Les cloches...

Les cloches... Atÿla essaya de se sortir de sa torpeur. Elle devait se lever. Elle n'avait même pas ses armes. Soudain, une ombre fut devant elle. Avec un mélange de provocation et de moquerie, elle rapella a la semi-elfe l'attaque du voleur. Puis elle la provoqua: les cloches sonnaient, était-elle assez courageuse pour y aller?
Atÿla regarda avec méfiance la personne qui était sortie de l'ombre... Elle était plus agé qu'elle. Et semblait plus mature. Plus endurcie, peut-être.

*Si tu savais, ma jolie, si tu savais...*

Atÿla se releva, et répondit à la jeune femme:

" Cet homme n'est pas mort. Il est sans doute déja réveillé, même s'il est plus faible. Je suis peut être nécromancienne, mais je reste humaine... Mais que pouvez-vous en savoir? Et sachez que je vais suivre les cloches. Je ne sais pas si je suis courageuse, mais je peux toujours essayer de défendre Girk'an... même si elle ne le mérite peut-être pas. Je ne suis pas aveugle! je viens de la rue, même si mon apparence clame le contraire. On se reverra peut-être... Ah, et puisque vous semblez ne pas m'aimez, voici mon nom, que vous puissiez diriger votre ressentiment, ou plutôt votre peur... Je suis Atÿla, et je ne fuis pas devant l'ennemi."

Puis, elle courut a son échoppe pour prendre son arbalète de poing et son fouet, qu'elle attacha à sa ceinture. Elle libera aussi Silk, un jeune loup qu'elle avait dressé : il pourrait être utile. Elle referma sommairement son magasin, et courut aussi vite qu'elle pu vers la porte démoniaque, souvenir des affrontements qui avait recemment eu lieu. Elle croisait des girk'aniens qui se mettaient à l'abri. Une femme, visiblement enceinte, tomba au sol. La semi-elfe se stoppa pour le relever, et la remettre entre les mains d'un groupe de femme qu se dirigeaient vers l'Académie.

Et soudain, et fut sur les murailles de la ville. Comme pour sa première bataille. Ce qu'elle vit la stupéfia. Les démons, mineurs certes, mais très nombreux, formaient une armée, qui envahissait lentement la plaine. Ak'nar ne devait pas être loin. Atÿla étira ses lèvres en un sourire carnassier. Silk hurla. Elle était prête, autant qu'on pouvait l'être devant ce spectacle. Ses yeux fouillèrent les alentours, et tombèrent sur Sarius, dont elle s'approcha. Lui aussi connaissait le danger d'Ak'nar. MAis ne savait pas l'excitation de savoir la Nécromancie si proche.
Atÿla remarqua soudain la jeune femme moqueuse qui l'avait abordée dans la rue.

Sarius !

Le cri retenti dans la foule, une jeune femme magnifique s'extirpa d'une file de garde. Elle ne fit pas attention à l'étrange fillette qui se tenait à ses côtés. Elle avait une étrange expression aux visages, de la joie mêlée à quelque chose qui ressemblait à du désespoir. Elle courut presque vers lui. Elle était habillée uniquement de blanc et ses habits étincelaient de lumière. Ses cheveux blond comme les blés dansaient dans son sillage et il y avait qui sortait d'elle une Aura de magie puissante, sans être oppressante, on devinait qu'elle était une mage de bon niveau. Elle avait de grands yeux gris mis en valeur par la pâleur de son visage.

Sarius !

La voix se fit plus pressante, presque suppliante sans vraiment perdre de cette étrange sensualité quand ses lèvres nacrées articulait le prénom tant chéris. C'est une vague de blancheur et de pureté qui envahi à cette instant Sarius. La jeune femme se précipita dans ces bras. Elle le regarda un instant, fixant ses prunelles et lui transmettant sans doutes toutes sortes de messages que lui seul pouvait voir et comprendre. Elle prit sa tête entre ses mains et l'embrassa. Ses mains caressèrent nerveusement le long de son cou sans perdre de leur sensualité.



