[quête]Un mystère plane

Un panneau est planté sur la place, l'annonce est officiellement posté par le conseil des maître mages:

Citation :: Citation:
Depuis quelques temps déjà toutes personne s'approchant d'un périmétre precis est éradiquer. Nous ne savons pas pourquoi mais personne n'en est revenu. Personne sauf une personne, qui, a aprés avoir entendu un bruit suspect fuit abandonnant son groupe, elle n'a pas d'autres resneginement le groupe n'est pas revenut.

Nous cherchons des aventuriers prêt à braver le danger pour élucider ce mystére. Une récompense sera surement de mise.

Veuillez vous presentez demain à l'aube.

L'uave venait de se lever, le panneau toujours la.

edit Anim : me suis permise de corriger l'ortho du titre *sifflote*

Sarius qui avait vut l'annonce en sortant de l'académie avait décdié dit répondre. Donc comme demandé il se trouvait devant l'annonce à l'aube. Armé de son épée longue et équipé de son armure et son bouclier d'écaille.

Il repéra un tonneau près du tableau et s'assit dessus en attendant d'autre personne.

*

Quelques mois plus tôt alors que Sarius était entreint de traversé une chaîne de montagne pour aller à Girk'an. Alors qu'il arrivait devant un grand lac, il vit des caravanes, ils s'approcha.
Cela faisait quelque semaine qu'il avait récupéré le livre ancestral et avait affronté le guérrier de l'ombre dans le desert et les trois autres.
Il approcha des caravanes, il vit des personnes mortes, massacrées.
Sarius arriva au centre des caravanes qui formées un cercle. Il examina les corps, celà faisait maximum deux heures qu'ils avaient été massacré.

*
Sarius attendait toujour sans voir personne en repenssant à des évènement tragique qu'il avait vécut.

Voyant qu'il n'y avait personne, Sarius parti en direction de l'académie pour une rencontre qu'il avait trop longtemps repoussé.

Après l'histoire passé dans l'académie, Arera retourna chez elle pour continuer la préparation de son bras de démon tout en grignotant autre chose.

Elle le sortit du bac plein de sel et d'herbe et épices en tout genre et le posa sur la table, afin de le couper et d'enlever les os, tout en faisant cela elle regardait ailleur pour repérer les autres ingrédiens et ustencils dont elle aurait besoin, ce ne fut que par chance, voir miracle, qu'elle ne se coupa rien.

Elle récupéra ensuite des légumes trouver par-ci par-là et les mit dans une sorte de caserole remplit d'eau, elle ajouta du sel, d'autre herbes et épice puis alluma un feu sur lequel elle posa la "marmite" sans la moindre précaution.

Elle retourna voir ses morceaux de bras, les assaisonnant une dernière fois avec avec tout ce qu'elle avait, durant cette dernière préparation elle était distarite par un petit oiseau qui était entré dans sa tente et chatait à merveille.

Elle posa les morceaux sur une pierre lisse trouvé dehors qu'elle avait posé à moitié dans le feu, elle fit en sorte qu'ils soient ni trop près ni trop loin, mais malgrès cela elle les mit quand même trop près du feu.

Elle finit par faire un trou dans la toile avec son arc car elle avait remarqué qu'il n'y avait point d'orifice pour faire sortir la fumée.

Il ne lui rester plus qu'à attendre que le tout soit cuit, pour cela elle alla s'alonger sur son lit avec sa peluche Zafir, un tigre blanc aillé, et, sans le vouloir, s'endormit.

*
**

Une étrange odeur vint caresser les narines à Arera, la sortant de son doux sommeil, c'était une odeur de brulée.

Elle se releva brusquement et fit que ces morceaux de bras brulaient ainsi qu'une partie de la toile de la tente, elle resta bouche bée, horrifié par ce qu'elle voyait pendant quelques secondes.

-Mon bras de démon!!!! Nooooooon!!!

Elle se précipita vers le feu et se mit à souffler de toutes ses forces et à faire des gestes étranges avec ses mains faisant du vent, pour éteindre le feu. Hélas, il se passe l'inverse de l'effet attendu et le feu s'attisa.

-Oooh...

Elle aperçut son arc qui risquait de s'embraser, elle le sauva de justesse et le mit sur elle. En se baissant pour le ramaser elle aperçut le bras de démon dans son bac et à côté le bac dans le quel elle mettait ses morceaux de bois, elle compris alors que c'était une buche qui brûlait et non se bras ce qui la soulagea.

Mais le feu continuait toujours de grandir, elle finit par prendre la marmite et la renverser sur le feu pour l'éteindre, il y eu alors une grande fumée noire qui l'empécha de voir si le feu avait pris fin ou pas, mais par la chaleur et l'odeur qu'elle resentait encore, elle conclut qu'il devait encore rester des flammes.

-De l'eau!

Il lui fallait de l'eau, elle écarta de la zone sinistré tout ce qu'il lui tenait à coeur, en finisant par sa peluche.

-Je compte sur toi, tu surveille tout et tu essaie d'éteindre le feu, je reviens vite.

Elle acourut dehors, et se mit à courir à toute vitesse, le soleil venait juste de se lever, il y avait donc personnes dans les rues, se qu'il l'aida considérablement.

Elle courait, les yeux à moitié à fermer et en cessant de répété "de l'eau" dans sa tête pour ne pas se laisser distraire par quoi que se soit.

Elle se prit quelque chose de plein fouet et se retrouva par terre sur les fesses.

Elle releva la tête pour regarder se qu'elle avait percuter et aperçut un paneau planté au beau milieu de la place, il y avait dessus un écriteau.

