs mettre les plats sur les tables sans rien dévoiler, comme prévu, ils ramenèrent aussi des boissons, la par contre il avait plus qu'on ne pouvait l'espérer. Il ne devait presque pas y en avoir.
Il voulut donc se rendre à table car il commençait à avoir faim, un ventre de dragon sa se nourrit... De plus il n'y aura sûrement pas assez dans son assiette il faudra qu'il remange après.

Il se rendit voir Sarius
Etant donné que le repas est servit veut tu venir te joindre à moi pour manger?

Puis il se tourna vers Elanor qui se trouvait prés de lui
Voudriez vous vous joindre à moi pour que l'ont fasse plus ample connaissance?

Semi-elfe... Elanor tressaillit, il faudrait qu'elle fasse des progrès pour se camoufler.

Vous comprendrez que je n'aime pas vraiment me citer ma nature de semi-elfe à haute voix. Pas que je fasse un déni, mais il est plus simple de me faire passer pour humaine. Question d'habitude.

Si vous ne souhaitez pas en parler, ne vous en forcer pas. Je ne vous demande rien. J'ai simplement eu l'intuition... qu'il y avait quelque chose. Je ne sais pas trop quoi, c'est très faible et c'est juste mon imagination qui me joue un tour.

Cela me ravi de rencontrer un semi-elfe.

Si vous avez besoin de mon aide ou quelque soin, vous saurez ou me trouver, je ne bouge pas de l'Académie.

Mais si vous avez des dispositions magiques, nous nous croiserons peut-être. J'ai quelque temps libre que je passe à la bibliothèque, venez me voir si l'enve vous en dit.

La jeune femme sourit, elle était heureuse de cette rencontre qui bizarrement, la faisait se sentir moins seule. Evidemment, elle savait qu’elle n’était pas la seule à souffrire, mais cela faisait toujours quelque chose de rencontrer un semblable. Enfin, il n’avait pas l’air très bavard.

Puis le maître pyromancien arriva et leur proposa de venir manger. Elle adressa un regard à Sarius, puis se tourna vers le dragon.

Eh bien, pourquoi pas, je vous accompagne.

edit : encore grillééée

Sarius vit Arga arrivait, ce dernier leur proposa d'aller s'asseoir, il regarda Elanor, puis il partir tous les trois à la table où il y avait les autres.

Sarius était plutôt content c'était la première fois qu'il voyait quelqu'un de sa race. Il fur surpris que Elanor lui dise qu'il y avait quelque chose de bizarre en lui, peut être qu'elle avait plus de pouvoir que ce qu'elle disait ou ne pensait, avait tel sût lire en lui et desseller le secret qu'il garde au plus profond de son âme: le secret du magie disparut depuis longtemps, seul Arga était au courant de se secret et encore pas complètement, ou peut être qu'elle avait ressenti que pendant plusieurs année il avait abrité un résidu de cette magie, mais ce dernier était maintenant parti, enfin il l'espérait.

Il regarda Elanor et dit:

"Quels sont ces runes que vous avez sur votre visage, il me semble les avoir déjà vu mais je ne sais où ?"

Il était sûr d'avoir déjà vut ces symboles, peut être pendant ces long voyage, soudain la mémoire lui revint, il les avait vut dans un temple ou une église dédier à une déesse alors qu'il traverser un village en ruine.

Edit: j'ai éditer se message.

Les runes... Ce sont des Signes. Ils sont nés il y a peu de temps. Cela est en rapport avec ma religion. Il est possible que vous ayez déjà croisé quelqu'un qui en portait.

Elles sont le symbole de mon avancement sur la Voie Sacrée, c'est à dire la volonté de la Déesse.

Lorsque j'étais très jeune, mon père à effectuer un rite, je n'en connais pas exactement les détails, pour l'instant. Le fait est que ces signes se développent en fonction de nos actes.

Je ne vais pas vous faire un cours de théologie.

Sarius était intéressé par ces signes. Il dit à Elanor:

"Il me semble que j'ai vu ces signe mais pas sur une personne, ils étaient gravés sur un mur d'une église ou d'un temple en ruine, je l'ai découvert quand je voyageais dans le monde, dans ce temple il y avait une statue elle représentait une déesse dont je ne connais pas le nom. Ce temple de trouvait dans un village qui était également en ruine."

Soudain il ressentait une douleur dans son avant bras, la douleur était minime, il avait déjà senti cette douleur, c'était quand il se trouvait dans se temple peut y avait t-il un rapport.

Il reporta son attention sur Elanor en attendant une réaction à ces paroles, peut être espérait t-il que la statue qui avait vu représentait la déesse de la jeune femme mais il se demandait si cela ne pourrait être dangereux pour lui en sachant se qui lui était arrivait au temple.

