Mages et démons : L'aventure débute
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Mages et démons : L'aventure débute


 
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 Le Panthéon

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MessageSujet: Le Panthéon   Le Panthéon Icon_minitimeSam 15 Nov 2008 - 20:47

Voici l'ensemble du panthéon, il est présenté sous forme de fiche pour chaque panthéon. La liste est non exhaustive et si vous souhaitez créer une religion, merci de soumettre votre proposition au staff et qui verra ce qu'il en est. Le panthéisme n'est qu'une sorte de choix religieux, il en existe bien d'autre, athée, agnostique, déisme, etc.


Panthéon humain.

Like a Star @ heaven Madaeve, le bon


Domaines : Vie

Surnom : le Bon, le Généreux

Symbole : un épi de blé

Culte temporel : Madaeve est vénéré pour tout ce qui symbolise la vie, pour l’agriculture et les femmes. On le prie de veiller sur un nouveau-né et le cordon est coupé selon un rite religieux précis.

Effigie : un oeuf

Description : Madaeve est un être éthéré, il est un souffle et il influe la vie et la fertilité sur son passage. Il est celui qui guide les destinées



Like a Star @ heaven Deno, le morbide

Domaines : La mort

Surnom : le Ténébreux

Symbole : un crâne

Culte temporel : Deno est celui qui amène le mal, la douleur, la maladie et les fléaux. Mais il est également celui qui accueillera les âmes dans leur demeure finale, c’est pourquoi il convient de le vénérer pour ne pas à avoir à souffrir durant son éternité. Le mal qui est en l’homme est un fruit de sa germe.

Effigie : une porte

Description : Deno est cadavérique. Ses chaires décomposée infestent son sillage d’une odeur fétide de mort et de pestilence. Ses habits en lambeaux ne cachent pas ses entrailles pourrie qui pende à l’air libre. Ces yeux ne sont que deux orbite vide, il est Cauchemar.



Like a Star @ heaven Amu


Domaines : Guerre

Surnom : le Grand Guerrier

Symbole : une épée

Culte temporel : Amu est le dieu qui guide les troupes. Il aime guerroyer et ne conçois d’autre méthode que le combat lors d’un choix. Il est aussi souvent le Dieu protecteur et les communauté comme les ville le vénèrent pour demander sa protection.

Effigie : un guerrier, épée tendue dans une pose victorieuse.

Description : Vêtu dune armure flamboyante, d’une épée et d’un bouclier, il ne quitte jamais ses armes. Il représente la force, la virilité et la candeur. Il est orgueilleux et aime les parures, il ne tolère pas l’échec.



Like a Star @ heaven Hannah

Domaines : Justice

Surnom : Celle qui juge

Symbole : une balance

Culte temporel : Hannah est invoquée lorsque jugement ou choix doit être fait. Plus particulièrement dans les tribunaux.

Effigie : une main

Description : Hannah est toujours représentée comme un personnage symétrique, nue, les bras tendu suspendant des plateaux. D’elle n’est retenu que la pureté de son esprit, sa perspicacité et sa faculté de jugement.



Like a Star @ heaven Nir

Domaines : Nature- Fécondité

Surnom : l’Impassible

Symbole : /

Culte temporel : Nir est appelé pour bénir et protéger une maison ou une moisson. Dieu sage et plutôt passif, on demande souvent sa clémence pour les faits à venir.

Effigie : un bol

Description : Jeune homme rêveur qui aime se reposer au creux d’un bois, il regarde le monde d’un regard indolent. Il est le plus patient du panthéon mais ses colère sont des plus terribles, volcans, tremblements de terre, tornades, nuée de criquet… C’est pourquoi il convient d’apaiser son cœur et de ne pas le déranger dans ses douce méditation.



Historique : Madaeve et Deno créèrent le monde. Ils sont antagoniste et Deno aimerai bien prendre le pouvoir à Madaeve. Cette querelle s’exprime dans de nombreuse chose. Amu est un fils de Madaeve et d’une mortelle, il dut se battre corps et âme pour être accepter par ses aîné et n’a de cesse de prouver ses capacités. N’ayant curent s’il provoque guerre et misère, il aime voir son influence s’étendre sur les mortels. Il s’amuse aussi beaucoup des querelles de son père et Deno. Il aime le chao de Deno car c’est un lieu ou se battre est vital mais s’il ne se lasse jamais de combattre, ne pas gagner l’insupporte, aussi il tend à certain objectif que son père tente d’imposer. Il n’aime pas Hannah qui le juge indigne du rang de dieu. Cette dernière par sa supériorité spirituelle trouve les autre bien ennuyant et n’a de cesse de juger et démêler leurs litiges. Au milieu de ses histoire complexe de bataille d’intérêt Nir vaque à ses occupations, mais s’il y a bien une chose qu’il ne supporte pas c’est que ses confrères et consœur détruise des beautés admirable en se battant. Il éprouve quelques affinité pour Hannah bien qu’il la juge un peu trop pinailleuse il aime sa façon de trancher les chose pour mettre fin à une bataille.