Citation :: Depuis quelques temps déjà toutes personne s'approchant d'un périmétre precis est éradiquer. Nous ne savons pas pourquoi mais personne n'en est revenu. Personne sauf une personne, qui, a aprés avoir entendu un bruit suspect fuit abandonnant son groupe, elle n'a pas d'autres resneginement le groupe n'est pas revenut.

Nous cherchons des aventuriers prêt à braver le danger pour élucider ce mystére. Une récompense sera surement de mise.

Veuillez vous presentez demain à l'aube.

-Ca a l'air intéressant et étrange cette histoire, j'aimerais bien an savoir plus.

Sa curiosité venait d'être mis en éveil, et par chance pour elle, elle se trouvait au lieu de rendez-vous et à l'heure du rendez-vous et avec son arc.

Elle se releva tout en se dépousiérant et jetta un rapide coup d'oeil autour d'elle, il n'y avait personne d'autre, elle leva les yeux au ciel, l'air penseur.

-C'est bizzard, j'ai la sensation d'avoir oublié quelque chose...

Après quelques minutes de réflexion, elle finit par hausser les épaules et posa de nouveau son regard sur la pancarte.

[hrp: désolé post-long]

edit anim : et alors ? t'as été lire ceux que je fais pour Arga ? faisons du rp de qualité !!! nous voulons de la qualité ! nous voulons de la qualité ! nous voulons de la qualité ! nous voulons de la qualité !
je suis en exa et je pète un plomb.. scusez

y a quelques fautes d'ortho..

Atÿla avait décidé de sortir de chez elle. L'air frais lui ferait du bien. Son rêve l'avait bouleversée, et elle s'était enfermée chez elle. Mais elle ne suportait pas de rester inactive, alors qu'elle savait que quelquechose allait se passer. Aussi s'habilla-t-elle en conséquence, mit son grand chapeau, pour, comme à son habitude, cacher son visage qu'elle n'aimait pas, et avança dans les rues de Girk'an, jusqu'à la place du village. Elle n'avait pas vraiment envie de rencontrer des gens, elle voulait juste rester seule avec ses pensées, et les bas-quartiers étaient beaucoup trop animés pour se livrer à une telle occupation.

Arrivée sur la grand place, vide à cette heure, elle remarqua un écriteau planté au beau milieu de celle-ci. Curieuse, elle s'approcha pour lire:

Citation :: Depuis quelques temps déjà toutes personne s'approchant d'un périmétre precis est éradiquer. Nous ne savons pas pourquoi mais personne n'en est revenu. Personne sauf une personne, qui, a aprés avoir entendu un bruit suspect fuit abandonnant son groupe, elle n'a pas d'autres resneginement le groupe n'est pas revenut.

Nous cherchons des aventuriers prêt à braver le danger pour élucider ce mystére. Une récompense sera surement de mise.

Veuillez vous presentez demain à l'aube.

C'est alors qu'elle ressentit un pic étrange dans l'estomac, comme un avertissement : quelque chose allait bientôt se passer.
Prise d'une soudaine inspiration (peut-être étais-ce dû à l'odeur de fumée qu'elle sentait!) elle s'écarta brusquement. Bien lui en prit, car à peine deux secondes plus tard, Arera percuta à une vitesse folle l'écriteau. La jeune fille ailée ne l'avait pas vue. Atÿla resta discrète, pensant:

*Hmm... Dois-je la saluer? Je ne sais pas... Je n'ai pas tellement envie de voir du monde... Et puis, elle ne m'a pas encore aperçue! Il est toujours temps de s'éloigner discretement...Mais qu'est-ce que cette odeur de brûlé? Un incendie?*

Pendant ce temps, Arera avait pu observer à loisir l'écriteau (Atÿla n'était pas connu pour la vitesse de sa reflexion). L'odeur âcre de fumée persistant, la jeune nécromancienne se décida à aller lui parler:

"Bonjour Arera! Tu ne t'est pas fait mal? Et dis-moi... Mille bouses de Skull, c'est bien un incendie! Vite, aide-moi, il faut trouver de l'eau!"

Sans plus attendre, et sans savoir si l'ange lui avait répondu, la semi-elfe courut jusqu'au puits qu'elle avait déja eut l'occasion d'apercevoir sur la place. Elle tira à toute vitesse un seau d'eau, et sans réfléchir, courut vers la source de l'incendie, pensant de toute ses forces à sauver les personnes avoisinant le lieu-dit. Une fois arrivée, elle lança son eau vers la base des flammes, puis repartit aussitôt, et continua son manège. Mais bon sang, que quelqu'un l'aide! Le feu commençait à prendre à une maison mitoyenne. Elle vit en sortir, apeurés, un homme, un petit garçon et une femme, qui vint se jeter à son cou en disant:

"Par pitié, mademoiselle! Vous êtes Mage, à ce que je vois! Aidez ma fille, elle est coincée dans la maison!
- Euh... Je ne crois pas que la nécromancie vous serait d'une grande aide!
-Je vous en supplie! Sauvez mon enfant! Sauvez-la!
- J'y vais. Mais vous, rameuter tout le monde que vous pourrez pour éteindre l'incendie! Seule, je ne peux rien faire!"

Atÿla pensa alors au voyage Nécrotique. Mais elle allait voler de l'énergie à cette filette, qui devait déja être affaiblie, et risquait de la tuer. De toute façon, elle ne la voyait pas, alors impossible d'utiliser ses talents. Atÿla ôta son chapeau, son manteau et sa jupe longue, restant en bustier et pantalon de cuir de sorte à ce qu'aucune étoffe ne puisse prendre feu et la brûler plus gravement. Elle désira ensuite un morceau de sa robe, qu'elle noua de vant son nez et sa bouche, et emporta un deuxième morceau pour la petite fille. Puis, prenant son courage à deux mains et songeant qu'il y a quelques temps, jamais elle n'aurait fait cela, elle pénétra dans la maison en flammes.

