le coeur du vieux volcan pourrait se réveiller... [quête]

[HRP: désolée désolée désolée désolée!]

Atÿla ne savait comment réagir, avec son bâton dans les mains. elle n'avait pas l'impression de gêner plus que ça le double de Sarius. Soudain, une ombre assombrit le combat. c'était une couverture, venue d'elle ne savait où, qui se planta sur l'homme aux cheveux blanc... mais qui ne l'embêta pas plus que ça, étant donné qu'il s'en débarrassa rapidement. Surprise, Atÿla ne vit pas l'attaque de son adversaire, mais sarius se jeta devant elle pour attaquer à son tour.
S'en était trop, l'armurier se fatiguait, et l'autre était toujours aussi frais. ça ne pouvait plus durer!

La semi-elfe s'écarta discrètement du combat. Elle avait décidé d'utiliser la magie, et advienne que pourra. Le Jet d'Acide était trop risquer, les projections étaient nombreuses, mais le Voyage était tout indiqué. Elle se concentra sur son univers intérieur, et visualisa les chemin de Mana. Elle emprunta celui qui la mènerait à son adversaire, et se jeta dessus.(jet 1D20 : 20) En un rien de temps, elle était collée derrière lui, son corps touchant le sien le plus possible. S'il voulait la blesser, il y avait de forte chances qu'il se blesse lui-même.

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Voyage Nécrotique
Vous vous téléportez à côté de l’ennemi et lui volez 4D6 PV (vous en gagnez autant).

Arera releva la tête, regarda bouche bée la scène devant ses yeux et se demanda où elle avait atterrit. Il n’y avait pas un Sarius, une Atÿla et un double, mais deux, non trois…certains plus transparents que d’autres et s’enchevêtrant sans cesse. Enfin sa vue se réajusta et elle put voir le combat.

Atÿla était collée au dos du double qui se battait encore avec Sarius. Etait-elle en position de danger ou de sécurité ? Impossible à déterminer, mais la jeune fille s’inquiéta alors pour elle. De plus son plan n’avait pas l’air d’avoir fonctionner, sa couverture gisait au sol à quelques pas des assaillants.

Elle fit rapidement le tour des possibilités en sa position, un arc et des flèches ou un sort…Elle opta pour le sort, plus précisément magnétisme. Elle s’assit alors en tailleur, posa ses mains sur ses genoux et fixa l’épée des yeux l’épée du double, ne la quittant pas. Il émanait alors d’elle une concentration et une attention qui lui était rare…trop rare pour croire qu’elle était à ce point capable d’être sérieuse.

Elle fit une incantation muette et s’aida de ses mains pour tenter d’amplifier sa puissance et son efficacité. L’arme du double allait devenir lourde, plus dur à maîtrisé, laissant plus deux facilité aux deux autres assaillant, mais inévitable attirée vers elle, mais la jeune fille ne bougerait, elle en avait pas l’intention.

Magnétisme
En vous concentrant, vous parvenez a attirez les objet en métal vers vous. Les plus petits arriveront jusqu'à vous, mais les autres seront juste attirés vers vous(une épée deviendra plus lourde, et les coup viendront "dans votre direction")
Attire les objet en métal d'un dizaine de kilos maximum.

Le sort d'Arera n'a strictement aucun effet, cela ne génera aucune Valken dans ces mouvements. Le fer de l'épée n'en étant pas vraiment, elle ne peut être attiré

Darl observait la scène du haut du volcan...Il se laissa glisser sur la terre jusqu'au bas avant de dégainer...Il sentit ses poignets se tordre légèrement sur le côté...Comme étant attiré par une source ou quelque chose dans le genre. le forgeron tourna le regard...C'était la gamine qui était assise et avait les yeux fermé, concentré sur quelque ....
Darl s'approcha de la fillette et la poussa légèrement d'un coup de pied (de quoi la pousser,pas frapper) et déstabiliser le sort pour retrouver le contrôle de sa lame. Il pivota en direction de l'ennemi:
"Qui c'est lui?"

[Pas grand chose à dire, je poste pour faire avancer seulement]

Sarius sentit son épée faire un mouvement vers sa droite, il vut Arera se faire un peu bousculer par Darl, soudain sa lame lui fut entierement rendut et il para une nouvelle attaque de Valken.

ce dernier regarda tout ses adversaires, ils commençaient à arriver en masse. Il vit que Sarius avait bien évoluer au niveau du combat depuis la première fois où Valken était apparut véritablement, ils étaient du même niveaux, mais Sarius avait des alliés.

Il fit un sort de magelame hérité de Sarius, flash qui éblouhit tous ses adversaires, mais sachant que celà ne durera pas longtemps. Il frappa Sarius, sa lame noire s'enfonça dans la poitrine du mage lame, déchirant son armure de cuir et entamant sa chair.

*A bientôt Sarius pour notre prochain affrontement.*

Puis il disparut en même temps que la lumière laissant là, Sarius au sol sentant une douleur vive lui traversser la poitrine mais la blessure n'était pas profonde, son armure de cuir avait ammortit le choc. [b]

Atÿla ne parvint pas à savoir si son sort avait fonctionné. Pressentant le danger du double de plus en plus ofrt, maintenant qu'elle pouvait le sentir, elle fit un roulé -boulé en arrière pour s'en éloigner. Le temps qu'elle se relève, il y eut un flash éblouissant.

[..'°.°'..]

