Une preuve...

Sujet: Une preuve... Ven 28 Nov 2008 - 22:20

[Ce rp est un rp privé avec Elanor si l’animatrice est d’accord de faire ce rp.]

[Je rappel que les derniers évènements c’étant déroule avec mon perso sont dans un intervalle très court soit, 2 jour depuis la quête de l’artefact volé, cette quête ce déroule le lendemain matin de la quête avec le griffon, et cette dernière se déroule juste après le moment où mon perso laisse une lettre à Elanor (1 heure au grand maxi), donc du premier au dernière évènement il c’est déroulé 2 à 3 jours au grand maxi même si il c’est passé plusieurs mois dans notre monde (les vacances ayant beaucoup ralentit la quête du griffon)]

Sarius se réveilla en sursaut à cause de ce cauchemars qui le hanté depuis maintenant deux jours, à chaque fois ce cauchemars débuté par une vision d’Elanor, cette vison se troublant pour laissé place à la tête de Akn’ar, les démons disait toujours la même chose. Ce rêve avait tellement troublé Sarius que maintenant il commençait à voir le démon même quand il pensée à Elanor, mais étrangement il ne le voyait que quand il pensée ou rêve d’Elanor, Sarius comprit alors que ce rêve devait être dut au fait qu’il repousse continuellement sa rencontre avec Elanor de peur de devoir lui expliqué pourquoi il l’a mettait à part dans sa quête contre Valken, il avait tout simplement peur du danger constant que représente Valken et du mal qu’il pourrait faire à la maître mage même si en tant que telle elle ne craignait pas grand-chose.

Sarius se leva de son lit, se prépara à quitter sa demeure, depuis quelques jours son physique avait commencé à changé, outre l’immense hématome qui orné sa poitrine suite à la chute du roché lâché par le griffon, une barbe apparaissait, il décida de la laissé pousser. On pouvait voir le vert émeraude de ses yeux être accentué par le blanc de ses yeux complètement injecté de sang du au manque de sommeil du mage lame.

Il descendit l’escalier qui menait de chez à son commerce, il passa à côté de l’armoire où il entreposé son équipement, pour une fois il ne l’ouvrit pas, il passa à côté sans s’y faire attention. Il sorti de l’armurerie et partit vers le centre de la ville où se trouvé l’académie, il était temps d’affronté les sentiments qu’il éprouvait. Il marcha dans la rue principal salua vaguement les quelques personnes qu’il connaissait, surtout d’autre commerçant, il vit la forge et ce demanda si Darl était à l’intérieur, et puis il s’en fichait complètement, il avait certes besoin de lui pour accomplir sa mission mais il n’avait pas besoin de savoir où il était, quand il aurait besoin de lui il le trouverait.

Il arriva devant le bâtiment qu’était l’académie, ces murs imposant résonné comme un avertissement à l’encontre de Sarius, pour la première fois il remarqua des inscriptions au dessus des portes principales :

« La magie nous guide, la magie nous donne espoir, la magie est notre vie. »

Sarius n’était pas vraiment d’accord avec ce proverbe bien connut de tout littéraire, pour lui la magie était source d’ennui et de malheur car depuis qu’il avait découvert qu’il était sensible à la magie cela n’avait pas arrêté de lui apporter des ennuis. Et l’espoir parlons en, depuis qu’il c’était découvert la quête de combattre la magie soustractive l’espoir lui avait toujours manqué et certaine fois cela l’avait presque mené jusqu'à la mort.

Après avoir salué les gardes, il entra dans l’académie, il arriva ainsi dans le hall qu’il avait l’habitude de traverser pour aller à l’étage des mages lame mais cette fois il emprunta un escalier bien particulier. Cet escalier menait directement à l’étage des clercs, il espérait pouvoir y trouver Elanor, car en tant que maître clerc elle devait, la pluparts du temps, se trouvait dans son bureau. Il se rappela que lors de sa dernière visite il avait été impossible de la voir en parti à cause de l’assistant d’Elanor, cette fois si, s’il devait encore le voir, il ferait en sorte de rester aimable avec cette personne qui ne faisait que son travail.