Tout semblait rouge autour d'elle. Le feu avait pris rapidement sur les poutres de la maison de bois. La chaleur était intense, et aurait simplement suffit à embraser les vêtement inflammable du manteau et du chapeau. Elle s'orientait avec mal, cherchant à entendre une voix quelconque qui la guiderait. En réponse à ses pensées, un souffle, plutôt qu'une voix, appela à l'aide. Atÿla exhorta la fillette à continuer d'apeller, de façon à ce qu'elle puisse la trouver. Et pénétra enfin, suivant la voie, dans une pièce qui pour l'instant n'avait pas encore trop brûlé. Mais la fumée se faisait sentir avec force, piquant les yeux et irritant le nez. La fillette se trouvait là, recroquevillée contre le mur, les yeux pleins de larmes. La nécromancienne lui noua l'étoffe sur le visage, et la prit dans ses bras, cherchant la sortie. Une poutre incandescente s'effondra devant elle. Elle était completement perdue, et avait dans les bras le poid d'une vie humaine qu'il fallait qu'elle sauve à tout prix! Des étincelles volaient en tous sens, donnant à cette scène une allure surréelle. La semi-elfe serra la petite fille dans ses bras, lui communiquant de l'espoir.

Elle cherchait toujours la sortie. Il fallait qu'elle trouve... Il le fallait! Où elle allaient mourir là, toute les deux, à seulement 19 ans et 6 ans. Non!

La jeune dresseuse se mit à courir, reconnaissant le chemin. Une autre poutre s'abattit derrière elle, en explosant dans une gerbe d'étincelles. Elle savait désormais par où passer, un sentiment intérieur la guidait. Bientôt, elle atteignit la sortie, et lâcha la fillette qui courut vers ses parents, l'ouliant totalement. Elle se tira de la maison, et se posa dans un coin, très lasse. Personne ne vint la remercier. Personne ne vint lui demander si ça allait. Pour les parents, retrouver leur fille avait été essentiel, le reste, ils s'en fichaient.

[Mode Mj à l'arraché:on] La quête va demarrer demain, que ceux qui n'ont pas encore postez poste rapidement ou rejoigne la quête en cours eventuellement si il n'est pas trop tard...[Mode Mj à l'arraché:off]

Après avoir commandé une épée et quitté la forge, Sarius c'était dirigé vers la place principal. En chemin il vit un incendie. En arrivant il vit des citoyen s'activé à éteindre le feu. Une femme l'interpella et lui dit:

"Ma fille est à l'intérieur, une femme est entré la chercher mais elles ne sont pas resortir. Sauvez la !"

Sarius fut prit au dépourvut, alors qu'il s'avença vers le bataiment en flamme, il vit la femme et l'enfant sortir. L'enfant courut vers ses parents. Il reconnut Atÿla, c'était la femme qui avait sauvé l'enfant. Sarius alla la s'assoir à côté d'elle et lui deanda si ça allé.

Sarius n'avait jamais vraiment parlé à Atÿla, il se rapella que une fois elle avait empéché un combat entre lui et Darl, il sourit à se souvenir.

[Dsl un peu vours mais j'ai pas d'inspiration pour amorcé ma participation.]

Darl revenait du terrain vague de la ville ou il était parti s'entraîner , depuis quelque temps déjà il s'entraîné dur à l'épée pour garder un bon niveau avec son arme. Nuada sur le dos, il traversait la ville pour rejoindre la forge et pour ce reposer. Lorsqu'il passa sur la place principal de la ville , plusieurs personnes lisait le tableau des annonces du conseil des mages. Darl se dit que c'était bien de prendre des nouvelles de la ville, peut être quelque chose d'intéressant en perspective.

Une fois proche du panneau, deux ou trois personnes s'écartèrent face à l'elfe armé de l'imposante épée. Sur le tableau ce présenté une étrange lettre du conseil des mages sur un phénomène étrange Darl réfléchit un instant, cela pourrait être une épreuve de force pour lui , voir à quel point il a évolué ces derniers temps. Il avait envie de se battre contre des monstres pour mesurer sa force et devenir un guerrier des plus puissant de Gir'Kan.

C'était une ambition très grande, mais si il était déterminé , il pourrait y arriver. Il prit le morceau de charbon noir qui pendait et inscrivit son nom d'une écriture fine. C'était peut être un guerrier, mais le forgeron possédait tout de même une certaine grâce digne des elfes.

Il reprit donc le chemin de la forge, maintenant il devait se préparé et se reposé pour le voyage qu'ils allaient faire , il se demandait qui d'autre était inscrit, il avait oublié de regarder les autres noms ....

Bonjour Arera! Tu ne t'est pas fait mal? Et dis-moi... Mille bouses de Skull, c'est bien un incendie! Vite, aide-moi, il faut trouver de l'eau!

Arera se retourna et aperçut Atÿla, elle lui offrit un large sourire et s'aprêta à répondre lorsqu'elle aperçut à son tour l'incendie.

-Mince, je me disait bien que j'avait oublié quelque chose!

Atÿla avait déjà accourut pour essayer d'éteindre le feu, elle se lanca à son tour vers le puit et commenca à réfléchir en regardant rapidement autour d'elle, ce n'était pas en faisant ainsi qu'on réussirait à quoi que se soit. Une idée lui vint à la tête, elle se tourna pour l'expliquer à Atÿla mais celle avait disparut, elle l'aperçut au loin rentrer dans une maison en flamme

- Mais...qu'est-ce qu'elle fait?

Elle se tapa la tête ce n'était pas le moment de réfléchir à ça, elle prit la corde du puit, la déroula de celui-ci, y passa d'autres seaux qu'elle attacha solidement que celui qui y était déjà, puis enleva son arc de son dos et attacha un bout de la corde à une flèche.

