bataille contre les ktanir

Le maître nécromancien avait rejoint Arganalth. Atÿla s'approcha d'une démarche plus asurée qu'elle ne l'était réellement, son Skull sur les talons. Son coeur battait encore à une vitesse folle. Malgré cela, ce fut avec une voix maitrisée qu'elle s'adressa au saurien et au necrologue.

"Messieurs, je serais bien aise si vous aviez un plan. Et je me mets a vos ordres, si vous avez besoins du maigre sort de nécromancienne que je possède. Je suis là pour vaincre, et je mourrais s'il le faut. Gengis, mon skull, est parfaitement dressé, et s'il le faut, pourrait vréer une légère diversion . Mais je n'entends rien aux subtilités de la tactiques... donc je m'en remets à vous."

Elle mit un genou à terre et baissa la tête, consciente d'être par trop solennel dans ce moment critique. Mais cette étape était obligatoire dans le cheminement naïf de son esprit, et elle s'y soumettais de bonne grâce.

Oromis vit la nécromancienne arriver, une de ses future élèves, il n'avait pas eut l'occasion de l'entrainer, mais elle était quand même assez douée d'après son apprenti. Quand elle s'agenouilla, il lui lança un regard noir qui signifiait " Relève-toi! ", montrer des signes de faiblesse et de soumission avant même d'avoir combattu... On s'agenouille après un combat, pas avant... Son idée était interessante, mais elle ne marcherait jamais avec un nombre de combattants aussi réduit. Il répondit:

" Faire diversion avec un skull ne servirait à rien, il faudrait déjà qu'Ak'nar se rende compte de sa présence, et, après s'en être rendu compte, un simple sort lui suffirait pour détruire le skull, il faudrait une armée entière pour faire diversion. "

Sarius et Elanor arrivèrent, se tenant par la main. Le demi-elfe reflechit pendant un moment, puis parla finalement, disant l'idée la plus irrealisable qu'ils pouvaient imaginer. Le nécromancien reflechit:

* Macus... Je connais ce nom, un dieu, peut-être celui qui a créé la race humaine, ou bien celui qui a donné la magie aux hommes. *

" Franchement, je ne vois pas en quoi Macus pourrait nous aider, il nous faudrait plusieurs jours pour le trouver, Ak'nar aurait eut le temps de massacrer toute la population de Girk'an et des terres de Dolbi. Et trouver le moyen d'attirer un dieu-démon, je ne croit pas que des prières suffiront... "

Un immense monstre sortit de la gigantesque porte, je recula un peu en voyant l'imposante masse prête à tous détruire , vu sa réaction, elle devait être enfermé depuis un bon moment pour avoir une humeur aussi massacrante...Tous le monde se regroupa, c'est ce que je fis aussi , en l'attente d'un plan , Sarius l'armurier proposa de faire rentrer le monstre dans la porte :
"C'est une idée stupide, le monstre à eu du mal à sortir, si tu veux la faire rentrer pense à sa résistance et en plus qui te dit que la porte se referma juste après??Peut être qu'il ressortira de nouveaux... Je préfère me battre, mais avec une bonne stratégie qu'avec une stratégie basé sur des pourcentage, alors bougé vos c*l pour qu'on aille tuer se monstre !"
C'était asser, pendant le temps que tous le monde papote le monstre peut attaquer d'un instant à l'autre !


P.S: Désolé du language employé: mais c'est rp

EDIT Roromis: Le monstre que tu as en face de toi n'est (surement) pas Macus, mais Ak'nar. Macus est un dieu.

EDIT Darl : j'ai jamais parlé de Macus^^

EDIT Roromis:
Je me suis mal expliqué...

Citation :

Sarius l'armurier proposa de faire rentrer le monstre dans la porte

Il ne propose pas de faire rentrer Ak'nar dans la porte mais de faire sortir Macus.

EDIT Darl: alors pourquoi il a mis rentrer???