La journée pourrait être très bien vu les événement qu'il s'y passe, déjà une jeune femme m'avait bousculé avant de parler au pyromancien, mais le pire , c'est son manque de respect, pas une excuse, rien...La jeune femme était à visage découvert et laissait apparaître d'étrange rune sur son jeune visage:
*Il faudra que je me renseigne sur ce genre de marques...*
Puis arriva un jeune mage en kimono qui palpait les écaille du demi-dragon, quand Arganalth lui gronda dessus comme un gamin il eut l'air surpris et bafouilla des excuses avant de s'éloigner du groupe qui était à présent étrange , ils discutèrent tous et enfin les repas furent servies et je m'installa un peu à l'écart à une table de deux chaise, mais aucune n'était occupée. Je m'installa donc et jeta un regard sur la salle, sans me rendre compte qu'une personne arriva:

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"Puis-je m'installer ici?"
Je regarda cet personne, une jeune femme ...Non, une jeune elfe au visage rayonnant et aux cheveux d'un léger gris, habillé d'une élégante robe de soie noir strié de gris.
"Euh....Oui bien sur...Si vous etes seul ,car sinon il n'y aurait pas asser de place."
Elle me regarda un instant et afficha un sourire puis répondit d'une voix douce:
"Je suis seul pour cet soirée, je vien d'arriver en ville, merci pour la place.
J'essaya lamentablement de sourire et heureusement que le jeune mage en Kimono était là plus loin en train de préparer je ne sais quoi, je m'excusa auprès de l'elfe en lui demandant de garder cet place pour moi et me dirigea vers le jeune mage...

Arganalth allait donc à table avec Elanor et Sarius, il y'avait une table ou il y'avait encore 3 place de libre.
Il se demandait ce qu'il y'avait dans le plat , il n'avait pas regardé dans les autres ce qu'il y'avait. il souleva et vit que c'était de la sauté de biche servit avec des pommes de terres finemment rafiné, parsemé de persil.
Un plat léger, bon c'était peut être simple mais il fallait la payer et la trouver la nourriture pour tout la ville...
Et vu cet hiver rude la viande devait être dur à trouver, c'est vrai que le demi dragon n'était pas allé chassez depuis un bout de temps...
bon le plat avait quand même l'air appetissant un doux arôme en emmané.
Il dit donc à Sarius et à Elanor:

Bon appétit!

Il commença donc à manger petit à petit, mais il se rendit compte qu'un abruti avait inversé ses couvert...
Il avait deux couteaux il dit donc

est ce que l'un de vous à deux fourchettes? Un sot à changer mes couverts

Al' s'ennuyait de plus en plus en plus quand tout à coup vinrent des plats. Malgré les cloches de métal qui les dissimulait, il savait rien qu'à l'odeur que ce serait très bon, voir excellent. A l'idée de manger enfin pour la première fois de la journée, il ne put résiser à l'envie de voir l'étrange et merveilleux contenu que renfermaient chacuns de ces plats.

Sans plus tarder, voyant que personne ne semblait vouloir toucher à la nourriture, intrigué, il ne retira pas le couvercle avec la main mais grâce à son sort de magnétisme. Levant doucement la cloche de métal, il la saisit finallement quand il vut d'aurte mage se servir.

Là se tenaient d'épaisses et odorantes tranches de viande, sans plus attendre, il s'en servit deux et put commencer à déguster la chair tendre de la viande saignante. C'était d'ailleur surement le seul à posséder encore un couteau et une fourchette et cela l'amusa de voir des mages s'accuser l'un l'autre en se rendant leurs couverts respectifs.

Ayant reprit des force, il continua son divertissment des couverts hantés et des mages se retrouvait à mordre dans le vide, leur fourchette disparaissant de leurs mains.
Devant les accusations hazardeuses de l'assemblée, il ne put s'empêcher de rire quelques secondes.

Elanor tandis distraitement une fourchette au maître et lui pris un couteau. Elle était captivée par le jeune homme. En vérité, son esprit d'analyse marchait à plein temps. Elle ne s'attendait pas à avoir une conversation intéressante. Cela classa même au second plan le maître. Décidément, ce jeune homme était très intéressant. Sa curiosité était piquée au vif. S'il ne venait pas la voir, c'est elle qui irait à lui.

Vous savez, les temples sont très rares ! Mais si les signes correspondent, c'est bien un sanctuaire de ma religion que vous avez visité. Dans quelle circonstance cela s'est-il passé ?

Comment était-ce ? En ruine.. C’est triste. Pourtant, je suis heureuse d'en parler, c'est plutôt rare... il faut dire que la guerre nous a éparpillé et surtout, nous n'étions pas en contact avec d'autres membres.

Elle mangea distraitement en attendant la réponse. Evidement, comme ils s'étaient isolé dans ce petit village, Elanor n'avait pas de contact avec un "clergé". En bref, il n'y en avait pas. Aucun dogme, simplement un ensemble uni autour d'Elle. La jeune femme réfléchissait, finalement, elle en savait peu elle-même sur ses origines, et il allait peut-être lui apporter des éléments de réponse.

