Une longue recherche...

Elanor retourna à son bureau après l'incident créé par la folle. Les maladies mentales la passionnaient à vrai dire. Elle n'avait jamais entendu dire que la magie des clercs avait une quelconque efficacité sur ces dégénérescences mentales. Elle goutta au repos de la salle, seul un sifflement suivit d'un choc se faisait entendre. Dans son coin aménagé pour elle, Jiji s'entraînait au tir à l'arc sur une cible. Elle regarda avec une attention maternelle la petite nymphe qui tirait sur sa cible avec application, acclament ses réussite et laissant un silence poli lorsqu'elle ratait sa cible. Après être restée un moment avec le petit être elle alla voir son assistant pour l'informer de ses projets. Ces derniers temps, elle avait tellement eut d'administratif à faire qu'elle avait laissé de côté le plus important : la magie. Elle prévint donc le clerc qu'elle initiait une recherche importante et qu'elle ne devait être dérangée sous aucun prétexte. Elle lui donna l'ensemble de consigne qu'elle avait préparé et lui confia la charge des élèves.

Après avoir fait cela elle s'installa à son bureau, réfléchit un instant puis alla dans le laboratoire. Là dans un brique à braque monumentale se trouvait toute sorte d'outil, fiole, etc. Elle ouvrit un cahier à la couverture de cuire et pris sa plume. Elle nota quelques information puis se plaça et pris certain ustensile et commença ses expérimentations. Un des avantages à être Maître Mage est les moyens dont on dispose. Après, il lui faudrait concrétiser cela, mais elle avait bon espoir, la Déesse est bienveillante pour celui qui la sert. Cela allait être un travail très dur et elle n'était pas prête d'en voir la fin. Au moins cela lui sortirait de la tête ce détestable Sarius qui se plaisait à la malmener. Elle eut une moue dédaigneuse et se plongea dans son travail. On ne peut rien contre les crétins. Il arrive que l’on se trompe sur le compte de quelques personnes.. surtout celles qui vous sont le plus proche.

Ainsi donc, la magicienne commença son labeur qui devrait durer bien longtemps.

[pour justifier mon absence pour ces vacances^.^]

Sarius entrait dans l'académie. Il devait aller voir Elanor, il ne savait pourquoi mais il redoutait queqe chose. Il ne l'avait pas vut seul apres la bataile, peut être le fait qu'elle soit devenut maître mage ou peut être le fait d'avoir était quasiment mort et avoir été sauvé par celle qu'il aimait, il ne savait pas si le gène qu'il éprouvait été normal.

Il arriva l'étage des guérriseurs. Il se dirigea vers le bureau d'Elanor. Il regarda autour de lui, il ne vit que des personnes soufrante, surement dut à la bataille et à ses méfaits.

Il arriva la porte, il frappa doucement. Il entendit un légé "entré".

Il ouvrit la porte en espérant que Elanor ne lui en voudrait pas trop davoir mit tant de temps à venir.

[Dsl c'est court mais j'ai pas d'inspiration]

Hélas ce ne fut pas Élanor qui l'accueillit mais Aldo, son assistant. Il finit d'écrire son parchemin et se leva. Il avança à petits pas bedonnants, les mains jointes à la hauteur du ventre.

Que puis-je pour monsieur ?

Si c'est pour un enseignement..

Coup d'œil dubitatif mais il continua son information protocolaire.

.. Veuillez bien vouloir entrer dans la chambre de gauche.

Si vous avez besoin d'un renseignement, je vous demanderais de vous rendre à la bibliothèque où des clercs vous répondront.

Si c'est d'une nature autre, veuillez préciser votre demande. Je me permets cependant de vous informer que Maître Elanor est indisponible et qu'il faudra vous contenter de ma modeste personne en tant qu'interlocuteur.

Après sa petite tirade, il fixa le jeune homme.

Sarius fut prit de cours, il espérait tombé sur Elanor.
Il regarda l'homme en face de lui, il devait être l'assistant de Elanor.

"-Où puis-je trouver maître Elanor ? J Doit la voir personnellement."

Celà faisait bizare de sentendre dire Maitre Elanor alors qu'il ne l'avait jamais appellé comme sa.

Depuis leur premiere rencontre, Sarius avait découvert des sentiments encore inconnus. Ils avaient tout les deux fait du chemin depuis cette rencontre, elle était devenut un maître mage respecté. Et lui, en fait n'avait pas réellement fait un bon chemin, le seul vrais points fort qu'il avait eut été d'avoir rencontré Elanor.

L'homme secoua la tête.

Je suis désolé, j'ai reçu des directives.. Comprenez que vos attentes personnelles devront attendre.