Après ses paroles destinées aux Ktan'irs, les trois derniers maître mages partirent comme ils le pouvaient car leurs forces les quittaient peu à peu, Akn'ar se retourna pour parlez aux habitant de Girk'an présent devant lui:

Vous avez entendu ce que je viens de dire?Je vais tuer tout les êtres vivants sur cette terre.
Etant donné qu'apparemment vous êtes des habitant de la ville se trouvant à proximité je peux tous vous tuer car la ville sera au courant de part la porte...
Pour vous montrez que je peux être sympathique, vous avez 5 minutes pour fuir ou vous organisez, pas une de plus, pas une de moins.
Après je mettrais à feu et à sang cette ville.

Arganalth écoutait, intrigué, comment en étant venu ils y'a tant d'années et sûrement si peu de temps sur la terre, cette créature maîtriser t'elle autant leurs langues?
Elle devait avoir un don...
Une chose était sûr c'est que c'était leurs ennemis et qu'il manquait de temps, cette créature était déjà assez généreuse, sachant qu'elle cherchait la vengeance, de leurs laisser quelques minutes de répits.
Comment pourrait il se défendre? S'enfuir ne serait pas digne d'un maître mage, il faudrait réagir vite.
Il s'adressa à l'ensemble des personnes:

Ce monstre veut nous tuer, rien ne sert de s'enfuir car son courroux sera sûrement plus grand envers ceux qui s'enfuissent...
Par contre ceux qui ne sont pas sûr d'eux ou qui ne savent pas bien manier leurs armes ou sorts feraient mieux de se tenir à l'écart car sa risque de devenir violent et très dangereux...
Je propose de se séparer pour pas qu’ils puissent tous nous toucher en même temps, car ces coups seront sûrement précis et puissant.
Et ses sorts, j'ose même pas imaginer la puissance, sachant l'aura de magie qui émane de lui.

Le demi dragon serrait ses griffes, comment pourrait il vaincre ce monstre? Il est sûrement trop puissant, néanmoins il faudrait le retenir le plus longtemps possible pour qu'il n'attaque pas la ville juste après...
Il faut lui rendre plus dur la tâche de tous les tuer.

Elanor écouta le dragon, son sang ne fit qu'un tour, quoi ? C’était cela leur meneur ? Il devait être aussi incompétent qu’elle. Et pire encore, si le Noir lui est écœurant, le Blanc est écœurant au Noir. Elle avait une once de chance d0être efficace. Que feras le feu élément contre un être fait de Noirceur. On avait bien vu le résultat des mages ennemis. Il était trop tard désormais, pour eux tous.

Fuir et mourir ! Combattre et mourir ! Voilà notre choix à tous... A quoi cela servirait d’aller dans la cité ? Rien.

Elle se dégagea des bras de Sarius et se redressa. Oubliant la douleur sur sa jambe. Elle lui adressa un regard empli de tristesse. Elle posa très rapidement un baiser sur ses lèvres à la saveur salée.

Je suis Son ambassadrice, une Protectrice.

Lorsqu'elle lâcha Sarius, sa protection le quitta et il sentit toute l'étendue du pouvoir terrible du démon. Son aura le toucha et l'éclaboussa. La bulle protectrice auréolait la clerc d’une façon admirable. Mettant en valeur sa silhouette. Elle regarda autour d’elle, dévisageant et évaluant les personnes présente. Ainsi en avait voulu la Déesse. Gloire lui soit rendue. Elle retourna près de Sarius et le globe protecteur le protégea à nouveau.



Regarde ton ennemi en face ! ne le craint pas, mais ne soit pas trop sur de toi… Soit prête…

Incline-toi un peu trésor, ne baisse pas les yeux et fléchit un peu les jambes, soit flexible, bouge toujours.

Non, ce n’est pas cela regarde…

La fillette soupira et s’écarta.

Karl approche !