Quand il arriva enfin au bon étage il se dirigea vers une porte où était inscrit :

« Bureau des clercs; si c’est pour des blessures graves prenait directement à droite sinon aller tout droit. »

Il poussa la porte et marcha tout droit pour arriver dans une grande salle il vit des clercs ainsi que des malades atteint de diverse manière. Alors qu’il s’apprêtait à entrer vraiment dans la salle, un jeune clerc s’avança vers lui et lui dit :

« Puis-je vous aider, vous avez besoin d’un soin ou d’information sur diverse maladie ? »

Voyant que le mage lame était en pleine forme il dit :

« Que faites-vous ici ? »

Bien que Sarius cherchait sur les panneaux présent sur les différentes portes présente le nom de Elanor ce qui indiquerait son bureau il répondit :

« Euh… Bonjours, j’aurais voulut savoir où je pourrais trouver Dame Elanor ? »

Sarius attendit la réponse du jeune clerc tout en regardant si il ne voyait pas la maître clerc.

Je vais voir, attendez ici.

Le clerc disparut rapidement pendant quelque instant. De temps à autre un clerc passait, allait, venait, portant de livre ou non. C'était une matinée calme, rien de bien spéciale ce matin. Toujours est-il que le secteur des clercs était rarement en ébullition. Celui des laboratoires peut-être, mais ici, c'est la paix et le silence qui régnait. Les pas claquaient sur le sol, se répercutant le long des arcades majestueuses, on chuchotait. Le clerc revient. Il referma la porte et fit signe à Sarius de le suivre. Il n'était pas grand en effet, mais ce n'était pas un enfant comme on aurait pu le croire mais un de ces petits gens. Il avait de belles joues rosées et rebondie mais un regard sage éclairait son visage. Il ne semblait pas très bavard et se contenta de le guider silencieusement. A l'intérieur des couloirs, l'activité était plus dense.

Elle va vous recevoir.

Il le guida dans les couloirs complexes, seuls les habitués pouvaient se repérer dans ce labyrinthe sans avoir peur de se perde en sortant de l'artère centrale duquel tous les couloirs partaient. Au bout de cette artère, il y avait le bureau du Maître Clerc. Son assistant n'était pas là. S'il avait été là, il aurait sans doute fusiller le jeune homme du regard. Maudissant la présence de cet oiseau de malheur qu'il jugeait indigne de l'honneur qui lui était fait. Le clerc ouvrit la porte puis la referma derrière le jeune homme quand il fut entré. Il retourna à l'accueil sans un mot de plus, il avait une lecture passionnante à finir. Elle concernait les enzymes agissant dans le système digestif. Et cela allait faire partie du champs de l'épreuve périodique, il devait bien réviser car elle approchait.

Un tourbillon d'une odeur douce et sensuelle entoura Sarius quand la jeune femme vint se blottirent contre lui. Ne lui laissant pas le loisir de dire quoique ce soit. Elle l'attendait, dès que le clerc lui avait demandé si elle souhaitait le recevoir. Elle avait rapidement ajusté sa robe, rcoiffé machinalement ses cheveux et s'était placée près de la porte. Ainsi elle lui sauta au cou dès que la porte fut fermée.

Sarius... Tu t'es fait désirer...

Elle se nicha contre lui, se lovant, l'entourant de ses bras doux qui caressaient son dos, sa nuque. Elle avait changé, un peu, pas tant que cela finalement. Elle était toujours aussi frêle. Seuls ses cheveux qui s’étaient dépigmentés de façon spectaculaire jusqu'à atteindre une couleur aussi blanche que la neige était le seul changement notable. Cette couleur était un peu étonnante et cette pâleur faisait ressortir ses grands yeux. Pâle et fine, elle semblait plus gracile que jamais. Elle releva la tête, entoura le visage de l'homme de ses deux mains blanches et délicates.

Tu m’as manqué...