Elle avait repérer au niveau de la cheminée une tige métalique qui en sortait, elle visa ceztte tige, et comme elle avait prévue, la corde passa à côté tout en restant éloigner des flamme par la hauteur de la cheminée.

Elle laissa tombé son arc, et accourut de l'autre côté de la maison, en risquant de se faire brûler au passage, elle récupéra sa flèche qui pendait de l'autre côté, heureuse que le feu ne l'ai pas touché, elle retourna au niveau du puit mais en passant par l'autre côté.

Arrivée la, elle desendit dans le puit, tout en tenant la corde, à l'aide de l'échelle à barreaux s'y trouvant pour ceux qui tomber dedans, l'eau était gelée, elle lui arrivait jusqu'aux épaules, il faisait tout noir, elle devait rester accroché aux barreaux car elle n'avait pas pieds.

Elle cherchait à taton dans l'eau et son bras finit par rentrer en contact avec une barre métalique, elle passa la corde en dessous mais en perdit l'équilibre et se retrouva entièrement dans l'eau, elle retourna rapidement sur l'échelle avant de remonter.

Une fois en haut, elle attacha solidement les deux bouts de la corde et se mit tirer dessus malgrès le fait qu'elle était frigorifié, c'était bien trop dur pour elle, elle n'y arriver pas.

-Laisse ça petite on va s'en occuper, tu as assez travailler repose toi.

Deux hommes alertés par la fumée étaient aparut dérrière elle, l'un mit sa main sur son épaule et l'autre attrapa la corde. Les deux hommes en tirant ensemble réussir à faire fonctionnait son petit montage, les seaux aller tout d'abord dans le puits se remplir d'eau avant de se diriger ver la maison en se déversant dessus grâce à la cheminé puis retourner dans le puit et ainsi de suite.

Arera se tenait les bras, elle tremblait de tout son corp, elle regarda autour d'elle et aperçut Atÿla sortit idem avec à ses côtés Saruis, elle se dirigea vers en chancelant et se laissa tomber à leur côté.

L'eau ruiselait de ses vétements et de ses cheveux, elle avait tellement froid qu'elle ne sentait plus ses membres et ne cesser de tremblait comme une feuille, une eau aussi froide devrait être interdite.
Elle afficha quand même un doux sourire.

-Bonjour vous deux! Allez-vous bien ? Surtout vous, Atÿla, je vous est vue rentré dans la maison en flamme, j'espère que vous ne vous êtes pas bléssée...

Elle baissa la tête et son sourire disparut, ce qui allait bien avec le fait qu'elle était frigorifiée.

-Je suis désolé, sincérement désolé, tout est de ma faute, je voulait faire de la cuisine mais j'ai été trop distraite et ça a prit feu, j'ai essaier de l'éteindre puis j'ai voulut aller chercher de l'eau mais encore une fois j'ai été distraite par le panneaux.

Elle le désigna de la main, avant de disumuler son visage dans ses mains en éternuant, une petit larme coula mais se confondit au reste des gouttes d'eau sur son visage.

-Je suis vraiment désolé, comment faire pour me racheter, je suis vraiment tête en l'air, et maintenant une famille à plus de foyer et toutes mes excuses n'y feront rien.

Sarius vit arriver Arena, elle leurs dit que c'était à cause d'elle qu'il y avait eut l'incendie.

Les sentiments de Sarius était partagé, il dit à Arena:

"Tant fait pas se n'est pas grave."

Il avait dit sa pour la rasuré, mais c'était très grave, il y aurais une enquete et elle risquait de se faire arréter. Dans sa tête Valken se réveilla et dit à Sarius (je le rappel, les discution entre Valken et Sarius son dans son esprit donc vous ne pouvez rien entendre):

**Pffff, elle est vraiment idiote. Il faudrait l'enfermé pour le bien des citoyens.

-Depuis quand te préoccupes tu plus que de ta seul personne.

-Je disais juste sa car je sais qu'elle ne sera jamais emprisonné et il aura surement des morts, sa à bien faillit réussir cette fois.**

Sarius savait que Valken avait raison, Arena était un dangé, elle était jeune, en veillisant elle serait plus responsable.

Atÿla fermait les yeux. Soudain, elle entendit une voix lui demander si tout allait bien. Elle ouvrit les paupiètres et se retrouva nez à nez avec Sarius, qui la regardait, assi à ses côtés. Elle soupira puis répondit:

"Moi, je vais bien. La petite, je crois aussi. Je devrais me lever pour aller éteindre cet incendie... Merci de vous inquiéter."

Ils restèrent un court instant silencieux, puis Arera arriva et dit:

"-Bonjour vous deux! Allez-vous bien ? Surtout vous, Atÿla, je vous ai vu rentrer dans la maison en flamme, j'espère que vous ne vous êtes pas blessée...
- Tout va bien. Et toi?
-Je suis désolé, sincérement désolé, tout est de ma faute, je voulait faire de la cuisine mais j'ai été trop distraite et ça a prit feu, j'ai essaier de l'éteindre puis j'ai voulut aller chercher de l'eau mais encore une fois j'ai été distraite par le panneaux. Je suis vraiment désolé, comment faire pour me racheter, je suis vraiment tête en l'air, et maintenant une famille à plus de foyer et toutes mes excuses n'y feront rien.
-Tant fait pas se n'est pas grave.