Tu m'as manqué, souffla-t-elle avant de reprendre ses lèvres.

Elle avait pourtant voulu se tenir à l'écart, ne pas se laisser aller comme une femme stupide.. stupide et amoureuse. Toutes ses résolutions avaient fondu comme neige au soleil en voyant son beau ténébreux assis sur ses marches. Il n'y avait plus eu que lui soudain, uniquement lui et elle repensa au temps écoulé, que cela avait été long. Elle ne voulait sans doute pas se l'avouer mais il lui avait réellement manqué. Malgré la montagne de complications que cet amour impliquait pour elle. Il avait maigris. Elle le sentait différent. Elle l'était aussi sans doute. Elle était plus ronde, plus douce, moins enfant capricieuse. Elle était devenue avec ses dernières épreuves une femme. Simplement une femme.. amoureuse. Elle avait semblé s'illuminer à sa vue. Tout avait été soudain plus fort. Chaque sensation se voyait augmenter de façon exponentielle. Ses yeux, ses lèvres, ses cheveux, son odeur, son contacte. Elle laissa couler encore de longs baisé et caresse, avant d'essayer de reprendre ses esprits. Elle calma ses vertiges et s'écarta de lui sans lui lâcher la main. Elle le tenait si fermement qu'il n'aurait pu s'échapper de son étreinte. Elle s'était éloignée mais pourtant, elle avait envie qu'il la prenne sournoisement par derrière, alors qu'elle avait le dos tourner. Qu'il pose ses mains sur sa taille, qu’il l’enlace avec douceur, qu'il embrasse son cou, qu'il lui dise qu'elle lui avait manqué tout autant qu'à elle, qu'elle était devenue si belle.

Maître Elanor ? Ou devons nous monter le dispensaire de secours, prenons nous la formation que vous nous avez prescrite ?

En entendant les cloches, elle avait filé, laissant le vieux maître et la guérisseuse organiser les soins au sain de l'Académie, elle avait pris une équipe de clerc avec elle pour les premier secours et était partie. Cela faisait partie de son travail désormais. Elle donna des ordres à la ronde et la vingtaine de clerc se dispersa. Il y avait de simple second, qui assistait jusqu'aux soigneurs les plus compétents. Elle était fière d'être à la tête de cette équipe. Elle ne se retourna pas vers Sarius mais lui adressa la parole.

Je suis la nouvelle Maître Clerc. Tu vois comme les choses changent, tu es parti trop longtemps. As-tu trouvé ce que tu cherchais ?

Elle pivota vers lui et sonda son regard. Elle attendait sa réponse. Soudain un éclat arriva à vitesse folle et vint emmêler les cheveux du jeune homme comme un ouragan.

JIJI EST CONTENTE DE REVOIR LE BEAU TÉNÉBREUUUUX !!!

Sa voix suraiguë domina le brouhaha environant. Elle allait assommer Sarius de paroles continues quand elle remarqua la jeune fille qui se tenait près de là. Elle vola immédiatement vers elle.

Tu es une sœur à Jiji ? Je ne savais pas qu'une créature ailée viendrait ici aussi.
Il ne m'ont rien dit, on me prévient jamais.. c'est pas juste..
Et puis, moi je laisse ma maîtresse tranquille. Parce qu’elle n’aime pas que
je me glisse entre elle et son beau ténébreux.. oui oui.. … … …

Elanor laissa la nymphe harcelé –le mot est faible- la jeune fille. Et se consacra à Sarius. Les clercs savaient quoi faire. Ils avaient quelques minutes à eux.