Un reproche chuchoté, un instant elle resta près de lui, son visage contre le sien, savourant l'échange de chaleur, jouant avec une de ses mèches de cheveux. Elle vint lui prendre un baiser, doux au départ, puis plus langoureux et passionné. Jouant avec ses lèvres de sa langue, dans une caresse douce et humide. Elle se laissa retomber, étant sur la pointe des pieds pour atteindre son visage, ses lèvres glissant dans son cou. Elle se nicha contre lui encore une fois. Il avait intérêt à se faire pardonner de l'avoir tant délaissée. Elle avait tant attendu son retour, se demandant quand il se déciderait.
Elle le dévisagea, de son regard si pénétrant, semblant réduire le monde à leur seule existence, plongeant dans son âme même.

Elle respirait de façon légèrement saccadée, tendue, semblant attendre de lui quelque chose. Son visage délicat tendu vers lui, ses lèvres entrouvertes éclairées par une ombre de sourire.

Sarius suivit le clerc dans un dédale de couloir qu’il avait déjà parcourut une fois pour voir Elanor, mais il ne pourrait pas se rappelait de quel chemin suivre donc il se laissa guider par le clerc. Ils arrivèrent devant une porte qui menait au bureau de la Maître Clerc, le clerc laissa entrer puis repartit à ses occupations.

A peine eut-il ouvert la porte qu’il ne reconnut rien qu’a l’odeur gracieuse et sensuelle de la présence de la jeune femme. Il entra dans la pièce, il vit Elanor s’approcher et se blottir dans ses bras avant qu’il n’ait put dire un mot. Il fut surprit de voir la nouvelle couleur des cheveux d’Elanor, cela la rendait encore plus belle. Il la regarda quelque instant et dit :

« Je suis désolé, toi aussi tu m’as manqué… »

Un long baiser s’en suivit, au début Sarius semblait distant ne s’attendant pas vraiment à cette réaction, cela faisait un moment, un trop long moment qu’il ne l’avait pas vu et il pensait qu’elle lui en voudrait de ne pas être venu la voir la voir plus tôt. Mais Sarius se donna complètement dans se baiser, cela lui rappela leur premier baiser. Quand elle se blottit contre lui, leur visage face à face, l’angoisse qu’il avait ressentit en venant refit surface. Il respira profondément pour se calmer puis il lui dit :

« Je suis désolé, je n’ai pas eut l’occasion de venir te voir depuis que j’ai donné un message à ton assistant, j’espère qu’il te la fait transmettre. J’ai regretté de nombreuse fois d’être partit dans cette stupide quête qui n’a mené à rien… »

Il était encore très en colère contre la maître chasseresse et cette colère se ressentait dans ses propos.

« …Je savais depuis le début que j’aurais dut rester en ville pour venir te voir plus tôt, mais j’ai entendu dire que tu étais parti guérir une épidémie dans je ne sais quel village. »

Il marqua une pause plutôt longue pendant la quel il la regarda profondément dans les yeux, ses yeux émeraudes faisait ressortir un profond besoin d’aide.

« Pour tout te dire j’ai hésité à venir, non pas par-ce-que je ne t’aime plus, au contraire tu es la seule personne que j’aime et que j’aimerais. Je ne voulais pas te mettre en danger avec mes problèmes avec cette magie. »

Il laissa ce dernier mot en suspens car ce simple mot présentait le véritable problème de Sarius et la peur qu’il avait qu’elle n’attaque Elanor pour lui faire du mal à lui, pour se venger de la destiné de Sarius.

Tu es tendu... mmmm...

Elle passa doucement ses mains le long de ses hanches, glissant ses doigts contre sa peau. Doucement, le caressant, le massant pour qu'il se détende. Elle était là maintenant, contre lui, chaude, palpitante de vie. Un sourire tendre aux lèvres. Elle laissa planer un silence un instant, profitant de jouer avec une mèche de ses cheveux, lui volant quelques baisers dans le cou. Finalement elle répondit. Ceci faisant, elle prit sa main et l'entraina à sa suite. Ils seraient plus à l'aise assis. Elle le guida jusqu'à son large fauteuil. Elle l'y poussa ostensiblement, ne lui laissant pas vraiment d'autre choix que de s'y assoir.

C'est vrai, tu dois te faire pardonner... mais j'ai confiance en toi.