Je regardais maman appeler le maître d’arme. Elle dégaina son sabre d’un geste fluide et gracieux, elle m’adressa un regard en coin complice. Avant de fixer son adversaire. Il attaqua directement. Les lames s’entre choquèrent. Les cheveux de ma mère volèrent et ondulèrent. Elle avait paré le coup parfaitement et tel un bon guerrier avait déjà un coup d’avance. Son genou remonta, sa jambe s’arqua violemment et l’homme fit une culbute impressionnante. En une passe d’arme, il avait été mis à terre. L’enfant aux adorables couettes blonde et aux grands yeux sautilla vers sa mère et se jeta dans ses bras. Ses bras puissants qui m’enserrèrent contre elle, son rire dans sa gorge, sa peau douce. Elle qui me serre et me fait tournoyer dans les airs. Maman…



Elanor se revoyait enlacée dans ces bras chauds, sa poitrine aimante et sa voix réconfortante. Une douceur sans nom l’envahi. Elle était la force, la beauté et la fécondité regroupée. Mon père m’avait dit qu’il avait cru voir la Déesse elle-même la première fois qu’il l’avait vue. Il avait succombé dès le premier regard. Ma mère exemple de bravoure et d’honneur. Celle qui était mon héroïne invincible. Ai-je succombé à Sarius où est-ce que je me leurre ? Pourquoi lui ? Il a un air ténébreux qui aurait dû me repousser et … il me plaît, ce côté mauvais garçon me charme. Déesse tu l’as mit sur ma route et tu veux que j’éclaire son âme. Mais si nous mourrons aujourd’hui, que deviendra-t-il loin de ta Lumière ? Quel est mon destin Déesse ?

Ma mère est morte, forte, contre un groupe d’invocation maléfique. Ces ennemis méritent tous la mort. Ils ont brisé ma vie. Mais là est Son choix et là est Ma Voie. Mon père quelques mois après est mort de maladie. Je sais qu’ils sont dans ta Lumière. Mais lui, l’homme que tu as mis sur ma route, l’homme qui a effleuré mes lèvres, l’homme qui de ses douces caresses ma mise à nue. L’homme qui a voulu voir mon âme, l’homme qui m’offre la sienne. Pourquoi lorsque je sens sa force contre moi, quel est ce désir qui remonte le long de mes reins ? Pourquoi ai-je envie qu’il m’enlace, que ses mains douces me caressent ? Sentir sa peau contre la mienne et me sentir forte maîtresse et à la fois captive. Pourquoi ai-je envie de le séduire et être belle ? Pourquoi suis-je avide en lui tendant mes lèvres ? J’ai envie qu’il me prenne ? Saura-t-il trouver Ta Lumière ?

Sarius. Ne lâche jamais ma main, ne quitte jamais la Lumière, ou tu me perdras pour l’Éternité.
Je vais me placer devant toi et concentrer ma magie afin de nous protéger. Qu’importe ce qu’il se passera, tu ne me lâcheras pas la main. Tu te prépareras, tu te défendras et tu n’attaqueras qu’une fois l’ennemi engagera le corps à corps. Laisse-moi le combat à distance et n’oublie pas.

Ne - me - lâche - jamais - la - main.

Elle lui adressa un regard intense, et serra sa main dans la sienne. La pression se fit légèrement plus forte.

Fais-moi confiance.

Elanor tendit sa main libre devant elle, perpendiculaire à son corps, paume levée. Dès qu’il attaquerait, son énergie affluera dans sa barrière et les protégerait. Du moins atténuerait les dégâts.

Elle le regarda en face, ne le craint plus, mais sentait son cœur battre, elle était prête.
Elle inclina légèrement le buste sans lâcher Sarius.
Elle fléchit les jambes, souple..
Elle était prête.
Regarde maman..

C’est un beau jour pour rejoindre sa Lumière, tu ne trouve pas mon amour ? J’aurais aimé mieux te connaître, t’aimer entière… nous en aurons le temps après…

Sa voix douce et apaisante tissait les vibrations autour d’elle. L’Amour vaincra la Noirceur, l’Amour les guidera vers la Lumière.