Le blanc. Le néant, peut-être? Rien. Atÿla avançait, s'enfonçant progressivement dans cet univers sans couleurs. Elle était entièrement nue, et se sentait vivre avec force. Une odeur de Nature flottait dans l'air, lui rappellant son enfance, la forêt, les longues parties de chasses et de jeux avec les loups... Un voix se mit à chanter, mélodieuse. Une voix inconnue mais qui pourtant lui semblait familère. La semi-elfe se mit à courir vers la source de ce chant, mais le paysage ne changeait pas, tout restait blanc et cotonneux. Soudain, la voix se rapprocha, et une femme d'une grande beautée apparut : elle était grande, avait la peau d'une jolie couleur brune, des yeux d'un gris envoutant, et une longue chevelure argentée qui tombait en mèches sur ses épaules à moitié dénudées. Elle portait une longue robe blanche qui flottait, portée par une brise invisible. La femme marcha élégamment dans sa direction, et la prit dans ses bras, comme on berce un enfant malade. Puis elle releva sa tête, et lui caressa la joue avec tendresse avant de murmurer:

"Je connais ton voeu le plus cher. Tu souffres, ma jolie, mais la douleur peut être vaincue. Tu le sais, même si tu ne connais pas le moyen. Cherche l'herbe de la licorne. Tu sauras ce qui te reste à faire..."

Puis elle pencha la tête et posa ses lèvres sur les siennes. Atÿla frissona : sa bouche était froide comme la glace. La femme s'éloigna, puis disparut, ainsi que le chant, l'odeur et la blancheur.

[..'°.°'..]

L'éblouissement s'estompa, la laissant revenir sur le champ de bataille. La nécromancienne regarda autour d'elle : plus de trace de l'homme aux cheveux blancs, et Sarius, debout, se tenait la poitrine. Elle courut jusqu'à lui pour le soutenir, puis s'écria:

"Arera, tout va bien? Oui! Ma chérie, va vite demander de l'aide aux clercs, s'il te plaît, Sarius est blessé!"

Darl commençait à avancer doucement vers l'ennemi...Il tenait son épée de ses deux mains et préparait un coup... Il laissait affluer la magie en lui, laissant le mana parcourir les veines de son corps...C'était la première étape de chaque sort, et il réfléchissait auquel il pourrait bien lancer...

Malheureusement, lors de sa concentration le forgeron ne vit pas le flash apparaître et aveugler tous le monde...Même Darl se fit avoir. Il mis un genoux à terre par réflexe pour éviter de perdre l'équilibre , sa vue étant obstruée...
Lorsque la lumière du soleil réapparut aux yeux de l'elfe , il scruta rapidement les alentours à la recherche de la forme noir...Sans succès, seul Sarius gisait blessé ...Encore une fois...
*Il a le don de finir couvert de sang ...*

Darl remonta la pente la plus proche à la recherche d'un point en hauteur, le flash n'avait pas duré longtemps et l'ennemi devait être dans les parages...Un des mages pouvait l'avoir aperçu...

Une fois en haut il fixa la végétation du bas...Des arbres qui allaient jusqu'à la plage...Ce versant là n'était pas occupé par les hommes, et Darl se méfiait des bêtes rodant dans les profondeurs de la forêt...

Arera voyait, elle sentait, distinguait dans le noir, comme des points lumineux, comme des masses sombres, tous les objets de fer venir à elle. Son sort avait une efficacité encore plus grande qu’elle ne l’avait imaginé. Tout le métal autour d’elle était attiré, son couteau qui s’était collé à l’une de ses jambes, les pointes des flèches, l’épée de Sarius, une autre au porteur inconnu. Tout sauf ce qu’elle voulait, tout sauf l’épée du double… Elle plissa le front, une goutte de sueur coula le long de ses tempes, mais rien n’y faisait. Elle ne ressentait pas l’arme du double, elle ne voulait point venir à elle, comme si elle n’était pas en métal, comme si elle n’existait pas…mais c’était impossible !...A moins que…

Une vive secousse l’obligea à rouvrir les yeux en poussant un cri de surprise, elle s’étala au sol en perdant la maîtrise de son sort qui disparut alors. En relevant la tête, elle put voir le malfaiteur qui l’avait bousculé, Darl lui demandait qui était l’homme inconnu. Elle s’apprêta à lui répondre quand elle comprit que c’était lui qui lui avait donné le coup de pied. Vexée, elle tourna la tête, croisa les bras et prit un air refrogné de petite fille faisant la tête. Le forgeron n’y pris pas garde et s’avança vers le combat.

Il y eu alors une grande lumière, vive, trop vive pour être normal. Surprise, Arera tourna la tête et fut à son tour prise par ce sort. Pourtant dans la lumière éblouissante, elle put distinguer deux formes humaines à contre-jour. En plissant les yeux, elle put distinguer Valken et à ses côtés...l’une de ses doubles ! Mais pas n’importe laquelle, celle de vingt ans, la plus grande d’entre elles, la plus sage…Ils parlèrent entre eux un petit moment, Arera ne pouvait entendre leurs dires puis le double lui jetta un regard et disparut. Abasourdie, la jeune fille regardait son double. Comment avait-elle put la trahir ainsi ? Cette dernière lui souriait tristement puis elle parla, et ses mots marquèrent à jamais la pauvre ange.