Le fauteuil était tout ce qu’il y a de plus confortable, soyeux et vaste. Elle s'assit délicatement sur ses genoux, revint se blottir contre lui. Sa robe légère frôlant sa peau. Ce complexe mélange de force et de fragilité qui la rendais si désirable et si charismatique. Elle était une mage de haut niveau, oui, mais elle n'avait en rien perdu sa simplicité. Elle glissa à son oreille, mordillant son lobe entre ses dents blanche au passage. Sensualité. Elle était Elanor, elle n’avait pas aimé être délaissée, elle allait lui rappeler, lui rappeler l’importance de ce qui ne devait pas être délaissé. Un affront qui ne devait pas se reproduire.

Si tes problèmes sont importants, important au point de te tenir loin de moi alors que tu m'as affreusement manqué...

Une pointe de tristesse dans sa voix. Elle passe ses bras autour de sa taille et se niche contre lui, contre ce corps guerrier et musclé. Une petite chose, elle n'avait envie d'être qu'une petite chose que l'on protège. Elle soupira.

.. parle m'en alors...

Et après tu me parleras de nous, j'ai besoin d'entendre tes mots, ta voix, ton corps contre moi.

Je t'aime Sarius. Cacher les choses ne serre en rien à protéger les gens. Nous serons fort à deux, seuls nous sommes vulnérables...

Elle était si belle, si douce, tout contre lui, elle voulait qu’il oublie le reste du monde. Qu’il n’oublie pas qu’il était à elle. Un homme, il devait être un homme méritant, on ne peut se permettre d’être médiocre avec elle. Elle le guiderait à elle, il viendra. Il viendra. Comme une douce plaisanterie. Plus jamais il ne se jouerait d’elle comme il l’avait fait. Plus proche encore, comme pour se fondre en lui. Irrésistibles charmes féminins, ses lèvres chaudes, sa poitrine ferme et voluptueuse, ses mains qui courent contre lui. Elle le guiderait à elle, il viendra. Il viendra. Son regard qui semble refléter le firmament et l’immensité du ciel. Viens, focalise-toi, il ne verrait qu’elle. Plus jamais il ne se jouerait d’elle comme il l’avait fait.

Elle le guiderait à elle, il viendra. Il viendra.

Ils étaient le jour et la nuit, elle était la lumière, lui était l’ombre. Sa couleur était le blanc, lui le noir. Ils n’avaient rien en commun ou pas grand-chose, mais il l’aimait, elle était son soleil qui illuminait son existence. Il la regarda dans les yeux et se perdit dans leur profondeur.

Je t’aime. Plus jamais je ne m’éloignerais…

Une main dans le dos d’Elanor, et l’autre sur une jambe dénudé de la jeune femme, il sentit la peau sous ses doigts. Ses lèvres s’approchèrent de celle de la maître clerc, des larmes se mêlèrent au baiser, il n’avait jamais pleuré depuis son enfance, mais les sentiments qu’il ressentait pour la jeune femme étaient tellement forts qu’ils couvraient ses peurs.

Il ne dit plus rien préférant la regarder tel une rose lors d’un matin de printemps. Il s’en voulait, elle avait raison, il n’aurait jamais dut s’éloigner pour la protéger, cela n’avait aucun sens, elle était la seule personne en qui il pouvait avoir confiance, mais il ne voulait pas gâcher ce moment par des révélations terrifiantes.

Oui, je t’en parlerais, mais pas aujourd’hui.
Il parut plus sur de lui, une paix intérieure pouvait se faire sentir par le sourire doux qu’il avait.

Et si on allait marcher un peu en dehors de la ville, si bien sur tu n’a pas de travail ici.

Il se sentit soudain bête, bien sûr elle devait être constamment occupée en temps que maître mage.

"Oui, je t’en parlerais, mais pas aujourd’hui." Fuir encore hein. Elle se sentit déçue. Aller marcher, voilà ce qu'elle lui inspirait. Bien sûr, il continuait à se taire et se trouver en charmante position ave elle ne lui inspirait qu'une promenade. Elle soupira et se dégagea, elle se releva. Réajusta sa robe, une expression impassible, impossible de savoir ce qu'elle pouvait bien penser ou ressentir. Sa voix trahissait un peu de lassitude et de fatigue. Un reproche clairement formulé.