L'adolescente était trempée et avait l'air aussi frigorifiée que contrite.Atÿla pensa qu'elle n'avaient pas tant d'années de différence. Elle se reconnaissait dans cette jeune fille impétueuse à qui il arrivait beaucoup de problèmes. La nécromancienne alla chercher ses effets, et remit sa jupe et son chapeau. Elle posa le manteau sur les épaules d'Arera, en prenant bien garde à ne pas abîmer ses ailes. Puis elle s'accroupit devant la jeune fille, et la serra dans ses bras, en lui chuchotant, de sorte à ce que personne d'autre n'entende:

" On est un peu pareilles, toi et moi. Tu veux toujours bien faire, et au final, quelque chose que tu n'a pas prévu vient te distraire de ton but. Tu as certes fait une erreur, en essayant de cuisiner, mais tu voulais bien faire. Tu ne pouvais pas prévoir cet incendie, et tu a fait tout ce que tu as pu pour l'éteindre. Tu es très courageuse. Et puis personne n'a été blessé, c'est l'essentiel. Une maison se répare, une vie, jamais. Peut-être... que tu ne devrais pas vivre toute seule, si tu es aussi tête en l'air... Je ne sais pas ce que tu en penses, mais commme ton logement à brûlé... Si tu le souhaite, tu peux venir habiter avec moi, aussi longtemps que tu le voudras. Et pour l'incendie... Je m'arrangerais avec le Conseil, si besoin est. Maintenant, séche tes larmes, cela ne sers à rien de pleurer."

Atÿla s'écarta, et se dirigeant vers le panneau, relut l'annonce et inscrivit son nom sur la liste des volontaires. Elle voulait sortir de la ville qui l'étouffait, avec ses habitants égoïstes et ses maisons qui brûlaient trop facilement. Elle avait de nouveau envie de liberté, de grand air, de nature. Elle voulait revoir les loups. La semi-elfe commença à pleurer doucement. Sa véritable famille lui manquait. Pourquoi avait-elle été assez folle pour connapitre les hommes, cette race, à peu de personnes près, corrompues en profondeur?

Tant fait pas se n'est pas grave.

Arera releva la tête et eu un léger sourire, c'était très gentil de la part de Sarius de vouloir la rassurer, elle aurait aimer le croire mais elle savait que des problèmes allaient suivre et qu'elle irait peut-être en prison, elle frisonna et lui répondit avec une petite voix.

-Merci de me dire ça même si ça n'est pas vraiment vrais, ça fait plaisir.

Elle sentit alors un peu de chaleur et remarqua que Atÿla, qui s'était rhabillée, l'avait envelopper avec un manteau, elle eu un dernièr frison dû à la différence de température entre le chaud manteau et sa peau froide.

Atÿma l'a prit dans les bras ce qui réconforta Arera tout en lui procurant une grande chaleur, Atÿla lui glissa quelques mots à l'oreille.

On est un peu pareilles, toi et moi. Tu veux toujours bien faire, et au final, quelque chose que tu n'a pas prévu vient te distraire de ton but.

C'était tout a fait vrais, Arera était une fille très gentille et voulant aider les autres, mais sa maladresse et sa distraction l'empéché d'y arriver et lui crée souvent des problèmes, elle était contente que quelqu'un la comprenne.

Tu as certes fait une erreur, en essayant de cuisiner, mais tu voulais bien faire. Tu ne pouvais pas prévoir cet incendie, et tu a fait tout ce que tu as pu pour l'éteindre. Tu es très courageuse. Et puis personne n'a été blessé, c'est l'essentiel. Une maison se répare, une vie, jamais.

Elle avait raison, elle est la cusine ça fait deux. Arera sourit au petit compliment, Atÿla la réconforter et cela ma rendait heureuse, elle savait très bien trouvait ses mots.

Peut-être... que tu ne devrais pas vivre toute seule, si tu es aussi tête en l'air... Je ne sais pas ce que tu en penses, mais commme ton logement à brûlé... Si tu le souhaite, tu peux venir habiter avec moi, aussi longtemps que tu le voudras.Et pour l'incendie... Je m'arrangerais avec le Conseil, si besoin est. Maintenant, séche tes larmes, cela ne sers à rien de pleurer.

Elle lui proposer de vivre avec elle et de lui évitait les probèmes dû à l'incendie, Arera n'en revenait pas, elle en était très heureuse, Atÿla était si gentille qu'elle ne voulait refusé mais si elle lui crée des problèmes. Elle se sentait beaucoup mieux et très heureuse, bien plus qu'à l'ordianaire.

Elle séchat ses larmes aussi vite qu'elle put, sa tristesse s'était remplacé un très grand bonheur et tout cela grâce à Atÿla.Elle lui répondit avant qu'elle ne s'en aille.

-Je vous remercie beaucoup, vous êtes d'une gentillesse sans limite, j'accepte volontier votre aide et serait heureuse de vivre avec vous mais je m'excuse d'avance si cela vous crée des problèmes.

Elle regardit Atÿla partir en souriant, elle avait encore son manteau sur elle, il faudrat qu'elle lui rende, elle se leva à son tour, fit un petit signe de main à Sarius avec son sourire habituel qui lui était revenue aux lèvres.

Elle écrivit son nom sur la pancarte tout en récupérant son arc, elle possédait une belle écriture liée bien que maladroite. Puis elle retourna vers ce qui était sa tente, il ne rester plus rien, à part Zafir, sa peluche, elle trouva ça étrange mais ce n'téait pas la première fois que Zafir "survivait" à une catastrophe. Elle le prit dans ses bras.

-Toi, je ne te lâche plus.

Puis elle retourna à petit pas vers la place en serrant contre elle sa peluche, son coeur était gonflée de joie et de reconnaisance et cela se voyait à son petit sourire et à la lueur dans ses yeux.

Sarius ne pouvait pas rester. Il se leva également, il rajouta son nom à la liste et parti.

Alors que Sarius marchait dans les rues. Sa vue se troubla, ses jambes se déroberent sous lui, il séfondra, sa tête heurta le sol violament.