-Tu sais…au fond, il est comme moi…

La double disparut à son tour sous le visage décomposée d’Arera, la lumière s’intensifia alors encore plus. La jeune ange fut alors prise d’une violente secousse. Il est comme moi…Il est comme moi…non…pas ça…pourquoi…Il est comme moi…Cela voulait dire qu’il n’était réel que parce qu’on le croyait, qu’on le voulait, qu’il n’était qu’une illusion, une illusion qui n’existerait…jamais…Le double était irréel…comme « elle »….

Arera se releva et réprima ses larmes en même temps que le sort s’évanouit. Une scène tragique s’ouvrit alors à ses yeux : le double n’était plus, sa tutrice soutenait Sarius couvert de sang visiblement blessé, Darl scrutant l’horizon. Elle resta un long moment interdite jusqu’à ce que la voix d’Atÿla la sorte de sa torpeur. Elle réagit alors au quart de tour.

-Le…ce…cet homme ! Il n’est pas réel ! La blessure doit l’être aussi. Je fais vite !

En effet, sa logique alimentée par sa folie pouvait admettre l’irréel d’une personne, ou d’une blessure mais il en était moins sûr pour les autres bien qu’elle les pensait comme elle, de plus il y avait toujours la possibilité de l’erreur bien qu’elle était sûre d’elle…Quel cercle vicieux !...

Aussitôt après avoir parlé, elle attrapa son couteau, remonta au sommet et sauta sur la pente ardue (jet : 13). La réception fut douloureuse, elle glissa sur une dizaine de mètre en s’égratignant de toute part, puis elle réussit à poser ses deux semelles de chaussures sur la paroi, à planter légèrement le couteau dans le sol pour tenter de glisser jusqu’en bas sur ces trois appuis (jet : 18 ). Elle réussit sans grande difficulté à se stabiliser et laissa alors l’eau couler sur son visage. Elle arriva en bas bien plus vite que si elle avait tenté une autre méthode.

Elle balaya la zone en essuyant ses larmes à la recherche des clercs (jet : 19). Un petit sourire s’afficha sur ses lèvres, ils étaient juste à une vingtaine de mètre, la chance lui souriait de nouveau. Elle s’élança comme une furie devant eux et les stoppa en agitant les bras et en leur criant après. Ils s’arrêtèrent et la regardèrent étonnés. Arera les rejoignit et d’une voix saccadé par sa respiration haletante et sa précipitation, tenta de leur expliquer la situation.

-Vite ! Sa…Sarius est blessé ! Il y a eu un combat et Sarius a été touché ! Il faut l’aider ! Là haut ! Il faut le soigner !
Elle désigna d’une main tremblante le haut du sommet puis agrippa ses mains aux pans d’un vêtement d’un clerc, dans lequel elle plongea alors son regard implorant, il fallait faire vite, elle tira sur ses vêtements pour tenter de l’entraîner vers le haut.

-Vite ! S’il vous plaît ! Il faut l’aider ! Car il croit que sa blessure est réelle ! Il faut le soigner !

Il ne trouva rien qui puisse indiquer la présence du mage noir dans les alentours...Il redescendit la petite pente pour se retrouver auprès d'Atÿla et de Sarius qui était blessé.
Il jeta un regard autour de lui mais ne trouva pas l'ange qui était avec eux... Il rengaina son épée et s'accroupit à côté de Sarius:
"Avec ne blessure à chaque voyage tu aura des histoires à raconter...Pour l'instant seule la mort t'attend si tu continu à te battre ainsi..."

Darl considérait Sarius comme un moins que rien, il ne l'appréciait pas vraiment et c'était un demi-elfe...Mais même parti tous ces défauts il le considérait comme un rival...Ses techniques de magie et sa combativité étaient à peu près égal à celle de Darl....Et si Sarius devait mourir ,Darl voulait prouver qu'il était le plus fort avant...

Il se releva et entendit du bruit, un bruit d'une motte de terre et de cailloux fragile qui était piétinée et qui se brisait pour glisser et rouler en bas du volcan...Deux clercs se précipitait par ici, près à soigner les blessé...Sarius donc.
Le reste des mages devait encore préparer le rituel quelque part autour du volcan...A moins que la disparition du mage noir est été remarquée par les maîtres mages...

P.S: l'envie de rp me fait sauter sur l'occasion Razz

Sarius sentit la lame de Valken le traversser, il perdit connaisance. Il entendit la voix de Valken lui disant:

"Merci Sarius grâce à toi je suis libre, je part et tu ne me revéra plus jamais sauf si tu me cherche et sache qu'à ce moment là je te tuerais."

Sarius se réveilla, il vit deux clercs penchés sur lui, la plaie qu'il aurait dut avoir à la poitriner n'était plus qu'une legere marque rouge. les clercs avaient fait un travail incroyable, il put se relever, il sentit une legère douleur mais elle n'était pas vraiment génante.

Il vit les maître mage en haut de la petite coline, il s'atendait à être engeulé voir même arreté, mais il les vit regarder un point derière lui que personne ne semblait avoir vut car ils étaiernt trop occupé dans le combat.

Sarius se tourna et le vit... Le temple du mage noir était là devant lui au milieu d'un lac de lave, avec aucun passage pour y accéder.