Depuis quand dois-tu m'en parler ? depuis quand ce n'est pas aujourd'hui ?

J'ai l'impression que tu t'amuse avec moi.

De la tristesse cette fois, elle détourne la tête. Et alors, cela le réjouissait d'être à ses côtés et de lui faire des promesses une fois de plus. Elle s'assit sur son bureau, passa une main dans ses cheveux. Toujours des promesses et le résultat, il l'avait complètement délaissée. Elle l'avait attendu, longtemps. Voilà qu'il repoussait encore les confidences. Il avait peur de quoi ? Pourquoi ne lui faisait-il pas confiance. Amertume.

Cesse de te cacher derrière des mots et des pirouettes, ce n'est pas ce que j'attends.

Jiji vint se poser sur son épaule, mais elle resta étrangement muette. Un chuchotement à l'oreille de sa maîtresse. La nymphe n'accorda aucune importance au garçon et commença à caresser doucement les cheveux de sa maîtresse. une mine contrite de ne pas pouvoir l'aider à avoir moins de peine. Ses petites lèvres bougeaient, chuchotant des mots sans que Sarius ne puisse en percevoir le sens. Elanor elle, fixait Sarius, assis de ce fauteuil. Lui mentant, lui cachant la vérité se justifiant par des promesses. "Oui, je t’en parlerais, mais pas aujourd’hui."

Elle glissa un mot ou deux à la nymphe. Ne cessant de fixer Sarius, un regard indéchiffrable.

Il la vit se lever, la suivant du regard, elle lui en voulait mais il ne pouvait… ne voulait pas lui dire se dont il redoutait. Il se leva, il aurait voulut partir mais quelque chose l’en empêchait, peut être la peur de la perdre encore une fois. Avant il aurait put tout lui dire, mais quelque chose avait changé, elle n’était plus la même, ce n’était pas dut à une autorité que lui conférait son rôle de maître mage, c’était plus profond quelque chose qui devait jouer au niveau de la magie. Il se tourna vers elle d’un air sombre et sinistre.

« La vérité… la vérité c’est que j’ai peur, oui peur de quelque chose qui me dépasse, d’une entité voulant contrôler chaqu’un de mes mouvements à cause d’une magie depuis longtemps disparut. La destruction, voila ce que je crains, pas ma propre destruction, mais celle des autres et la tienne en particulier… Ne pense pas que je me joue de toi ou que je te mens, je ne t’ai jamais menti et ce n’est pas aujourd’hui que je vais commencer. J’ai un bien trop grand respect pour toi pour t’injurier de la sorte. Tu voudrais que j’ai confiance en toi, tu l’a toute entière. Je te suis dévouer et si tu veux vraiment connaître mes plus grand malheur libre à toi. »

Son ton avait était plus sec qu’il ne l’aurait voulut, il l’aimait vraiment et il commençait à douter des sentiments de la jeune femme, elle disait l’aimer mais ne lui accorder pas sa confiance.

Il resta là immobile devant elle et la nymphe. Il la regarda silencieux, son cœur le faisant souffrir, le brulant. Il savait qu’il arrivait dans un nouveau tournant de sa vie, durant longtemps il avait mal agit, donnant trop facilement sa confiance, d’ailleurs cela avait faillit lui couter la vie plusieurs fois, ou ne faisant pas confiance au personne qui aurait vraiment put l’aider. Aujourd’hui il n’allait plus faire cette erreur, il dirait tout ce qu’il savait même les secrets qu’il avait juré de ne jamais dévoiler.

Il s’avança vers le bureau d’Elanor, la regardant toujours dans les yeux, il s’assit sur une chaise présente devant le bureau et dit :

« Bien, je vais tout te dire… »

[Dsl, j'ai besoin de temps pour récapituler tout les élément déjas présent et en ajouter d'autre. je continuerais ma phrase dans le prochain message.]