[hrp : je me suis faite grillée de 2 post mais c'est pas grave]

Ombrana tourna la tête, visiblement la nécromanne était observatrice. Elle se leva prestement. Elle avait réfléchit aux propos lancés par celle-ci lorsqu’elle était déjà entrain de partir. Cette fille avait l’air jeune mais semblait marcher dans ses provocations. Elle regarda les effusions provoquée par une personne jeune, belle fraîche, visiblement, riche se jeter dans les bras d’un jeune homme sans aucune pudeur. Elle serra les lèvres de dégoût. Et détourna les yeux, que de scènes écœurantes et larmoyantes. Elle le savait, les humains ne sont pas faits pour être seul. Tout du moins la majorité. Elle aussi avait besoin de ses contactes sociales, même si c’était le plus souvent des joutes verbales. Ils avaient le droit d’être heureux après tout ces deux là, même si elle plaignait la jeune femme. Il y avait quelque chose qui n’allait pas dans l’allure de ce type, elle parierait cher qu’elle ne serait pas heureuse. Les apparences sont souvent trompeuses princesses. Elle redirigea ses pensées vers la nécromanne et s’avança de façon nonchalante vers elle. Elle ignora les personnes qui étaient là autour et lui adressa la parole.

Bien évidement que l’homme n’était pas mort, mais un faible dans la rue est une proie. Si vous venez réellement de la rue vous devriez le savoir, non ma belle ? Tu te pose des questions : suis courageuse ? Pourquoi Girk’An mériterait que je l’aide ? Ce sont les faibles qui se posent des questions. Je ne vous aime pas ? Jugement hâtif, ma belle. Ma peur ? Mon ressentiment ? Il n’y a que les hommes que je déteste, n’ayez craintes..
Je suis Ombrana et je n’existe pas.. et je suis assez intelligente pour fuir un ennemi qui me battrait. Dans la rue on appelle ça l’intelligence, avec de tels raisonnements vous devez être une sacré veinarde..
Non, finalement je vous aime bien, ma belle. Je vous aime bien..

Elle ne lui sourit pas, elle ne souriait pas vraiment lorsqu’elle était sérieuse. Elle la dévisagea un instant. Elle était jeune elle. Trop jeune pour aller se battre. Les jeunes font toujours des choses sottes. Elle, elle avait fini par se retrouver en prison. Les souvenirs de ses quinze ans étaient encore vifs dans sa mémoire. Quand on est jeune, on fait des bêtises. Après aussi, mais après on a moins de chance de gâcher stupidement son avenir. Simplement.

Rentre-chez toi... mais je suppose qu’avec tes raisonnements chevaleresques tu vas t’entêter et rester.

Elle eut un soupire qui ressemblait peut-être à un gloussement. La femme rousse s’approcha de la semi-elfe sans crainte aucune. Elle ne savait pas encore ce qu’elle ferait vraiment ici. Autant passer son temps agréablement, voir si cette discussion était plaisante, sinon regagner l’ombre qu’elle n’aurait pas dû quitter. Elle était bavarde aujourd'hui, elle avait assez parlé pour les jours à venir. Et puis, elle était plus à l'aise à l'ombre.

Bon. Ceci étant dit, je retourne là ou je dois être, ciao ma belle.. et essaie de rester intacte, même si je me contrefiche de ton existence, c'est toujours dommage de crever comme ça, surtout pour une ville comme celle là..

Elle fit demi-tour et regagna son coin d'ombre dans un angle de la muraille, cette fois-ci elle disparut totalement aux regards extérieurs. Elle admira la plaine grouillante de démons. Elle avait envie de chanter aujourd’hui. Elle caressa de l’indexe le manche de sa dague. Décidément, cette gamine devait la prendre pour une étrange femme.

Le jeune homme qu'elle avait accosté semblait vouloir la rassué, c'était une chose admirable en somme mais ceci l'intrigua....la rasurer mais de quoi ? Puis il lui proposa de rester avec lui pour le combat, lui demandant par la suite son prénom.

-Je me nomme Arera, je veux bien être votre compagnon d'infortune dans ce combat, si cela ne vous dérange pas, je suis pas très forte et toute aide serai la bienvenue.