*

Il devait révé, il se trouvait dans un lieuà la limite démoniaque, un volcan se tenait derriere lui, face à lui deux personnes se faisait face, deux personnes identiques, deux personne qu'il connaisait: Valken et lui. Il s'aprocha, ni croyant pas ses yeux.

Valken, était le portrait craché de Sarius, son visage, ses mains, tout était identique sauf ses yeux, celà était totalement noir. Il était habillait d'une armure de metal légé totalement noir, une cape noir et une capuche lui recouvrant la tête, certains cheveux sortait de la capuche. Il arborait une grande épée noire.
Le Sarius face à Valken était lui même, c'est cheveux noirs mi-long, ses yeux verts emeuraudes, son anneau doré à l'oreille gauche et toute ses cicatrises. Il portait exactement le même habit que Valken sauf que le sien était tout rouge, son armure était en metal légé gris métalique. Sa cape rouge lui donnait un air étrange , une capuche relié à la cape sur couvré la tête. Mais le plus étonnant était que Sarius avait une cicatrise sur la joue gauche.
Sarius sut immédiatement où il était. Il n'était pas dans le présent, ni dans le passé mais belle et bien dans le futur.
Le Sarius en rouge possédé également une grande épée d'argent bleuté, la lame était grande, une gemme bleu ornée la garde de l'épée. Sarius reconnut l'épée qu'il avait comandé chez le forgeron quelque heure plus tôt.
Mais se qui inquiétait Sarius c'était le lieu dans lequel il se trouvait, il était casiment persuadé que c'était les îles de feu. Il eut une révélation il devait se rendre dans se lieu.

Soudain Les deux guerriers identique chargerent, Sarius aurait voulut les arréter. Les épées était levait, le combat commença.
Au fur et à mesure que le combat se poursuivait, la vision de Sarius se troubla à nouveau.

*

Sarius se réveilla sur son lit, il vit Altarith à ses côtés. Le famillier dit:

"A enfin tu es réveillais. J'ai eut peur, je ne t'ais plus senti dans notre lien, donc je suis venut te chercher au derniere endroit où j'avait resentit le lien et je t'ais trouvé étendut sur le sol.

-Ne t'inquietes pas je vais bien."

Sarius se leva, il resentit une legere douleur à la tête et s'appersut qu'il avait une bosse.
Il alla voir l'armoire de sa chambre et l'ouvrit, il était sur trouvé se qu'il y avait dedans, il ne savait comment mais il y avait une cape rouge à capuche. Il savait se qu'il devait faire à présent.
Il mit la cape rouge et sorti de la chambre en compagni de Altarith. Il arriva dans son salon, il déscendit les escaliers qui menait à l'armurerie.
Aldo l'intersepta et lui dit:

"Sarius, l'armure légere en argent que tu ma demandée est fini.
-Pardon... Dit moi quand es que je t'ai demandé de faire cette armure.
-Il y a environ deux semaines environ.
-A oui c'est vrais. Et bien merci, voila pour toi."

Sarius n'avait aucun souvenir d'avoir demandé cette armure; il donna 980 po à Aldo pour le remercier et pour lui payer son travail.
Il retira son armure de cuir qu'il portait tout le temps et mit l'armure de metal légé en argent.
Après c'être équipé il repartit en compagnit de Altarit en direction de la place principal pour être pres pour la quete.

[Hrpg: l'armure fait par Aldo équivaut à un achat d'armure normal (en comptant la réduction de cette semaine), voila se que j'ai "acheté": plastron, gantelet leger et jambiere de metal, le tout en argent. Donc j'enleve 980 po à mon argent]

[hrpg: Dsl du double post, mais je viens de me rappeler que demain je suis pas la de la journée (je vais faire du air soft) donc je pourais pas être là pour le début, je vous rejoindrais en cours. Bon si il y a des post se soir je pourais peut être participer.]

Post à suprimé quand le mj en aura prit compte.

Atÿla repensa aux mots d'Arera "Je vous remercie beaucoup, vous êtes d'une gentillesse sans limite, j'accepte volontier votre aide et serait heureuse de vivre avec vous mais je m'excuse d'avance si cela vous crée des problèmes."

D'une gentillesse sans limite... Non, elle n'était pas gentille. Elle était corrompue, comme tout le monde. Mais refusait de voir une jeune fille de 16 ans se faire arreter ou vivre dans la rue, a cause d'une erreur. Cela la révoltait, elle ne voulait pas qu'Arera connaisse sa propre expérience. Personne ne méritait ça. De fil en aiguille, la semi-elfe repensa à Ombrana. Elle ne l'avait jamais revu, et le déplorait. Cette jeune femme aurait pu l'aider à évoluer. Mais le temps n'était pas aux souvenirs. Il y aurait bientôt une confrontation de la plus grande importance. Bientôt... La nécomancienne retourna vers le lieu de l'incendie et retrouva Arera qui serrait dans ses bras une peluche. Elle la prit à part et lui chuchota:

- Maintenant que tu a accepté de vivre avec moi, je deviens ta tutrice. Peut m'importe les problèmes que tu pourrait m'apporter, je ne veux pas te laisser seule. Je veux juste que, lors de l'enquête de Conseil, s'il y en a une, tu me laisse parler, et, quoi que je dises, tu te taises. Il faut me le promettre. Jure-le moi. A présent, rassemble ce qu'il reste te reste, et suis-moi, nous rentrons à la maison. J'espère que tu aimes les animaux...