Devant son air sombre elle arqua un soucril. Elle avait contrarié ses plans en voulant savoir ce qu'il lui cachait et lui promettait depuis si longtemps. Il avait été serein et apaiser quand il avait s'agit de caresser ses lèvres, sa cuisse, son corps mais lorsqu'elle osait -ô misérable chose- demander un peu de compassion et de cesser d'être tenue dans l'ignorence... Une chose agréable dont on se serre quand on veut, une chose qui se tait, qui est là pour son plaisir. Il réagissait comme un gamin capricieux. L'omission est une forme de menssonge et tu me cache trop de chose.

Le partage, est la base d'un couple solide. Alors c'est ta peur qui te rend lâche ? Jusqu'ou ira ta remise en doute malgré tes paroles me jurant ta loyauté. Un masque neutre au visage, attentive. Non Élanor n'avait pas changé d'un pousse. Un peu fatiguée sans doute, mais elle relfettait toujours ce mélange savant qui faisait sa force et sa faiblesse. Un corps fragile, trop, un esprit affuté pour contre balancé cet handicape. ètre une femme dans une société médiévale est peu aisée, surtout si on se trouve au pouvoir. Femme, femme... et toi homme qui croit avoir tant de droit. Comme celui de me bafouer Sarius comme tu l'as fait.

Tu refuse de voir et de comprendre tes actes. Tu as peur. Je t'écoute, je t'écoute, livre moi tout ou rien. Mais cette décision changera tout. A toi de choisir ou tu veux que nous allions, tu es libre. Je te laisserai choisir. Conte-moi donc ton histoire. J'aime beaucoup les histoires. Nostalgie d'orpheline.

Dis-moi tout, oui tout, tout, tout.

Automatiquement, elle enregistrait aussi chaque information que lui donnait l'agitation de ses flux magiques. Que décideras-tu ? Dis-moi tout, oui tout, tout, tout.Que décideras-tu ? Dis-moi tout, oui tout, tout, tout.Que décideras-tu ? Dis-moi tout, oui tout, tout, tout.

Que décideras-tu ? Dis-moi tout, oui tout, tout, tout.

Sarius vit qu’Elanor attendait son récit de façon plutôt impatiente. Il ne voulait pas lui dire mais il n’avait pas d’autre choix.

« La mort me guète, temps que je n’aurais pas arrêté Valken, ma vie n’aurais aucun autre but temps que l’ancienne magie risque de revenir, ci cela arrivé, la mort risque de tous nous toucher car cela annoncera le retour des mages noirs. L’un deux est entrain de ce réveiller, et Valken essai de m’empêcher d’agir pour que ce mage noir se réveil et parvienne à récupérer ses pouvoirs, il faut l’en empêcher car personne ne pourra rivaliser en pouvoir. De plus des guerriers constituer d’ombre me poursuive, par je ne sais quel miracle ils ne peuvent pas rentrer dans la cité, peut être grâce au flux de magie omniprésent. Ils ont été envoyés par la magie pour détruire les obstacles qui empêcheraient le réveil de la magie. »

Pour lui il en avait déjà dit trop, mais il devait tout dire, il s’avait où se trouvait le mage, qui était encore coincé dans un cristal, ou du moins c’était le cas lorsqu’il avait eut cette vision quelques semaines plus tôt. Car bien qu’il haïssait cette magie il avait un lien plus fort que quiconque, car chaque être vivant avait un lien avec cette magie mais la plupart ne le savent pas.

« Le mage se trouve sur les îles de feu, où exactement je ne sais pas… »

Il lui expliqua le lien qu’il avait avec la magie soustractive et que chaque être pouvait l’avoir aussi si il prenait conscience de l’existence de la magie par le biais d’un objet ou d’une personne faisant entièrement partie de la magie, tel avait était le cas pour Sarius, avec sa rencontre avec le mage noir qu’il avait côtoie durant plusieurs année puis avec Valken, car bien qu’il s’agissait d’un être de l’ombre il avait été créé par la magie soustractive.

Il se leva et se dirigea vers une fenêtre, de là il pouvait observer toute la cité et la plaine qui l’entouré. Au loin il voyait l’océan qui abritait le lieu de sa mort ou la survie du monde. Il avait l’impression d’avoir été trahis, il c’était juré de ne jamais dire ce qu’il venait de dire, une partie de lui avait disparut à jamais prisonnier entre les mains d’Elanor.