Toute la troupe la considéra un instant, le temps sembla se suspendre. Arera baissa la tête pour éviter les regards foudroyant des maîtres mages. Puis le temps repris son court normal et elle reçut de plein fouet la tempête de Maître Cers et les foudres de la Maître Invocatrice. Elle ne tenta pas de répliquer de peur d’augmenter leur colère et encaissa avec difficulté les « bande d’incapables », « on vous avez pourtant dit de ne pas vous éloignez », « vous n’êtes que des bons à rien »…et cetera, vous pouvez imaginer…

Lorsque l’ouragan se calma enfin, la jeune fille était en larme, elle osa relever la tête pendant que les maîtres mages soupiraient. Elle ne se risqua pas à parler, la vie de quelqu’un était tout de même en jeu, et attendit le regard suppliant. Enfin les maîtres mages donnèrent les ordres, elle devait emmener immédiatement deux clercs en haut du sommet suivis du reste de la troupe suivrait avec un peu plus de distance. Les deux maîtres mages se promirent le même sermon au reste de la troupe, Arera en frissonna d’avance pour eux.

Gravir le volcan une seconde fois s’avéra plus dur que de le descendre, pourtant la jeune fille courait le plus vite possible suivit des deux clercs assignés pour soigner Sarius, le reste du groupe marchait d’un pas rapide derrière. Arrivée en haut du sommet, Arera leur montra le blessé autour duquel s’étaient regroupés Atÿla et Darl, elle eut un petit sourire, contente d’avoir mené sa mission à bien et s’effondra à quatre pattes au sol, épuisée. Elle en pouvait plus d’avoir tant couru et utilisé tant d’énergie, elle avait besoin de repos, oui juste un petit peu de repos.

Les Maîtres Mages arrivèrent alors sur la petite colline où elle était mais la remarquèrent à peine. Seule une clerc s’abaissa à son niveau, elle lui guérit ses égratignures, lui sécha ses larmes, (qu’est-ce que ça peut pleurer un ange !), lui donna un peu à manger et la força à se relever. La clerc était obligé de la soutenir si elle ne voulait pas qu’elle retourne au sol. Décidément, elle était bien fragile cette gamine et pas très endurante. Mais il fallait avouer qu’elle venait de vivre deux jours très chargés, trop chargés même.

La jeune ange remarqua alors ce qui accaparait les maîtres mages et les empêcher de gronder sur les autres qui s’étaient relever depuis lors. Un temple, un grand temple au milieu d’un lac de lave avec aucun moyen d’accès. Pas pratique pour aller y prier pensa la jeune ange qui avait reprit des forces grâce à la clerc. Elle offrit un sourire remerciement à a clerc, un signe de main à sa tutrice et observa à son tour le temple. C’était donc dedans que se trouver le mage à tuer…

Sarius c'était dirigeait vers le bord du lac, la charleur intensse de la lave lui parvenait. Il cherchait du regard un passage pour accéder au temple. Il commença à marcher le long du lac pour contourner la temple mais il fut vite arréter par une falaise abrute que personne ne pouvait escaladé tellement elle était lisse, sans doute dut à quelques éruptions volcaniques datant de plusieurs centaines d'années. Il fit le tour de l'autre côté et fut arréter par le même obstacle. Le passage devait obligatoirement se trouver dans la vingtaine de mètre qui séparé les deux falaises. Il pensa premièrement à un pont invisible et voulut trouver quelques choses à jeter dans la lave comme du sable ou autre mais sur un volcan il n'y avait pas de sable. Il pensa également à un sort aquatique qui pourait refroidire la lave pour former un pond mais il doutait que la lave réagisse à l'eau à cause de sa chaleur élevé.

"Bon, je ne vois aucun passage, quelqu'un aurait-il une solution ?"

Sarius gisait toujours au sol, et Darl Valar lui asséna une phrase à double sens, palant du risque de mort prochaine pour l'armurier s'il continuait à agir ainsi. Atÿla rétorqua:

" La mort est inéluctable pour chacun d'entre nous. C'est un honneur de mourir en combattant. Mieux vaut périr transpercée par la lame d'un mage, que d'attendre la Mort avec la peur de la vieillesse. La mort est une fascination, un miroir.* Et ceux qui ne comprennent pas ça sont idiots* "

Arera avait ramené les clerc qui soignèrent très rapidement le blessé. Puis,il y eut les remontrances, qu'elle ne prit même pas la peine d'écouter. Inconsciente? Oui, elle l'était sans aucun doute.Et alors? Idiote? Certainement. Sinon, Ombrana serait toujours en vie, elle n'aurait pas dû quitter sa ville natale, ni abandonner celui que son coeur aimait, et ne fomenterait pas de tels plans. Qu'avait-elle a faire de remontrances de personnes qui n'avaient jamais vécu dans la rue, qui n'avaient jamais vécues les pires horreurs pour une fille seule et désargentée? Elle s'éloigna un moment, repensant à ce que la femme de sa vision lui avait dit. L'herbe de la Licorne... Etait-elle vraiment prête à ça? Elle eut un regard triste dur Arera et une pensée pour Maître Oromis. Les abandonnerait-elle?

Ce fut à cet instant qu'elle sentit l'aura. Une aura de pur mal, sournoise et pernicieuse. Attirée par ce halo malfaisant, la semi-elfe suivit la piste frâiche, et se retrouva avec les autres, à comtempler un temple au beau milieu d'un lac de lave. L'aura prenait son centre ici. Danger, grand danger. Mais fascination, aussi. Promesse d'éternité s'il le vainquaient. Promesse de ienveillance si elle en apprenait plus sur la puissance de la magie soustractive. Cette aura était synonyme de beaucoup de choses. La nécromancienne entendit vaguement Sarius, guéri, demander une idée pour traverser le pont, mais elle était déja ailleurs. Son esprit, sous forme d'un corps transparent, voguait dans les limbes, évitant les vagues de chaleur émanant de la lave, et volant à la rencontre de l'aura maléfique. Atÿla était curieuse. Elle voulait approcher cette âme torturée. Erreur fatale.