Sarius se dirigeait vers la place principal en compagni de Altarith. Les gens qu'ils croiserent sécarterent précipitatalent en voyant Altarith, car il fallait le dire on pouvait réellement le prendre pourun démon du feu ou une créature malvaillante. Celà faisait sourire Sarius; sous sa capuche on distingué à peine ses yeux, son nouvel habit lui donnait un air de sécurité et une grande confiance en lui. Sarius était sur le chemin d'une nouvelle raison de vivre, mais une ombre venait masqué cet avenir incertain: le combat qui aller opposé Sarius à Valken, se combat désidera l'avenir de Sarius et de la magie soustractive. Il ne savait pas trop quoi faire, il ne savait pas si il devait trouver le moyen de détruir la magie soustractive ou un moyen de la réveiller.
De plus il allait avoir un probleme plus imminent, quand le nécromencien apprendrait que Sarius l'avait envoyé sur un fausse piste, mais il est apparut à Sarius que un ancien sorcier se trouvait sur les îles de feu, il était encore enfermé dans un cristal mais il serait bientôt libéré, Sarius devait trouver un moyen de détruir ce maître de la magie soustractive. Mais pour celà il allait devoir partir pour les îles de feu et donc il aurait besoin d'aide, il espérait pouvoir comptait sur Arganalth et peut être aussi sur... Darl Valar. Il ne voulait pas impliqué Elanor de peur qu'il lui arrive quelque chose.

Sarius et son famillier arriverent sur la place principal. Comme toujour le peu de citoyen qui se trouvait sur la place disparurent quasiment à l'arrivait de Altarith mais voyant que Sarius n'avait pas peur de la créature, certain resterent à s'occupé de leur affaire sans trop s'approché du famillier.

Sarius vit un peu plus loin Atÿla et Arena qui parlait, Sarius décida de les rejoindre.

Arera était tranquiement retourné à la place, elle se laissa séchait au soleil lorsqu'elle aperçut Atÿla qui revenait, cette dernière la pris à part.

Maintenant que tu a accepté de vivre avec moi, je deviens ta tutrice.

Sa tutrice ? C'était une sorte de mère pour qui nous protège, elle aima beaucoup cette idée.

Peut m'importe les problèmes que tu pourrait m'apporter, je ne veux pas te laisser seule.

Les yeux d'Arera se mirentà briller d'une étrange façon, elle entrouvit légérement la bouche, elle n'en revenait pas que quelqu'un puissse ne pas être déranger par des problèmes, elle était si gentille, si protectrice, si attentionnée...

Je veux juste que, lors de l'enquête de Conseil, s'il y en a une, tu me laisse parler, et, quoi que je dises, tu te taises. Il faut me le promettre. Jure-le moi.

Ce n'était pas dans a nature de ne pas s'exprimer, mais devant une telle bontée, elle ne pouvait rien refusé, surtout qu'Atÿla semblait savoir comment s'y prendre devant le conseil contrairement à Arera. Elle sourit doucement.

-Je le jure, je vous laiserai faire, promis.

A présent, rassemble ce qu'il reste te reste, et suis-moi, nous rentrons à la maison. J'espère que tu aimes les animaux...

"Nous rentrons à la maison", elle se repassa plusieur fois cette phrase dans sa tête, cela faisait longtemps qu'on lui avait dit ça, qu'on s'était comporté ainsi avec. Elle parla joyeusement avec enthousiasme avec un grand sourire aux lèvres.

-J'ai déjà avec moi tout ce qu'il me reste: Zafir, mon arc, mes flèches, et d'autre babioles dans ma poches. Les animaux ? Bien sûr que je les aime, je les adore!

Arera aperçut au loin Sarius qui s'approchait dans une étrange cape rouge avec capuche tout aussi rouge, accompagné par un animal d'un taille imposante.

Elle se "promenait" dans la rue de façon anodine. Elle regardait les pavés et s'amusait à marcher dessus en équilibre, à petits pas feutrés, s'entraînant toujours plus loin sur la voie de l'agilité et de la dextérité. Elle aperçut soudain quelqu'un qu'elle connaissait. Cette brave nécromancienne. Elle passa une main dans son abondante chevelure rousse et réfléchit un instant. De toute manière, elle voulait faire une petite pause dans son "travail" et il n'y avait pas l'air d'avoir grand monde. Elle s'avança donc, elle vit un panneau. Mais ne sachant pas lire, elle passa sa route sans comprendre quoique ce soit et sans essayer d'y comprendre quelque chose. Elle savait que ne pas savoir lire était un lourd handicape mais cet art est réservé aux chanceux et à l'élite. Elle fit un petit détour. Et après un petit crochet elle vint se planter devant Atÿla.

Bonjour princesse !

Petit sourire un brin taquin, son visage exprimait une malice enjouée. Elle plaça une main sur ses hanches. Elle portait de joli habit. De belles bottes, un corset et un chemisé. Le tout en soit très simple mais qui faisait ressortir ses courbes avenantes de façon quelque peu provocatrice. Elle avisa le guignol de la Maître Clerc dans un accoutrement ridicule s'approcher. Elle resta là, l'ignorant superbement l’individu qui s’approchait et continuant sa discussion. Sa voix avait un timbre léger et grave, légèrement chuchotée et flutée elle était à la fois charmante et avec un brin de malice. Nul doute que cette femme n'était pas uniquement une jolie fille innocente. Il y avait quelque chose dans son attitude, sa façon de regarder peut-être. Furtive elle semblait surveiller quelques choses d'invisible. Un danger qui la guetterait sans l'inquiéter. C'était une impression d'un je ne sais quoi vaguement inquiétant qui se dégageait d'elle. Une illusion qui cacherait la véritable nature de la femme qui se tenait devant elles.

Comment vas-tu ma belle ? Ça fait longtemps que je ne t'avais pas croisée. Tu fais quoi ces derniers temps ?