Arera avait parlé avec une voix distante, elle avait tourné sa tête vers la muraille et s'était plongé dans une réflexion à rebond: elle se demander vaguement quel mauvais tour lsa folie lui avait encore joué, certe son envie de tuer, d'avoir du sang sur les mains, de laisser sa folie meurtrière et sadique s'exprimer un peu, la poussait à aller au combat, mais avec son jeune âge, son inexperience, ses faible pouvoir, son arc qu'elle n'a jamis utilisé, c'était plutôt allait à la mort.

*bah de toute façon, si j'y perd la vie, il me suffira de relancer les dés.*

Cette pensée étrange certe la rassura un peu devant le combat qu'elle allait faire, un petit sourire amusé apparu sur son beau visage, elle préta même attention à cette jeune femme d'une très grande beauté qui s'était jeté au cou de l'homme avec qui elle était, puis à ces deux femme qui avait l'air de se disputait.

Elle commença alors à essaier de comprendre comment marcher l'arc qu'elle avait acheter, après plusieur essaie elle réussit à trouver dans quel sens il fallait le tenir, elle pris une flèche et tenta de la placer comme elle avait vu sur l'image posé à côté de l'arc à la forge, elle réussie facilement et s'en félicita elle même. Elle s'apprétait à tirer sur un arbre lorsqu'un voix la fit sursauter.

JIJI EST CONTENTE DE REVOIR LE BEAU TÉNÉBREUUUUX !!!

Elle se tourna rapidement avec l'arc toujours dans les mains, vers la personne qui avait pu lancé un tel cris, grave erreur, la nymphe, si c'est bien ce qu'elle que c'est, la remarqua et lui tomba dessus:

Tu es une sœur à Jiji ? Je ne savais pas qu'une créature ailée viendrait ici aussi.
Il ne m'ont rien dit, on me prévient jamais.. c'est pas juste..
Et puis, moi je laisse ma maîtresse tranquille. Parce qu’elle n’aime pas que
je me glisse entre elle et son beau ténébreux.. oui oui.. … … …

Arera recula d'un pas et regarda bizarrement, un peu troublé et effrayé, la bouche grande ouverte, la jeune fille qui l'abordait avec tant d'énergie. ne sachant que faire ni comment réagir, elle pointa son arc vers elle prête à tirer s'il le fallait.

-Qui es-tu ? je suis la soeur de personne, et qu'est-ce que tu as contre mes ailles!! ?

Elle n'aimait pas qu'on lui parle de ses ailes et d'elle en employant le terme "créature", cette fille bien qu'enthousiasme lui était anthipatique, bien qu'elle ne savait pas trop pourquoi, certainement ça façon de l'abordait si....vulgaire et surprennante.

Bayziels était occupé à organiser son magasin lorsqu'il entendit les cloches sonner. *Midi sonne* pensa-t-il.
Il alla dans sa réserve. Il était fier d'avoir choisi le bon magasin. En effet, même si celui-ci se trouvait dans les bas quartiers, il possédait de nombreux atouts : une position favorable au commerce, une belle surface pour disposer les marchandises, des grandes vitres à l'avant et une réserve isolée de la chaleur et du froit et aussi insonorisée. Il s'assit quelques instants sur une caisse et ressassat des souvenirs puis, prenant la caisse sur laquelle il s'était assis, resortit de la réserve.

Ding Dong Ding Dong
Les cloches sonnaient toujours... Bayziels regarda à sa montre clepsydre et constata qu'il n'était pas loin de 3h, impossible que les cloches sonnent aussi longtemps. Il commencait à s'inquiéter. Il sortit dans la rue et alla frapper à la porte de sa voisine, la dresseuse. Une minute, 5 minutes, 10 minutes, pas de réponse. Bayziels se dirigea vers son magasin de plus en plus inquiet. La rue était silencieuse et l'atmosphère joyeuse qui y régnait d'habitude n'existait plus. Un enfant déboula du bout de la rue en pleurant. Bayziels l'arrêta par le bras et lui posa des questions :
Que se passe-t-il? Où sont partis les gens?
C'est la cloche m'sieur, elle dit qu'il y a des méchants devant la porte m'sieur. Tout le monde est parti se cacher et seul les plus courageux sont allés voir ce qui se passait dit-il entre deux sanglots.