Que lui voulez-vous, si vous ne faites pas preuve de coopération en vous ouvrant à moi, je crains que la seule solution qui s'impose à vous soit l'attente.

Peuh.. il n'aimait pas ce gringalet qui se croyait tout permis. "-Où puis-je trouver maître Elanor ? Je dois la voir personnellement." gangangan..
Pour qui il se prenait, il doit, il doit.. il n'est pas le seul sur terre. En plus il avait vraiment une apparence de .. mage au rabais. Le clerc croisa les bras et le toisa. Il avait des choses à faire et n'avait pas envie de perdre son temps.

De quoi se mellé cette homme. Sarius aurait bien voulut mettre son poing dans la figure de cet homme, mais la violence n'était pasla solution. Sarius voyait bien que le clerc devait avoir plein de chose importante à faire.

"Je vois que êtes occupé, je ne vais pas vous déranger plus longtemps. Je vous demande de dire à Maître Elanor que Sarius est passé."

Il était sûr que le clerc n'en toucherer pas un mot à Elanor, il devait la trouver par un autre moyen.
Il salua le clerc par signe de respect et quitta la piece.

Il se retrouva à nouveau dans la piece principal des clercs. Il vit deux autres portes de chaque côé de la salle.
Il alla voir un jeune clerc qui été entreint de ramasser des papiers tombés au sol.
Sarius l'aida à rammaser les papiers. Après avoir aidé le jeune clerc il lui dit:

"-Escusez moi, es-ce-que vous sauriez où se trouve Maître Elanor ?."

m'rci

Le jeune clerc eut l'air un peu déconcerté et réfléchit quelques instants.

euuuh

Maître Elanor ?

euuuh.. Je sais qu'elle travail sur une recherche et qu'on ne doit pas la déranger..

maiseuuuh

Demandez donc à Aldo, son assistant..

Il désigna la porte d'où venait Sarius. Et fila vite, il disparut dans un couloir.

Sarius resta là à réfléchir où pouvez bien être Elanor. Il n'allait pas abandonner sous peine que personne ne voulais lui dire où elle se trouvait.

Il s'approcha d'une des portes qu'il avait vut. Il vit marqué sur porte "Laboratoire". Il s'avait que Elanor devait travailler et surement au calme. Il frappa à la porte et encore une fois il entendit un légé entré c'était une voix féminine qui lui avait parlé.

Il ouvrit la porte, il ne vit personne. Il ne vit que des fioles un peu partout, des distiloires et d'autre instruments pour faire des potions et autres objets de soin.

Il s'aventura dans la piece à slaloma entre les différentes armoires présentes. Il vit enfin une personne assise devant un bureau. Cétait une femme, de loin il n'arrivait pas à voir qui c'était mais il espérait que se soit Elanor. Il s'aprocha.

MAIS QU'EST-CE QUE TU FAIS LÀ ?

T'ES PAS CET ABRUTTI D'ASSISTANT !

SORT DE LÀ NIGAUD ! C'PAS POUR LE PUBLIQUE ICI ! NON D'UNE CREVETTE ANDOUILLE FIANTE PUSTULE !!

ON EST VRAIMENT ENTOURÉ D'INCAPABLES !!

Une vielle mémé biscornue apparut, furibonde, elle semblait exploser et était rouge comme une pivoine.

HORS DE MA VUE ET NE REVIENS PAS ICI SOMBRE CRÉTIN, C'PAS LE BUREAU DES RENSEIGNEMENT ICI !

OUUUUUUUUUUUUUST !

Elle gesticulait dans tous les sens en proliférant insulte sur insulte. Et commençait à s'agiter dangereusement près de Sarius avec une fiole dont le liquide était peu avenant.

BUZIOUT ! BON A RIEN ! INSSIGNIFIANTE MOUCHE ! DEHORS ! DEHORS !

Alerté par les cri, notre brave Aldo intervint et saisit avec une force étonnante Sarius et le conduit dehors sans ménagement. Il referma la porte du laboratoire et lui jeta un regard noir.

On peut savoir ce que vous cherchez ? Alors maintenant vous aller éviter de fouiller partout où j'appelle la sécurité.