Elle remarqua la gamine qui semblait la coller, elle se tourna vers l'enfant. Elle commença à lui parler. Alors qu'elle parlait innocemment, sa main jaillit très furtivement lorsqu'une dame passa près d'elle. (jet 20 huhuhu) ses doigts aussi agiles que des papillons dansant une étrange danse s'enroulèrent autour d’un ruban de couleur vermeille, en quelques coups de poignet le tissus de soie coula dans sa main. Alors qu'elle faisait ça, elle n'avait pas cessé de parler, personne n'avait pu voir ce qu'elle avait fait, outre ses deux interlocutrices qu'elle avait laissé voir la scène. Intentionnellement. Le tout c'était passé en quelques secondes, vive, d'une dextérité admirable. Elle prit le ruban et le plaça dans la main d'Arera. Elle avait déjà rencontré la gamine lors du combat, elle s'en souvenait oui. Bizarre cette gamine, bizarre.

Voilà pour toi petite princesse.

Elle se redressa et regarda Atÿla un instant. Il y avait toujours dans le regard de l'Ombre quelque chose de triste et fade, comme une trop évidente clairvoyance du monde pourri par la guerre dans lequel elle vivait. Mais c'était surtout une attitude provocante et malicieuse qui dominait. Comme si tout cela ne représentait qu'une vague mascarade, un jeu amusant. Elle sortit sa dague et s'amusa un peu avec, la faisant tournoyer et virevolter dans ses mains. Elle la rangea finalement et émis un bref soupire.

Ça m'a fait plaisir de t'voir mais je ne vais pas m'attarder dans le secteur. Surtout avec le clown rouge qui semble décidé à vous rejoindre.

Elle rit, une petit rire moquer mais léger. Sans doute n'était-ce pas réellement de Sarius dont elle riait, mais plutôt d'elle même. Elle haussa les épaules et sourit à nouveau.

Il est temps que je retourne à ma rue, si vous avez besoin d'aide vous savez ou me trouver.. dans l'ombre.. car le vent est libre..

[note : Ombrana ne participe pas à la quête, sauf si vous pensez l'avoir finie pour le 20 juin.. j'avais envie de rp un peu..]

Il était un peu plus tard quand un personne les rejoint, c'était un maître mage, celui des chasseurs.
Elle était suivit d'un tigre sur lequel était jonché divers sacs.
Elle sa rapprochat du groupe et prit sechement la parole:

Bon, je voit qu'il y'a encore du monde. Mon test pour decourager les moins patient n'a pas marcher, je pense que l'on pourra bien s'entendre...
Mais nous ne sommes pas là pour rigoler! Nous avons du pain sur la planche. Prenez chacun un des sacs qui se trouve sur nazgrul, mon tigre, ce sera vos provision, ces sac contiennent trois sandwich, de la viande sechés et quelques legumes divers.
Quelqu'un a des questions? Sinon on part directement.

Bonjour princesse !

Arera tourna la tête et vit une jeune femme rousse devant Atÿla, elle la reconnut imédiatement, c'était le jeune femme imposante qu'elle avait vu à la bataille, elle portait de beau vétements et avait un sourire malicieux tout comme sa voix d'ailleur, elle semblait regarder autour d'elle comme à la recherche de quelque chose.

Comment vas-tu ma belle ? Ça fait longtemps que je ne t'avais pas croisée. Tu fais quoi ces derniers temps ?

Princesse ? Ma belle ? Il semblait évident que les deux étaient très proche. La jeune femme se tourna alors vers elle, elle commença à parler mais avec une agilité étonante, elle prit un ruban de couleur vermeille à une dame qui passait en le montrant à Atÿle et elle, la jeune femme mit le ruban dans sa main.

Voilà pour toi petite princesse.

Arera releva la tête surprise, elle rougit au nom de princesse et eu un petit sourire, cette personne était tout sauf ordinaire, elle la remercie et pour ne pas le perdre l'atacha autour du cou de Zafir. La jeune femme commenca alors à jouer avec une dague, tout en regardant Atÿla, puis la rangea et adressa une dernière parole à Atÿla.

Ça m'a fait plaisir de t'voir mais je ne vais pas m'attarder dans le secteur. Surtout avec le clown rouge qui semble décidé à vous rejoindre. Il est temps que je retourne à ma rue, si vous avez besoin d'aide vous savez ou me trouver.. dans l'ombre.. car le vent est libre..

Elle devait désigner Sarius par le clown rouge, Arera se demanda pourquoi elle retourner dans l'ombre, il y fait froit et noir, ce n'est pas un endroit pour vivre , même pour une personne peu ordinare comme elle.
Elle n'eu pas le temps d'y réfléchir plus qu'une femme accompagné par un tigre arrivait.

Bon, je voit qu'il y'a encore du monde. Mon test pour decourager les moins patient n'a pas marcher, je pense que l'on pourra bien s'entendre...
Mais nous ne sommes pas là pour rigoler! Nous avons du pain sur la planche. Prenez chacun un des sacs qui se trouve sur nazgrul, mon tigre, ce sera vos provision, ces sac contiennent trois sandwich, de la viande sechés et quelques legumes divers.
Quelqu'un a des questions? Sinon on part directement.

Il semblait clair que c'était une maitre mage, Arera n'aima pas vraiment le ton trop sec de celle-ci en plus son retard semblait être voulu.

Elle obéit quand même et s'aprocha du manifique tigre, elle prit deux sacs et retourna vers Atÿla après avoir fait une caresse à Nazgrul en lui soufflant dans l'orreille, "Vous êtes manifique."

Elle sourit à Atÿla, de son grand sourire mignion et enfantin, en mettant un des sacs sur son dos en évitant de toucher ses ailles ce qui fut assez compliqués, puis elle lui tendit le deuxième sac.

-Je me suis permise d'aller chercher le votre.