Bayziels ne connaissait pas ce code ici, il était relativement nouveau. Il demanda à l'enfant où il habitait et, dans un élan de générosité, le raccompagnat jusque chez lui, à deux rues de son magasin. Il s'empressa ensuite de retourner chez lui et prit dans son magasin ce dont il avait besoin. Il attrapa un sac Nyk, y fourra les divers kits qu'il avait en stock, pris une tente, des rations de survie, une dizaine de torche, des parchemins, une corde, des rations de survie pour 20 jours, une outre remplie de vin de sa réserve personnelle ainsi que l'équipement qu'il avait acquis auprès des autres commerçants (Hrp : A savoir, une hâche, une arbalète, un crane d'os, des bottes, des gants, un bouclier). Il boucla son magasin à double tour et entreprit de se diriger vers la grande porte. Il ne croisait personne en route, les rues étaient désertes, comme si la ville n'avait jamais connu aucune population.

Tournant au coin d'une rue, il déboucha face à la grande porte. Des silhouettes étaient visibles sur le haut des remparts mais aucune ne lui semblait familière. Il chercha après les escaliers pour monter sur les remparts. Après avoir grimpé toutes les marches, il rala quelque chose dans sa barbe comme : Foutus humains, ils savent pas faire des petits murs et des grands fossés plutôt que des grands murs et des petits fossés.

Après avoir repris son souffle, il se releva et entreprit d'examiner rapidement les personnes présentes avec lui. Aucune ne semblait avoir remarqué son arrivée. Skarrendrak n'était pas encore là et à part lui, il n'avait pas encore vraiment rencontré de personnes dans Gir'kan. Il lui sembla vaguement reconnaître Darl Valar, le forgeron qui lui avait vendu ses armes et Atÿla, la dresseuse qui était installée à côté de son échoppe.

Ne sachant pas très bien quoi faire, il se résolut à adresser à la parole aux deux personnes qui lui étaient le plus familier, Darl Valar et Atÿla donc. Il s'approcha d'eux à portée suffisante pour qu'ils puissent l'entendre tous deux :
Et bien, que se passe-t-il ici? Je ne suis pas encore familiarisé avec tous les codes de Gir'kan et je ne sais pas trop bien ce qui se passe si ce n'est qu'il y aurait un danger ici. Quelqu'un peut-il m'expliquer de quoi il s'agit?

Tusuku était au comptoir de la forge et revint dans l'arrière boutique avec un grand sourire aux lèvres:
« Un ange vient de passer ! »
Curieux, Darl se leva , il venait de mettre son armure entière pour la vérification quotidienne , la taille lui allait encore sans trop le gêner.Il sortit de l'arrière boutique, personne dans la forge, il sortait de la forge et aperçue une forme d'aile d'une blancheur à en illuminer les yeux ,mais ce fut bref et les ailes disparurent au coin de la rue , laissant place à un son de cloche cristallin mais aussi annonciateur de mauvaise nouvel , l'appel aux armes par tous les combattants de la cité . L'ange venait d'acheter une arme , Darl décidait donc de la suivre , elle se dirigeait indéniablement vers la muraille, à chaque pas de l'elfe l'armure faisait un petit bruit de métal secoué .L'ange allait se battre , et Darl aussi ,raison de plus pour la suivre...

L'ange en question arrivait à la muraille et se plaça à côté d'une silhouette reconnaissable entre tous: Sarius!
Darl décida donc de partir de son côté à l'opposé de la muraille, tué ces alliées avant une bataille n'était pas la meilleur chose à faire .En continuant le long de la muraille, la voix rauque du nain du magasin général l'interpellait:
« Et bien, que se passe-t-il ici? Je ne suis pas encore familiarisé avec tous les codes de Gir'kan et je ne sais pas trop bien ce qui se passe si ce n'est qu'il y aurait un danger ici. Quelqu'un peut-il m'expliquer de quoi il s'agit? »
De bonne humeur Darl répondit lui criait par dessus les bruits alentours:
« C'est la guerre petit nain , on verra si tu sais survivre ! »
En clair: c'était de la provocation pur et dur !! A double effet en plus: le mettre dans un état de rage pour son combat et faire prosperer la querelle elfe/nain...