Son esprit rencontra bientôt celui du mage noir. "fut absorbé" serait plus exact : car l'ennemi enroula ses tentacules spirituelles autour de son esprit, et l'entraîna en son sein. Tout devint noir et étouffant, comme si elle coulait aufond d'un lac insondable. Elle sentit bientot qu'on souillait son esprit, qu'on violait son intimité. Des tentacules pénétrèrent dans la bouche et son nez, l'étouffant complètement. La souffrance était inhumaine, mais plus que ça, la peur dominait. Une peur ignominieuse venue des tréfonds de son âme, qui bouchait toute résistance et brisait ses défenses. Atÿla comprit le sens du mot "terreur". Une voix insidieuse et inhumaine s'insinua dans son esprit et susurra:

"Petite punaise, qu'essaie-tu de faire? Tu veux savoir qui je suis? Tu veux connaître mes limites? Apprends, minuscule brebis, que je suis le Tout, et que ma magie n'a de limites que celles de ton imagination... Tu ne peux saisir ma conscience, Atÿla Arendearh. Je sais tout de toi. Tu n'es qu'une vulgaire prostituée qui se prends pour une guerrière. Tu n'est rien, tu n'est même pas capable de protéger ceux que tu aimes... Ils vont mourir, tout comme toi, mais vous tuez me procurera du plaisir, magicienne de pacotille. Venez m'affronter, je vous attends les bras ouverts... Mais toi, toi, tu ne te remettras jamais de cette expérience. Combats-moi ou meurs!"

Il y eut un éclair de souffrance. Au bord du lac, la semi-elfe gisait, prises de spasmes violents et de convulsions effrayantes. Un cri infini de douleur indéfinissable lui brisait les cordes vocales. Pendant ce temps, la proue d'un drakkar émergeait de la lave.

Alors que son esprit vagabondait de-ci de là pendant les reproches des maîtres mages, Darl perçut le temple comme une illusion qui venait de prendre fin...le temple apparut tout à coup en face de lui. Imposant et sombre, entouré par la lave brûlante...Darl sentait la chaleur de la substance...

Alors qu'il regardait l'armurier faire le tour, sûrement pour trouver une entrée , Darl observait le temple de pierre...Le mage noir devait certainement se trouver dedans...Alors Darl pourrait le combattre, montrer sa supériorité et s'emparer du pouvoir.
Il était conscient que c'était un pouvoir maléfique...Mais il ne repousserai pas la noirceur, il sera maître de soi.Un contrôle parfait sur lui-même et ce pouvoir...Sa volonté de fer de venger son père lui donnait une confiance en soi impressionnante...Il n'avait pas oublier ce jour fatidique ...Et il comptait trouver les coupables.

Il fut tiré de ses pensées par la voix de Sarius qui demandait de l'aide aux autres...Encore une fois son incompétence l'obligeait à demander de l'aide. Alors que Darl commençait à analyser la situation, il fut surpris de voir tomber la demi-elfe, prise de spasme.

Au même instant, un mouvement dans la lave, presque imperceptible, pouvait se faire sentir. La magie en action pouvait attirer le regard de certaines personnes vers ce drakkar qui sortait de la lave, son bois semblant être immuniser à la chaleur de la lave, tout comme sa voile en tissu...C'était une création qui provenait sûrement du mage noir...Qui invitait le groupe à le rejoindre dans le temple pour en finir...Darl voyait sa vengeance se rapprocher...

il était là, au centre de la pièce circulaire, derière lui, une multitude de cristaux dont un gigantesque brisé. Le mage avait les yeux fermés, il invoqua sa magie, la puissance qu'il envoyait était bien plus élever que tout les mage présent de l'autre côté de la rive du lac rouge. il sentit une pensé se présentait à lui. Il la visualisa, une jeune femme, une nécromencienne, sa magie est inferieur à la cienne, il n'a pas de mal à entré dans son esprit... Atÿla voilà qui était cette personnage qui osait le défier. Il sentit l'environnement qui l'entourait, chaque être vivant de l'île puis du monde entier, tellement de personne à asservir et aucune capable de le repousser, il était le seul détenteur de la magie, il pouvait sentir un légère enprinte de magie soustractive dans l'un des membres du groupe qui venait l'affronter, mais il ne sait pas utiliser cette puissance infinie. Il s'adressa à Atÿla après lui avoir fait sentir sa puissance.

"Petite punaise, qu'essaie-tu de faire? Tu veux savoir qui je suis? Tu veux connaître mes limites? Apprends, minuscule brebis, que je suis le Tout, et que ma magie n'a de limites que celles de ton imagination... Tu ne peux saisir ma conscience, Atÿla Arendearh. Je sais tout de toi. Tu n'es qu'une vulgaire prostituée qui se prends pour une guerrière. Tu n'est rien, tu n'est même pas capable de protéger ceux que tu aimes... Ils vont mourir, tout comme toi, mais vous tuez me procurera du plaisir, magicienne de pacotille. Venez m'affronter, je vous attends les bras ouverts... Mais toi, toi, tu ne te remettras jamais de cette expérience. Combats-moi ou meurs!"