Apres s'être fait jeté du laboratoire par Aldo, il regarda plus attentivement se dernier, il était plutôt grand, Sarius n'aimait pas son regard inquisiteur, encore une fois il l’aurait bien frappé, mais frapper un clerc amenait encore plus d'ennui que de se battre avec quelqu'un d'autre, ce fut entre autre pour cette raison que Sarius ne le frappa pas. L’homme devait avoir vers les 30 ans, c'était manifestement un humain, en général Sarius ne haïssait pas les humains mais il serrait près à faire une exception cette fois ci.
Sarius décida de partir en laissant sur place l'assistant sans lui dire un mot. Il descendit les marches pour se dirigeait vers la sorti de l'académie. Alors qu'il arrivait au rez-de-chaussée il eut une idée. Il sorti son carnet et un crayon qu'il avait toujours sur lui et se dirigea vers la chambre de Elanor. En arrivant, il déchira la dernière page de son carnet et écrit:

"Je suis désolé Elanor de ne pas avoir put venir te voir plus tôt, je crois que je redouté cette rencontre, je ne t'ai pas trouvé dans l'académie et personne n'a sut ou voulut me dire où tu étais, donc je te laisse se mot en espérant pouvoir te voir le plus tôt possible. J’espère que tu ne m’en veux pas trop. En te cherchant je crois que j'ai un peu mit le bordel dans le quartier des clercs, j'en suis désolé aussi.

Je t'aime.
Sarius"

Il plia la feuille et la glissa sous l'encadrement de la porte.
Il espéra un moment qu’Elanor soit derrière la porte, il allait frapper mais se ravisa au dernier moment.
Il commença à partir en direction des couloirs menant au hall d'entré.

Sujet: Re: Une longue recherche... Dim 7 Sep 2008 - 18:38

Elanor avait travaillé dur, plus dur que l'on ne peut le penser raisonnable. Elle avait aussi progressé à une vitesse incroyable, repoussant sans cesse ses connaissances, sa maîtrise, sa sensibilité à la magie. Elle avait cherché un moyen de maîtriser les micros particules magique afin de guérir mieux les blessures à la tête et avait débouché sur un tout autre résultat. Un résultat étonnent et gratifiant. C'est souvent le cas quand on fait des recherches, on ne trouve jamais ce que l'on cherche à la base mais tout autre chose.

D'Où venait cette capacité à guérir, de leur capacité à percevoir les particules magiques humaine. Mais cela ne sert pas uniquement à soigner, elle s'aperçut qu'elle pouvait deviner des présences, elle savait ou non quand Aldo travaillait à côté. Elle se mit à faire de plus en plus d'expérience et réussit à stabiliser les effets d'un sort. Elle ne s'apercevait pas du temps qui passait, elle vivait au même rythme que la magie. Elle priait aussi, longuement. Méditait dans ses temps de repos afin de régénérer son énergie magique. Là elle s'ouvrait à un monde de merveille et de Lumière. La sagesse de la Déesse l'y conduisait. De nouveaux tatouages étaient apparus. Rien de visible pour un non initier, mais ses bras étaient maintenant couvert de runes.

Elle comprit beaucoup de choses. Beaucoup trop peut-être pour continuer sa vie ainsi. Une vie illusoire. Elle comprit son erreur. Elle acheva donc ce sort et prit le grimoire de la salle et écrivit de sa belle écriture.

Citation :: Vision spectrale=>500po
Le clerc ne cesse d'augmenter ses perceptions du corps et de ses émanations magiques au file des niveaux. Ce sort permet de développer pour une durée limitée le sens magique qu'on tous les mages. Le lanceur devient très sensible aux particules magiques humaines.

Selon le jet :
- avoir conscience d'une présence sans pouvoir la situer ou en deviner sa nature
- situer et dénombrer la(les) présence(s)
- estimer son(leur) niveau(x)
- S'il connait le(s) mage(s) il le(s) reconnaît.

Elle sortit et annonça à Aldo qu'elle avait fini. Elle lui parla longuement de ses recherches suites à ses pressentes questions. C'est après, une fois qu'elle fut rentrée, douchée et qu'elle mangea un vrai repas qu'elle lu le mot de Sarius.

Citation :: "Je suis désolé Elanor de ne pas avoir put venir te voir plus tôt, je crois que je redouté cette rencontre, je ne t'ai pas trouvé dans l'académie et personne n'a sut ou voulut me dire où tu étais, donc je te laisse se mot en espérant pouvoir te voir le plus tôt possible. J’espère que tu ne m’en veux pas trop. En te cherchant je crois que j'ai un peu mit le bordel dans le quartier des clercs, j'en suis désolé aussi.

Je t'aime.
Sarius"

Elle sourit, il faisait toujours autant de fautes d'orthographe. Elle secoua la tête. Elle se demanda bien où il pouvait être mais elle n'en avait aucune idée. Quelques temps avant, elle aurait pu sentir sa douleur, lui qui agonisait sous un rocher, mais là, elle tournait en rond. Un lien c'était indéniablement rompu.

Elle soupira et pria la Déesse.

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