[Mon perso a tout dit à Elanor, même si plus tard il révèle d’autre chose sur la magie soustractive, Elanor sera déjà au courant.]

C'est une information capitale, tu as si peux confiance en tes autorités pour avoir caché cela au Conseil des Mages ? Si peu de confiance en moi...

Les îles du feu... Bien... Avec ce que tu m'as dit j'ai le complément d'information qui me manquait. Tu crois sérieusement que nous ignorons tout de cette histoire ?

J'ai plusieurs choix maintenant, une expédition de mage t'aiderait non ?

J'ai de bon élément en main... Le mieux serait un groupe d'élite restreint pour la discrétion. Mais si notre ennemi prend le visage d'une magie entière, c'est la puissance de notre magie qui doit être prioritaire.

Pourquoi les ombres n'entrent pas dans la cité ? Parce que nous avons construit des protections contre elles. Nous avons étudié ce phénomène, ces choses...

Tu croyais être seul... mais tu n'es pas seul.

Quand un jour peut-être tu ouvriras les yeux du sage sur la magie, tu verras. Et comprendras que croire que nous ne verrons pas cela était irréaliste. Nous sommes l'élite ici, nous nous élevons au-dessus de tous pour mieux aider.

Si tu avais cessé de faire cavalier seul plus rapidement, nous aurions gagné tu temps...

Elle s'assit sur son siège et sortit quelques parchemin, elle en déroula un. Elle réfléchit un instant.Tout était si clair et si limpide. Elle avait ce qu'il lui manquait, tout était si prévisible... Si parfait...

Besoin d'une équipe de clerc et d’invocateurs, pour l'utilité que je sais.

Besoin d'un corps de défense et d'attaque.

Besoin d'un éclaireur, l'Éclaireur Royal sera à la hauteur.
As-tu envie de quelqu'un de particulier ? Tu reste le principal intéressé puisque tu es proche de ce danger et que tu y es indéniablement lié.

Le Maître Roublard, l'Éclaireur sera libre, il me doit quelque chose… il ne pourra pas refuser d'y prendre part et puis ça l'amusera.

Nous avons besoin des plus hautes pointures, tu comprends... trop de chose en dépende pour en faire une quête personnelle comme tu l'as fait jusqu'à maintenant. Et pas discrètement en plus...

Par contre, question de rivaliser contre le pouvoir de cette magie.

Un large sourire

J'ai quelques atouts dans ma manche et si nous ne pouvions l'arrêter, elle serait certes embêtante mais pas imbattable. Tu ignore beaucoup de chose sur la réelle puissance, le réel pouvoir… pas celui que vous croyez être, celui qui est réellement.

Elle se lève, pas chaloupés, charmeurs. Une main sur son épaule, elle regarde par la fenêtre elle aussi. Son regard se promena sur l'horizon. Quand on sait tout il est si aisé d'agir avant, de placer tout ce qu'il faut, là où il le faut...

Je crois que tu sous-estime mon influence... et la vraie puissance de notre magie... bien plus qu'un reliquat de magie ancienne...

Alors ? Puisque tu as le privilège de pouvoir demander à être entouré d’ami tu peux me donner leurs noms. Sinon je m’occupe de tout le reste…

De tout..

Merci. Tu as été long.

Ainsi donc, elle savait tout comme la plupart des maîtres mages de la cité. Mais elle savait qu’il était profondément lié à cette histoire, pourquoi ne pas lui avoir dit tout cela la première fois qu’il avait commencé à lui parler de la magie soustractive, pourquoi l’avoir laissé faire cavalier seul.

Il la voyait sous un nouveau jour, une haute autorité. Il avait été aveugle trop longtemps. Il l’écouta énoncé les personnes qui pouvait l’aider dans cette quête, elle était influente dans le conseil des mages.