Le démon était las, il prit la parole:

Je m'ennuie d'attendre, vous n'avez plus de temps pour parler, vous les humains prenez toujours trop de temps pour réfléchir...
Vous m'exaspérer. Je veux de la détente et non de l'ennui.
Maintenant le temps est venu pour vous...

A peine le démon eu t'il finit de parler qu’Ayasegawa, un des shamans, partit en avant en direction du monstre en criant:

Je n'ai peur de rien, la vie est faites pour combattre et le combat est fait pour vivre. Si vous me tuez sa sera un honneur d'être mort en combat!

Ak'nar commença à rire

Pauvre fou, essayez de m'attaquer tout seul, sans la moindre petite aide, c'est lamentable...
Je m'attendais à avoir plus d'efforts à fournit, même pas de quoi me distraire.
L’espèce humaine a perd beaucoup de ses valeurs depuis la dernière fois.
Pour ton insolence, je vais m'amuser et te laisser m'attaquer une fois avec ta misérable épée...

Le shaman arriva sur le monstre en tirant son épée, de toute ses forces il enfonça l'épée dans le chair du monstre, l'épée s'enfonça et un mince filet de sang violet en sortit. La créature ricana

est ce tout ce dont tu est capable misérable vermine?
Je vais te montrer que ta force n'est rien...

Akn'ar d'une de ses deux gigantesques mains envoyant son bras contre le shaman le plus violemment possible pour le dégagé de devant lui (19;19), il décolla une dizaine de mètres en arrière, et arriva un peu devant le groupe. Il avait souffert et craché du sang, il avait plusieurs côtes brisées et quelque os aux bras qui avait subit le même traitement suite à l'atterrissage, quand à son épée. Elle fut écrasée par le bras du démon.
Il commençait à s'impatienter et envoya un sort vers la plus grande personne du groupe, Arganalth, il lança affaiblissement (18;7) qui atteint sa cible très facilement et eu un effet normal du à la haute puissance magique du démon. Après ce sort visant à affaiblir sa cible il envoya une coupure de vie (6;15) qui n'e pas grand effet sur le dragon mais lui coupa quand même sa vitalité pendant une demi seconde le sort étant amplifié par deux.
Le dragon souffrait sa vie revenant il eu un choc, ses sens devenaient flou et son rythme cardiaque instable durant une à deux minutes, le sort amplifié le faisait souffrir.
il ne voyait plus bien et n'entendait presque rien
Il S'agenouilla pour utiliser le moins de force possible.
Le monstre commença à se rapprocher du demi dragon.

HRP: voilà ceux qui n'on pas eu le temps de poster peuvent poster et les autres aussi.^^

Citation :

Affaiblissement
Malédiction - L‘ennemi visé fait deux fois moins de dégâts.

Citation :

Coupure de vie
Ce sort permet de couper la vie a l'ennemi viser pendant une demi seconde. Lors de son retour, il va avoir un choque du a son "absence". Il va perdre ses moyens quelque seconde après cela.
2D10 dégâts, étourdi quelque seconde après.

degats: Asegawa: -60pv

Arganalth: -22pv

Elanor réfléchissait. Un shaman blessé, le dragon blessé. Et ils étaient à quelques mètres. Si elle allait les soigner, elle affaiblissait le globe. Elle avança tout de même, ne lâchant pas la main de Sarius et l’entraînant à sa suite. Elle marchait à pas lent et ses stoppait de temps à autre pour stabiliser sa protection. Les deux clercs de l’Académie vinrent vers elle et entrèrent dans le globe. Elanor soupira de soulagement, sont soucis était résolu. Avec Sarius pour les protégers et les deux clercs, ils auraient une équipe médicale performante. Ils se turent. L’un était plus âgé, l’autre jeune. L’aîné observa la protection d’un œil expert et laissa échapper un léger sifflement. Foi de maître clerc, c’était dommage, vraiment dommage qu’une jeune femme aussi prometteuse soit vouée à une mort certaine. Car pour lui, cela ne faisait aucun doute, ils allaient mourir. Mais eux clerc, supportaient mieux cette idée là, car pour eux, elle était promesse de paix. Alors que tous les quatre se dirigeait lentement vers les blessés. L’aîné glissa à l’oreille de Sarius : « merci, de l’avoir sauvée, si aujourd’hui un miracle devait avoir lieu, reconnaissez la valeur et les dons de votre compagne. Épaulez-la, elle a du potentiel. » Le deuxième se retourna, plus jeune, blond et pétillant, il souriait à pleines dents.