Sarius regarda le plat qui était devant lui, il prit sa fourchette et son couteau qui n'avait disparut eux et il coupa un morceau de viande, elle était asse bonne, de la biche, il avait eu l'occasion d'en manger quand il avait traversé un petit village asse agréable.

Il reporta son attention sur Elanor quand elle lui répondit, il essaya de se rappeler de l'endroit où était le village en ruine puis il dit:

"Et bien c'était il y a 2 ans je voyageais souvent à se moment là, le village se trouvait dans les montagnes au nord près de la frontière. Je suis arrivé dans ce village il pleuvait beaucoup donc je me suis abrité dans le temple qui avait encore un toit et c'est là que j'ai vu ces signes. Il y avait aussi un étrange livre que je n’ai pas sût le déchiffrer peut être que vous vous y arriverez."

La douleur à son bras c'était atténué mais elle lui faisait encore mal, il se demandait d'où cela pouvait venir.
Soudain il vit entré dans la salle ces apprentis à l'armurerie il y avait Sarah, son frère Aldo et Kalhan. Ils saluèrent l'armurier et partirent s'asseoir à une table tout les trois.

J'approcha du jeune mage rapidement et lui murmura:
"Il me semble quand même bizarre que seul vous ayez[zeya] vos couvert et que seul votre petite personne rigole de cet blague totalement grotesque n'est ce pas?Qu'est ce qui amène un simple petit mage débutant à venir à l'improviste à une fête comme celle-ci?"
C'est avec cet question que je m'installa devant la jeune mage et le fixa.

La fête se passait tranquillement, à part quelque groupe qui se chamaillait, les personnes mangeaient, chantaient, buvaient (surtout les nains).
Quand soudain un soldat chargé du tour de garde entrai par la grande porte il Begeya:
Des...Des...Des Kna..Kna...Kna..cki

Puis il s'évanouit, la foule se demanda ce qu'il voulait dire, car ce mot n'existait pas, quand un autre arriva avec un tout plus compréhensible mais il était mal à l'aise il dit haut et fort:

Les Ktanirs...Ils sont devant la citée! Ils attaquent

Après que l'homme ait parlé les personnes dans la salle se levèrent précipitamment voulant sortir de la salle, mais un des maître mage prit la parole:

Du calme, du calme! Pas de précipitations, que les femmes et leurs enfants restent dans cette salle, elle est bien à l'intérieur de la ville.
Que les hommes mais aussi les femmes qui peuvent se battre viennent.
Les ktanir n'ont apparemment plus de limite! Ils attaquent pendant les fêtes mais ou vont ils?

Le maître mage sortit suivit de prés par les personne ayant des dispositions pour le combat, ils se rassemblèrent tous sur la place, le même maître mage cria:

faites de petits groupe de combat pour le moment il faut empêcher qui passent à l'intérieur mais surtout regarder combien ils sont, que les plus rapides aillent en reconnaissance le faire.
Préparez vous, la guerre approche...

Sarius se leva comme beaucoup de personne dans la salle. Il dit a Elanor de restait près de lui au cas où les Ktanirs débarquerais dans la cité. Puis il dit à Arga:

"Il faut emmener tous se qui ne peuvent pas se battre à l'académie puis ramené le plus de guerrier devant les portes."

Puis il s'adressa à Aldo son apprenti et lui dit d'emmener sa sœur et Kalhan à l'abri. Il regarda l'assemblé quasiment tout les hommes étaient parti au combat il ne restait que les femmes et les enfants dans la salle ainsi que Arga, Darl, Al, Arga, Elanor et Sarius.

Elanor se leva.. et tomba du banc. Elle se releva précipitamment.

Sarius, je vous accompagne, mes sorts et soins vous seront sans doute utiles ! Et je ne veux pas être seule, je ne suis pas assez bonne combattante !

Elle se releva et emboîta le pas de Sarius, elle ne le lâcherais pas d'une semelle.

Je ne suis pas impotente non plus, j'ai quelques sorts d'attaque.

Sarius se leva comme beaucoup de personne dans la salle. Il dit a Elanor de restait près de lui au cas où les Ktanirs débarquerais dans la cité. Puis il dit à Arga:

"Il faut emmener tous se qui ne peuvent pas se battre à l'académie puis ramené le plus de guerrier possible devant les portes."

Puis il s'adressa à Aldo son apprenti et lui dit d'emmener sa sœur et Kalhan à l'abri. Il regarda l'assemblé quasiment tout les hommes étaient parti au combat il ne restait que les femmes et les enfants dans la salle ainsi que Arga, Darl, Al, Elanor et Sarius.

Arganalth entendit ce que dit le maître mage, il était de son devoir d'allez proteger la ville.
c'était impressionant les Knatir n'ont vraiment plus de respect, ils ont du choisir cette date exprés...
Sarius parla, il lui répondit:

Désolé je ne peut le faire, je suis le plus rapide de la ville, il faut que j'aille voir en dehors de la ville ce qu'il se passe.
je vais partir, dites moi vers ou vous allez j'essairait de vous rejoindre plus tard.
Pour vous informez de la situation.