Darl put enfin atteindre le haut de la muraille , sous ses yeux grand ouvert on distinguait une horde de petit démon inférieur , la chair à canon des plus gros, il ne serait pas difficile de passer aux milieu de leurs lignes mal organisé et aussi faible bien qu'ils utilisent tous de la pyromancie u peu d'eau et ils seraient fini ...
Le forgeron se demandait quand même comment allé être organisé cet bataille, et est ce que la ville survivrait? Il admira la muraille, il vit au loin les formes de l'ange visible avec ses ailes , Sarius était à côté ainsi que la clerc maigre et fragile mais néanmoins talentueuse...Il ne manquait qu'Oromis , la seul personne qui comprenait vraiment Darl , mais celui ci était introuvable dans cet foule de citoyen en perdition et de soldat tremblotant..

Bayziel.
Tes article tu doit les payer un quart de leur prix, et l'indiquer dans ton magasin comme un achat.
je ne croit pas que c'est le cas, alors rectifie

Dar -> double effet, comme les vérins

La jeune femme s'approcha d'Atÿla, qui la regarda avec un mélange de méfiance et de joie. Sentiment étrange vis-à-vis d'une femme qu'elle ne connaissait pas. Et qui ne la connaissait pas. Bizarrement, la semi-elfe n'avait pas envie de detester ou de craindre cette jeune femme. Celle-ci, après avoir répondu à Atÿla, lui dit son nom et lui dit qu'elle ne la detestait pas, qu'elle l'aimait bien. La semi-elfe esquissa un sourire. Comment devait-elle prendre cet "aveu"? au sérieux ? Quelques paroles plus tard, Ombrana lui conseilla de rentrer chez elle, de ne pas mourir pour une ville comme Gir'kan.


"Peut m'importe ma mentalité. Peut m'importe mon paraître. J'ai tant vécu que plus rien de m'importe. Plus rien. Je viens de la rue, et en suis fière. Mais peu de gens peuvent me comprendre. Je connaît la réalité, je sais que Gir'kan ne mérite sans doute pas qu'on l'aide. Mais je ne peux m'empêcher d'approcher ses démons. Et puis, proteger des innocents... Au fait, c'est quoi "chevaleresque"? Je ne connaît pas ce mot... Je vous remercie de vous "soucier" de ma vie, même si vous dites le contraire. Vous savez, le simple fait que vous pensiez ne pas exister montre que vous êtes vivante. Alors ne perdez pas courage, même si vous n'avez pas besoin de mon jugement... Peut-être a plus tard, Ombrana. J'aimerais vous revoir un jour, quand tout cela sera terminé. Au revoir!"

Atÿla fit un signe de la main à la silhouette qui s'éloignait. Elle se sentait étrange, aujourd'hui. Commençait-elle a se soucier des autres? Sur ces entrefaites, son voisin, le nain Bayziel, arriva.

"Et bien, que se passe-t-il ici? Je ne suis pas encore familiarisé avec tous les codes de Gir'kan et je ne sais pas trop bien ce qui se passe si ce n'est qu'il y aurait un danger ici. Quelqu'un peut-il m'expliquer de quoi il s'agit?"

La semi-elfe s'appretait à lui répondre, quand le forgeron répliqua acerbement que c'était la guerre. Decidement mal aimable, celui-là. Mais elle ne pouvait le juger, elle ne connaissait pas sa vie après tout. Elle répondit aimablement au nain, esperant qu'il ne prendrait pas trop en compte la moitié de sang elfique qui coulait en elle.