C’est étonnant, maître ! Je suis pratiquement plus écœuré de ces relents putrides démoniaques !

Je sais, allons nous occuper du maître pyromencien puis du shaman. Elanor tiens bon fillette.

Elanor hocha de la tête, la sueur commençait à perler le long de ses tempes. Il fallait qu’elle tienne, la main de Sarius dans la sienne la rassura. Ils arrivèrent près du semi-dragon qui semblait souffrire le martyr. Le maître se mit immédiatement au travail. Elanor le regarda brièvement, que de travail il lui faudrait encore pour maîtriser ainsi ses soins et que d’expérience à acquérir. Le maître clerc sourit au dragon et lui chuchota : « nous voilà dans de jolis ennuis, mon ami, pourtant, nous pouvons compter sur la jeunesse. Je suis fier de mes élèves. » Il regarda son disciple soigner le shaman et Elanor qui avait légèrement agrandit le globe. « Dommage, dommage qu’ils doivent mourir, vraiment, je n’aurais plus l’occasion de dénicher des trésors de talent comme cette gamine. Ah… mon ami, je me sens comme un sac d’os impotent aujourd’hui… » Elanor s’approcha du dragon et ils se serrèrent dans le globe. Elanor sourit au dragon dont la grosse tête était courbée au-dessus d’elle.

Cela va mieux maître ? Je fais mon possible pour limiter l’aura démoniaque mais j’ai mes limites. Heureusement qu’il m’aide.

Elle désigna le maître qui l’avait rejointe et avait apporté sa touche vibratique au globe. Le vieux maître réfléchissait, ils étaient les plus expérimenté, eux les Maîtres Mages, ceux à qui ont avaient confié la tâche importante de la défense. Il devait chercher trouver un moyen de les débarrasser de cette créature satanique. Trouver un cas similaire. Il le pourrait s’il était dans sa chère bibliothèque. Les pensées du vieil homme s’emplire d’odeur de livre et de poussière. Il se reconcentra sur la structure du globe et l’améliora légèrement encore. Il sentait le regard et les sens attentifs de la jeune fille. Elle regardait chacune de ses actions et les gravait dans sa mémoire. Elle avait compris le principe de base. Il sourit en la voyant le seconder très efficacement. Malheureusement, il y avait encore beaucoup de monde dehors qui souffrait et maintenir un globe plus grand nécessiterait un assemblage géométrique de plusieurs clerc. Faire des barrières contre les mauvais esprits, une protection magique. Oui, ses souvenirs le gagnaient, il dut à nouveau se reconcentrer et cesser de rêvasser. Il se faisait vieux. L’avenir appartenait à ces petits. Il regarda le jeune homme qui tenait sans faillirent la main de la jeune femme. Il avait un air ténébreux et sombre mais pourtant, c’était de la lumière qui brillait dans ses yeux lorsqu’il les posait sur la jeune femme. Il était indéniablement un soutient pour elle. Tant qu’il serait à ses côtés la barrière vibrerait de ce sentiment si agréable d’amour. C’est cet assemblage qui faisait la force de ce globe.

La force de l’amour.. La fraîcheur de la jeunesse..