D'une simple pensée, il la repoussa, son esprit fut ejecter et renvoyer dans son corps avec une violence tel que la jeune femme ne pourait résister, il se pourait même qu'elle ne puisse supporter tant de douleur et que celà finisse par la tuer. Il la sentit s'éffondrer sur le sol, un sourir s'afficha sur son visage. Et de un. Il raporta son attention sur les autres mages, il attira l'esprit de l'homme qui détennait des traces de la magie des étoiles. Il regarda dans son esprit, un tueur de mage noir, c'était lui qui était à la base de cette chasse aux sorciers, il découvrit également un secret encore plus profond envouit dans l'esprit de cet homme, il était une menace, faible oui mais qui pourait s'avérer puisante dans un futur proche, il devait le tuer avant, une menace pour lui et pour tout les mages vivant dans ce monde, il faisait partie de la Confrérie des Ombres.

"Ainsi c'est toi qui vient me défier, sache que tu n'en a pas le pouvoir, si l'ambition car je sans que plus profond de toi tu souhaites posséder mon pouvoir, je le vois, cette puisance d'attire, mais elle te serra à jamais inaccésible si tu me tue. Viens, rejoinds moi, et je partagerais mon pouvoir avec toi. Je pourais t'apporter tous se que tu a toujours voulut, cette femme qui est partie pour retrouver son amant, je pourais la faire revenir à tes côtés, cet esprit qui te hante chaques journées de ta vie je pourais le faire disparaître à jamais. Je serrais toi je ne refuserais, d'autant plus que je pourais révéler aux mages qui t'entoure qui tu es vraiment, et quel désire profond se cache en toi, mais surtout que tu fais partie de la Confrérie des Ombres."

Le mage laissa l'esprit retourner dans son corps. Il puisa dans la magie présente autour de lui pour invoquer un immence bateau qui sorti du lac, le bateau les menneraient à lui pour qui puisse enfin les détruire, leur énergie vital lui rendra toute sa froce et il poura enfin sortir de sa prison pour conquérir le monde.

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Sarius eut le tournit, il sentit son esprit regagner son propre corps. Comment ce mage pouvait être au courant de son identité, de ses pensées et pour la confrérie. Il toucha instinctivement l'amulette qui portait autour du cou qui était caché par sa tunique, cette amulette donné plusieurs semaines plus tôt par le chef de la confrérie.
Il vit un bateau émerger du lac. Enfin il allait pouvoir finir sa quête et passer à autre chose, son cauchemard allait enfin se terminer en cette journée sombre. Il vit sur sa gauche Atÿla s'affondrer, plusieurs clercs se précipitaire sur elle pour voir ce qu'elle avait, lui avait sentit son esprit être repousser par le mage. il n'allait pas tarder à se réveiller, mais ils devaient tous embarquer le plus vite possible, elle se réveillerait sur le bateau.

"Nous devrions monter à bord, il nous conduira au temple, je vais porter Atÿla, pendant la traversser elle devrait se réveillert, enfin j'espere."

Il avait usé d'un ton autoritaire et sur, sans même attendre une réponse des maîtres mages, il prit Atÿla dans ses bras et la souleva et commença à mrcher vezrs le bateau, une planche tombe du pond pour se poser sur le sol, le navire était magique ou plutôt magiquement contrôler par le mage noire. Il monta à bord et déposa Atÿla contre un mur en bois servant pour la cabine du capitaine que possédait tout navire. Il regarda le ciel, les yeux de Sarius était emprint de colère et de haine, un ombre passa dans son regard avertissant quiconque de le défier. Il n'avait jamais eut se regard, les quelques personnes qui le connaisait assé bien pour déseler ses sentiments aurait put dire que Sarius était un autre homme, aussi froid que lorsque Valken prenait posséssion de son corps, mais cette fois il était totalement maître de lui et aucun esprit malfaisant ne pourait troubler son désire de vengence.

Deux jours, oui…cela faisait bien deux jours qu’elle était partie, deux qu’elle n’était plus là, qu’elle avait disparut, deux jours qu’il s’inquiétait, qu’il se morfondait, qu’il avait peur. Où était-elle ? Que faisait-elle, là, tout de suite, maintenant ? Etait-elle en danger ? Etait-elle blessée ? Ou bien morte ?...morte ? Non, cela était impossible, sinon il l’aurait sentit. Où quel soit, leur lien puissant, indestructible, ne pouvait se rompre. Pourtant…il n’arrivait pas à savoir son état, sa position pouvait encore se comprendre…mais son état…Il y avait une force, une très grande puissance maléfique qui brouillait leur lien. Même lui, de là où il se trouvait, il la ressentait et en avait peur au plus profond de lui. Il avait peur pour elle. Pour son petit ange qui venait de se mettre dans une très, très mauvaise passe. C’était dangereux, bien trop dangereux, elle n’était pas assez puissante pour rivaliser avec une telle force, et si jamais…Non ! Ne pas pensez au pire, restez confiant en elle, c’est ce qu’on lui a appris. AH ! Impossible de tenir ! Il voulait la rejoindre, la rejoindre maintenant ! Tout de suite ! Mais même ça, il ne pouvait pas…le moment n’était pas encore venu…Hélas…elle devait faire cavalier seule dans cette aventure. Il ne pouvait que prier les Dieux pour qu’ils lui viennent en aide…

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Arera rejoignit le reste de la troupe au bord du lac de lave. Elle n’écouta pas Sarius tant elle était fascinée par toute cette lave en fusion, il y avait d’étranges bulles, des mouvements de toutes sortes, un magnifique camaïeu allant d’un jaune soleil à des rouges très sombres, une chaleur étouffante, une lueur qui faisait mal aux yeux. Oui vraiment, c’était très intéressant à regarder. ….Vous me direz sûrement que ce n’était pas vraiment le moment pour contempler de la lave…. Mais la jeune fille avait une aura maléfique et l’avait repoussé de toutes ces forces. Garder toute son attention sur ce lac l’aidait à se protéger de cette aura noire : ce fut le seul moyen efficace qu’elle trouva dans la précipitation pour assurer leur protection.