Il se tourna vers elle, son regard charmeur lui faisait toujours le même effet, mais autre chose était présent, il avait conscience qu’elle n’était plus la femme qu’il connaissait. Il avait peur de se qu’il découvrirait si s’enfoncé encore plus lointain dans leur relation, ou cette manipulation… Il avait vraiment l’impression d’avoir été manipulé, et le choix qu’elle lui laissait n’était qu’une illusion, le résultat de son choix serait toujours le même, au final il le savait la destruction les attendait, la destruction de leur époque pour laisser apparaître une ère de traitrise et de survie. Mais ce moment là n’était pas encore arrivé, ils pouvaient toujours l’empêcher, encore fallait-il qu’il fasse le meilleur choix.

« Je me chargerais de demander l’aide des personnes que je pense digne de confiance, pour le reste tu fais comme tu veux… Ce n’est plus de mon ressors depuis longtemps. »

Mais alors que son esprit vagabondait par delà l’imagination, il sentit qu’un poids venait d’être levé, il n’était plus seul, il ne l’avait jamais été depuis qu’il était arrivé en ville.

Il repartit s’assoir en effleurant légèrement le bras de la maître clerc.

« Depuis quand vous le savez toi et les autres maîtres mages ? »

C'est parfait alors. Va donc rassembler tes amis, je vais réunir le Conseil.

Un signe à Jiji qui décola et disparu rapidement. Elle vint vers Sarius. Caressa doucement sa joue.

Il faut maintenant que nous fassions au plus vite. Reviens-toi et ton équipe une fois que vous serez revenu. Je vais me rendre à l'Assemblée. Je l'ai convoquée en urgence. Je ne sais pas combien de temps durera la discussion, mais compte sur moi pour la régler rapidement. Je ne pense pas avoir trop à argumenter mon intervention. La chose étant entendue par la majorité. Il y a bien quelques électrons libres mais j'ai la majorité.

Elle enfila une écharpe cousue d'or par dessus sa toge et un diadème simple. Elle s'inspecta rapidement devant le miroir. Parfaite. Ni trop simple, ni trop chichement habillée charismatique. Elle revint vers Sarius.

Je vais donner mes instructions à mon assistant et je file.

Elle se pencha vers lui et déposa un doux baiser sur ses lèvres.

A bientôt !

Un signe de la main, un sourire rassurant et doux. Elle devait faire vite. Lui devait aller chercher ses compagnons. Ils avaient du travail. Ils se reverraient bientôt. Elanor disparu dans les couloirs.

Jiji la rejoignit en cours de chemin, lui transmis une information. Puis repartit. Elanor souriait intérieurement.
Tout était si parfait.

Quelques détails à régler encore. Quelques points qui seraient peut-être plus scabreux qu'elle ne l'avait laissé penser. Elle espérait qu'il se rendait compte de l'honneur fait. Bon, tant pis ils composeraient ave son équipe. L'essenciel était de tout régler vite. Jiji devraient y arriver dans la soirée, revenue dans la nuit. Ce serait un peu serré mais elle ferais avec. Sarius ne lui avait vraiment pas simplifié les choses. Charment garçon.

Elle avait esquivé la question se qui laissa Sarius un peu perplexe. Elle le quitta après un baiser, même ses baisers avaient changés. Il se retrouva seul dans le bureau de la maître clerc. Il sortit quelques minutes après la jeune femme, il arriva devant le bureau de l’assistant d’Elanor, Sarius le salua même si il ne pouvait pas supporter cet homme. Il prit le couloir qui menait dans la salle principal, il avait put retenir le trajet lors de sa venue.

Il se retrouva dans un interstice entre le bureau des clercs et celui des shamans, Sarius prit l’escalier qui descendait dans le hall de l’académie. Alors qui descendait, il envoya un message mental à Altarith lui disant de le rejoindre devant l’académie.

Il arriva dans le hall, où il aperçut plusieurs maîtres mages se diriger dans la même direction. Il sortit du bâtiment et retrouva Altarith. Le loup se tourna vers lui et dit :

« Alors comment était-elle ? »

Sarius commença à avancer en direction du centre de la ville, puis au bout d’un moment alors qu’ils disparaissaient à un tournant, il dit :

« Elle a changé. »