Oromis sentit la véritable puissance d'Ak'nar au moment ou celui-ci lança son premier sort. Autour de lui, les clercs se protégeaient dans le globe d'Elanor, visiblement effrayé par cette energie noire. Le nécromant était attiré par cette energie, le monstre lançait les sorts les plus basique de la nécromancie, les premier que lui-même avait appris, et pourtant, l'energie qu'il dégageait en lançant un sort était plus importante que celle que contenait tous les mages rassemblés ici... Le maître mage le sentait, ils ne pouvaient pas gagner, il était même totalement inutile de se battre, à par pour le plaisir de se mesurer à une créature de cette envergure. Il sentit un frisson dans sa main droite, puis une intense brulure, il dégagea sa main, le globe d'Elanor, elle venait de l'agrandir, le tirant de ses rêveries. Il s'eloigna de quelques centimètres, s'assurant qu'il ne toucherait pas ce globe, puis il dit:

" Sachez que cet Ak'nar est largement plus puissant que nous tous, rien ne vous empêche de fuire... Vous sentez tous l'energie qu'il dégage, sous différentes formes, il regarda successivement les clerc, puis Atÿla, se demandant si elle aussi sentait ce frisson dans le dos, cette agréable sensation qui montrait la puissance de la nécromancie, même si elle présageait une mort certaine. Nous n'avons quasiment aucune chance de survivre. "

Il vit alors que Darl était partit pour l'attaquer, courant vers le monstre à une vitesse étonnante, son épée à la main, il murmura:

" Quel idiot... Puis dit avec un léger sourire, Peut-être devrions-nous en profiter, il servira de diversion, au moins il ne mourra pas totalement pour rien, même si on arrivera pas à le tuer. "

Il regarda Arknar, ses sorts seraient inutile, le démon et la nécromancie ne faisait qu'un, il était devenu la nécromancie, ses sorts lui feraient surement plus de bien que de mal. Il fallait quand même essayer, mais il attendit les autres, il n'allait pas foncer tête baissée sur le monstre comme cet abruti de forgeron...

Necromancie... Le mot maître de tout. La valeur la plus sombrement pure que l'on ne puisse jamais imaginer. La seule magie de ce monde qui valait la peine de vivre, et de mourir pour elle. Necromancie... Elle était un souffle de vie et un présage de mort. Elle était une force autant qu'une faiblesse... Elle utilisait les ténèbres pour la lumière, et plongeais la clarté dans l'ombre la plus profonde... Necromancie était insaisissable, si proche mais si lointaine... Mais quel art! Quel art! Et quel frisson d'exaltation pour le nécromancien aveuglé par la vie, lorsqu'il découvrait tout l'ART qu'était la magie qu'il pratiquait!

Atÿla soupira de bien-être en s'étirant, comme si elle sortait d'une longue rêverie insipide. Elle s'attira des regards surprit de la part des autres. Ak'nar avait lancé son premier sort. Quelle puissance! Comme elle avait été idiote de vouloir fuir! Ce démon incarnait le mal dans son intégrité. Il était d'une puissance dévastatrice, mais pourtant... La semi-elfe se sentait irrémédiablemetn attiré par son aura. Elle ressentait comme nul autre, excepté le maître nécromans, la force de cet être maléfique qui ce tenait devant elle. Fuir? Pourquoi faire? La nécromancie est là. La nécromancie est tout.

La jeune apprentie nécromancienne exultait. Elle comprenait d'où venait cette puissance qui émanait des nécromans. Elle comprenait le secret de la nécromancie. Elle comprenait que la vie n'était rien et que seul comptait le mérite et la fierté d'avoir combattu une telle créature... D'avoir combattu a mort pour vivre sans but. Une telle occasion ne se représenterait certainement jamais. Elle allait mourir. Elle allait mourir en combattant ce démon, et elle en ressentait une fierté indescriptible. Elle allait mourir pour sauver d'autres personnes. Non, son raisonnement ne tenait pas debout.

"Pourquoi sauver d'autres personnes?" lui souffla sa moitié humaine...

"Pour voir la vie fleurir autour de ma mort. Car ma vie n'est rien..."répondit doucement son âme d'elfe.

"Pour avoir eu l'honneur de combattre Ak'nar"chuchota la nécromancienne qui était en elle.

"Pour combattre vaillament"murmura l'esprit de louve qui l'habitait.