Le hasard en décida pourtant autrement…Sans qu’elle s’y attende, sa tutrice s’effondra au sol, prise de spasme violent et d’horrible cri. A peine était-elle à terre qu’Arera était à ses côtés paniquée, elle fut vite rejointe par des clercs. Voir Atÿla dans cet état était insupportable pour la jeune ange, ne pas savoir quoi faire pour l’aider l’était encore plus. Elle l’attrapa par les épaules et tenta de la maintenir contre le sol mais ses convulsions étaient plus forte qu’elle. Elle essaya alors de capter son regard, et lâche son impuissance face à l’état de sa tutrice dans une voix emplie de douleur.

-Atÿla ! Atÿla ! Qu’est-ce qu’il se passe ?! Répond-moi Atÿla ! Répond moi, je t’en prie ! Atÿla ! Répond !!

Arera allait s’effondrait sur le corps de sa tutrice lorsque les clercs l’attrapèrent et l’en éloignèrent. Les clercs avaient eux aussi sentit cette mauvaise aura, ils sentaient qu’elle était en train de tous les atteindre, surtout Atÿla et Sarius. En voyant ce dernier s’approcher du corps de la jeune femme après avoir donné des ordres sans l’avis des Maîtres Mages (ordre qu’Arera n’avait pu entendre à travers ses cris et ceux de sa tutrice), ils avaient juger bon de s’éloigner d’eux avant d’être atteint à leur tour et aussi de protéger la gamine qui ne semblait par encore contaminée…

Seulement Arera ne le comprit et elle se mit à se débattre de toutes ses forces mais les clercs ne bougèrent en rien. Elle vit donc Sarius prendre Atÿla dans ses bras et l’emmener sur un drakkar qui était sur la lac de lave. Il ne voulait pas de mal, ceci se révéla réconfortant pour la jeune fille. Attendez…Un drakkar sur le lac de lave ? Arera remarqua seulement le drakkar et ses yeux s’ouvrirent tellement grand qu’on aurait pu les remplacé par des pièces de monnaie. Comment un drakkar en bois pouvait tenir sur un lac de laver sans brûler ? Et d’où est-ce qu’il venait d’abord ? Elle ne s’attarda pas sur la question, remarquant que les clercs surpris eux aussi avaient lâché prise.

Elle sauta sur l’occasion et se précipita à l’intérieur du bateau pour voir l’état de sa tutrice. Elle gisait sur le sol, adossée contre une cabine en bois. Son regard se porta alors sur l'armurier avant de se figer, ce n’était pas le Sarius qu’elle connaissait. Il était froid, distant, imposant, son regard plein de haine, de colère, d'armètume. Inquiète, elle recula d’un pas et sentit de nouveau l'aura maudite. Elle frissonna. De cette puissance néfaste résultait les spasmes d’Atÿla et le changement soudain de caractère de Sarius, il n’y avait aucun doute sur ce point là. Cette chose quoi qu’elle soit était dangereuse, elle le sentait bien le danger pour une fois, trop bien d’ailleurs. Son regard emplit d’une peur étrangement soudaine se posa sur le temple. Au fond d’elle, quelque chose tapait…

[Excusez mon silence radio. Les profs nous blindent de devoir. C'est la raison de ce minuscule message... Quoiqu'en fait, il est plus long que ce que je pensais.]

L'esprit d'Atÿla était en proie à un délire plus que violent. Comme s'il était devenu trop grand pour son corps. Comme si... Derrière la souffrance, la semi-elfe ressentit une joie mauvaise. Son esprit se battait pour assimiler cette partie du mage noir qu'il lui avait arraché. Oh, imfime partie, si petite qu'il ne s'en était pas rendu compte. Cette parcelle de noirceur résistait, ce qui provoquait, plus que le retour brutal, les convulsions et la douleur. Un combat psychologique. Les volutes de l'esprit de la nécromancienne entourèrent celui du mage. Peu à peu. Pernicieusement, étouffant sa combativité.

Atÿla eut soudain conscience d'une voix chérie, sans percevoir qui en était l'orignine, ni le message qu'on tentait de lui faire passer. Elle continuait à absorber le micro organisme, se l'appropriant peu à peu à mesure qu'il s'affaiblissait. Pour finir, elle l'avala. Ce fut à cet instant qu'elle se réveilla.Elle était couchée contre un mur de bois, avec devant elle Arera et Sarius. Les autres ne devaient pas être loin. Le souffle court, elle s'agenouilla devant sa pupille, et la serra dans ses bras. Geste qu'elle ne comprendrais certainement pas, mais qui était nécéssaire, elle s'en rendrait bientôt compte.

"Pardonne-moi, Arera. Excuse mes actes. Ne me juge pas. Je reviendrais."

Oui, elle reviendrait, quand tout ça sera fini. Son esprit reviendra, quand il ne sera plus occulté par la noirceur. C'était un passage obligatoire. Mais Arera risquerais de ne plus la reconnaître, pendant un certain temps.Elle se releva, et, la tête tournante, observa le temple qui se rapprochait.