" Une armée de démons mineurs attaque. Et nous allons peut-être avoir la visite d'un démon très puissant, nommé Ak'nar. Je l'ai approché de trop près, et failli ne pas y survivre. Vous voyez, ils arrivent par cette porte, là-bas."

Il y avait de nouvelles personnes... Une jeune fille, plus jeune qu'elle, qui avait une belle paire d'aile dans le dos... La guerisseuse, qui était arrivée, accompagné d'une nymphe bruyante, comme ses semblables. Et Ombrana, qui avait disparu.

La semi-elfe tritura nerveusement son fouet et se mordilla le petit doigt. Elle regardait l'armée de démons. Le maître nécromens n'était pas encore arrivé... Où restait-il? Il fallait qu'il voit ça...

Arera, toujours avec son arc à la main qu'elle n'osait détendre de peur de voir la flèche partir, vit la femme d'une grande beauté s'approchait d'elle, elle semblait être d'une grande puissance ce qui inquièta un peu Arera car c'était vers elle que la petite nymphe était partie, elle la regarda s'avancer sans rien dire, elle était tellement obsorbé par cette femme que son arc se détendit sans qu'elle ne le remarque, jusqu'à ce que celle ci prenne la parole.

-Jeune fille, excusez ma nymphe qui est toujours très expansive en gestes et paroles. C'est un être d'innocence pure qui ne viens pas de ce monde et qui par conséquent a parfois des actes maladroits. Votre réaction un peu excessive aura eut finit de l'effrayer. Tâchez de rester plus maître de vous face à l'ennemi. Ce ne seront pas de gentille nymphe que vous aurez en face de vous. Je suis sûre que Jiji ne vous en voudra pas, laissez la ruminer sur sa peur et son imprudence un instant. De toute manière, elle ne devrait plus vous importuner. Si vous avez un grief à lui adresser, veuillez passer par moi-même uniquement.

J'accepte toute aide au soutiens, je peux vous trouvez une occupation en renfort sans soucis si vous ne savez pas ou aller, je me nomme Elanor, je suis la maître Clerc.

Elle se voulait rassurante, gentille et agréable, elle lui adréssa un sourire, Arera s'inclina réspectueusement devant cette femme et pris à son tour la parole.

-vous ne me devez pas d'excuse, ce serait plutôt à moi d'avoir réagit de la sorte. je vous remercie pour vos conseils, et accepte volontier d'avoir un poste pour aider dans cette lutte. Je me présente, je suis Arera, apprentis mage shaman.

Après ce bref échange, elle laissa Elanor s'éloigné et décida de remonter sur les murailles, de là, elle voyait à la perfection les troupe de démons, tous aussi repousants et horrible, ils étaient nombreux, elle ne serait dire combien.

Elle jetta un rapide coup d'oeil sur la muraille, il y avait là l'homme qu'elle avait croiser à la forge, plus bas, se trouvaient un nain avec une jeune femme, la maitre clerc avait disparu avec l'homme qu'elle avait embrassé, tout ce beau monde avait l'air de savoir que faire, où aller et comment réagir. Elle, elle ne savait rien de tout ceci, elle s'asseya donc sur les remparts et comtempla l'armée démoniaque qu'il y avait à ses pieds de l'autre côté de la muraille.

Elle eu alors envie de montrer à ses monstres qu'ils ne leur faisait pas peur, à cette ville, pensait-elle, et à elle, mais ne sachant pas comment faire elle fit une chose complétement folle et stupide que elle seule pouvait faire: elle leur tira la langue. Ceci eu pour effet de les énerver, elle rescendit alors, fière d'elle, et cria à qui voulait entendre.

-Si j'ai bien compris, nous somme attaquer par des démons, alors maintenant qu'est-ce qu'on fait?

Ne cherchant même pas à savoir si quelqu'un avait entendu elle se mit à faire des va-et-viens entre le haut et le bas de la muraille, en chantonant, en révassant et en regardant autour d'elle.