Elle était humaine, et égoïste. Elle était Elfe et humble. Elle était nécromancienne et fière. Elle était louve et combattante. L'ensemble de ces quatre personalités se moquaient de la mort. Atÿla prit alors conscience du mélange qui l'habitait.

Elle jeta au maître nécromancien un regard reconnaissant. Il lui avait montré la voie. Et elle, "insignifiante créature", allait réaliser l'acte "le plus important de sa vie", et "combattre à mort" pour avoir la chance d'approcher la "Nécromancie Reincarnée".

Atÿla se faufila hors du cercle protecteur d'Elanor la guérisseuse, et se glissa furtivement à la suite de Darl valar. Le maître nécromancien allait lui en vouloir, et la traiter d'idiote. Elle suivait sa voie.

[Hrp: Bah, c'est le jeu ma pauvre Lucette... Et puis maintenant qu'il est parti, je peux même pas récuperer de points de vie grâce à lui... Même si je ne sais pas si ça aurai marché... Ah, je suis bien arrangée, du coup... Donc avant de poster, je vais attendre de me faire soigner un peu, a moins que vous n'ayez un monstre a me mettre devant que je puisse le vampiriser...^^ Mais avec 25pts de vie, je vais pas aller loin...^^]

Oromis attendit la réaction des autres, mais personne ne répondit. Il vit Atÿla suivre Darl et pensa:

* Idiote, à moins que ce soit le même sentiment que moi qui la pousse à faire sa... *

Il avait vut son visage quand il avait ressenti la force du démon, et elle semblait avoir senti la même chose. Il hésita pendant un temps indéfini, puis se lança à leur suite, préférant mourir en le combattant. Mais à peine était-il parti qu'un monstre sorte à son tour de la porte. Ils échangèrent quelques mots dans une langue qui lui était inconnu, puis finalement, le démon parti, disant qu'il reviendrait, qu'il leur laissait un peu de temps. Un sourire éclaira le visage du nécromancien, un peu de temps, peut-être que sa lui suffirait pour aller voir ce Valken et s'allier avec lui. Alors il pourrait montrer son pouvoir à Ak'nar et lui donner le choix, soit il mourrait, soit il le prenait comme disciple. Il se tourna vers Sarius et le vit, enmenant Elanor vers l'intérieur de la ville.

* Mauvais... Très mauvais... Cette clerc va tout gacher, si il a encore des informations à me donner, il ne me les dira pas, du moins pas de son plein gré. *

Il détourna les yeux, puis examina la porte qui était resté ouverte, c'était une chose assez étonnante, indéscriptible, elle semblait changer de forme, de couleur, de matière, il ne voyait pas à travers, mais sentait le mal qui en sortait. Il avait envie d'entrer à l'intérieur, ou d'y passer la tête, mais se retenait, il fallait d'abord redécouvrir la magie soustractive. Il regarda autour de lui, peut-être devait-il rester, il était maître mage après tout, et peut-être aurait-on besoin de lui, et il doutait que quelqu'un vienne le chercher en cas de besoin... Il pensa alors à Atÿla, pas qu'elle était importante pour lui, mais elle avait sentit la nécromancie, ce qui prouvait qu'elle avait un avenir dans cette voie. Il pensa à faire venir la guérisseuse, puis se résigna, il y avait pas mal de blessés de l'autre côté, et la guérisseuse ne bougerait pas pour une personne. Il y avait les clercs avec leurs magie blanche. C'était malheureusement la seule solution, et il fit venir un clerc, qui regarda l'etat de la demi elfe avec une grimace de dégout, puis fit un soin majeur (+25PV), il n'avait pas d'energie pour faire plus. Elle avait toujours quelques côtes cassées et le tendons déchiré, mais elle était consciente, il lui demanda:

" Tu as senti la nécromancie? "

Il connaissait la réponse, mais il voulait en être certain, si elle n'avait rien senti, il ne servait à rien de l'entrainer, et il n'avait pas envie de perdre du temps.