*C'est nous qu'il veut. Il veut plus de puissance. Mais je peux le combattre. Essayer. En mourir, peut-être.*

Elle sourit énigmatiquement, réalisant les portes que lui avait ouverte ce morceau de magie noire. Maître Oromis serait fière d'elle. Elle lui rapporterait le secret de la magie soustractive. Au préil de sa vie. Du moins l'espérait-elle. Il y eut un souffle de vent, et ses cheveux se soulevèrent. Sur son visage étaient apparus d'étranges volutes noires. Elle eut un sourire carnassier.

Tout les autres membres de l'expédition monterent sur le navire. Les maîtres mages avaient un peu protesté mais finirent par monter à bord.
Maître Cers s'aprocha de Sarius, son regard sévere montré qu'elle n'aimait pas comment les choses évoluaient.

"Dites moi, savez-vous ce qui nous attends dans le temple à par le mage noir."

Sarius, toujours le regard noir et sinistre se tourna vers le maître mage:

"La mort... Je ne prend pas de risque en disant que c'est la mort qui nous attend tous. Nous allons tous mourir, mais certaint en ressortiront grandit, alors que d'autre s'enfonceront dans les lymbes de l'autre monde."

L'armurier savança vers l'avant du navire, alors que ce dernier avait commencé sa traversser vers le temple, ils arriveraient d'ici une trentaine de minute.

Sarius regardait le temple, bien que celà faisait plusieurs centaine voir plusieurs millier d'année que le temple avait été construit, il restait toujours haut et fier, aucune pierre n'étaient tombées, il restait intacte et aucune magie ne pourait le détruire, construit par la magie soustractive, il resterait pour l'éternité.

Le navire arriva enfin au temple, Sarius déscendit en premier sur les marches du temple, ils les gravit et arriva devant uen grande porte fermé, et scéller par la magie, devant se trouvaient deux coffres, et à côté deux gargouille vivante.

Sur la porte était inscrit:

"Cette porte ne souvrira que si vous ouvrez le bon coffre, l'autre coffre donnera la mort à quiconque l'ouvrira. Pour vous aidez dans votre choix les deux gargouilles jumelles vous dirons quel coffre ouvrir, mais alors qu'une dit toujours la vérité, l'autre ment toujours. Maintenant entré."

Darl ne réagissait pas, n'intervenait pas. Il était là à suivre le groupe, sans idée, sans pensées particulière..Juste l'envie de rentrer dans ce temple, comme poussé par une force invisible.
Il n'avait pas particulièrement peur. S'il devait mourir il le ferait en se battant dignement. Mais en même temps il n'avait aucune raison de mourir ici. Il savait qu'il en ressortirai vivant..Il voyait sa comme une épreuve de force. Il en ressortirai plus fort....Plus apte à trouver et massacrer ceux qu'il cherche.

Il grimpa dans le bateau à la suite des maîtres mages qui s'exclamait tous haut. Darl se ré-intéressa à la discussion quand Cers posa la question à Sarius....C'est vrai...ils n'avaient aucune preuve que c'était bien le mage noir à l'intérieur...C'était sûrement un piège...Et Darl se jetait dedans tête baissée...Pour en ressortir.
Si la mort les attendait à l'intérieur, ce sera pour récupérer les âmes de ce qui s'y trouve.

Le navire se mit en route, il avançait mollement dans la lave et Darl passait ses mains sous sa cuirasse pour y faire passer un peu d'air...Il avait chaud au milieu de cet lave en fusion...C'était pire que sa forge.

Le trajet sembla durer une éternité que Darl passa à méditer pour se concentrer et se préparer au combat. Cet préparation était un point important pour un guerrier. Il pouvait aller affronter le danger sans crainte et se préparer mentalement à toute sorte de choses. Darl était paré pour le combat lorsque le drakkar s'arrêta auprès d'un quai de pierre.
Il descendit du navire et observa les alentours...Ils étaient tous en bas des crevasses, au milieu de la lave et à l'entrée du temple.

Une fosi en haut des marches ils tombèrent sur deux gargouilles et un message...Après que le message fut lu à voix haute Darl s'avança.
Il se souvenait -malheureusement- de ces moments où son père faisait travailler sa logique avec des devinettes...Il se souvenait d'une énigme ayant à peu près la même consonance...Il suffisait de poser une question simple pour trouver la réponse.
Le forgeron se plaça devant une gargouille et la fixa...Elle semblait faite de pierre comme n'importe quel statue...Il ne voyait pas de différence...Néanmoins, la situation était assez étrange pour croire à des statues parlante.

L'elfe tourna les talons vers le navire en contrebas et le pointa du doigt:
"Ce navire est-il magique pour tenir sur la lave?"

L'un des gargouille s'activa et répondut:

"Oui ce navire est magique, il a été créé par la magie et donc il est magique."

L'autre gargouille s'activa et dit:

"Non, ce navire n'est pas magique, il a été créer par la magie, mais est juste protégé par un sortilège qui le protege de la lave."

Il n'y avait aucun moyen de savoir laquel disait la vériter car même si l'on essayait de savoir si le navire était magique car dans tout les cas il y aurait une résonence magique à cause du sortilège de protection ou de la nature du navire.

Les deux statues s'activerent et dirent:

"Tu ne peux plus nous poser de question, une seul question est autorisé par personnes."