Panthéon Nain.

Gosil

Domaines : le Labeur et la Terre, du Courage et de la Beuverie.

Surnom : Le travailleur, le Vaillant

Symbole : une hache et une pioche

Culte temporel : Si Gosil aime la bonne chair et faire la fête entouré d'une joyeuse compagnie, il est aussi le dieu du labeur. Il y a un temps pour tout selon leurs dogme. Un temps pour travailler la terre et produire des produits de qualités, un temps pour se battre et un temps pour faire la fête. Le tout étant guidé par un esprit de camaraderie et de courage. De nombreuse prière on lieu, avant de travailler et après de travailler et des fêtes en son honneur son souvent la cause de belles orgies. Mais se baser uniquement sur cette vision pourrait-être pernicieux car Gosil est un guide qui est souvent trop caricaturer et dont les louables précepte sont souvent ignoré.

Effigie : une pierre de minerai en devenir

Description : Gosil est décrit comme un nain, de petite taille et copulant. Toujours prompt à faire la fête en charmante compagnie il ne perd cependant pas de vu des objectif louable et aime la droiture et la bravoure de son peuple. Il ne quitte pas sa fidèle hache ni sa pioche. Il n'apprécie pas foncièrement les richesses matérielles et préfère les joyaux plus spirituel que ce monde peut offrir. Son immortalité lui fait voir des horizon que nul ne peut percevoir. Il est souvent symboliser comme un père protecteur. Bats-toi pour une cause juste, mais ne meurt pas pour un idéal chimérique. Il aime la bravoure mais pas la témérité.

Historique : Gosil est un artisan. Il a prit un bloc immense dont les bornea s'étendent à l'infini et il a commencé à le tailler. De ce long travail minutieux et fastidieux sont né le monde et toutes choses. Mais plus il avança dans son travail, plus il devait prévoir les cause à effet et se trouva souvent devant des impasse fatale. C'est pourquoi, ayant une vue globale infinie, il décida d'englober des défaut et introduit donc le mal par concomitance pour construire un monde meilleur. Depuis il travail toujours à façonner le monde et à en corriger les erreurs. Les nains, construit à son image sont un peuple élu.
Profiter des bon plaisirs que nous offre le monde mais il convient de ne pas perdre de vue de louable but pour mener une vie bonne et à sa mort pouvoir aider Gosil à construire le monde, rejoignant ainsi sa cohorte de nain travailleur. Si la tâche est conséquente les fête que Gosil organise sont dignes des plaisir les plus exquis.


Dernière édition par Animatrice le Dim 16 Nov 2008 - 11:40, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le Panthéon   Le Panthéon Icon_minitimeSam 15 Nov 2008 - 20:49

Panthéon Elfe.

Tinèdia la Chasseresse


Domaines : Chasse, Pensée

Surnom : Chasseresse

Symbole : La Noblesse, la Force, la Vitalité

Culte temporel : Le culte est très stricte et se fait par des prêtres. Une fois par semaine la population va à l'église. On dit que les premiers textes sacrés furent écrits sur de la peau tannée que Tanèdia chassa elle-même. Les dogmes sont nombreux et la hiérarchie structurée.
Le prétexte de la chasse millénaire contre les esprits malins existe depuis tout temps et fut souvent un prétexte pour se débarrasser de personnes indésirables. En effet, dans des temps plus reculé cette pratique était courante. Et nombreux innocents furent criblés de flèches sacrées par un prêtre. La pureté est en effet une chose capitale dans cette religion et c'est pourquoi les bâtards sont méprisés et chassés.

Effigie : une elfe arc au poing

Description : Elle est la perfection, elle l'incarne de telle manière qu'on ne peut la regarder sans fléchir et détourner les yeux. Outre sa beauté indescriptible, elle incarne également la noblesse. Par son caractère et son maintien. Malgré sont apparente fragilité, elle est dotée d'une force capable de déplacer des montagnes et sa vitalité rayonne d'elle et la rend infatigable. Voici donc ces attributs. Outre son exemple physique, elle est aussi vénérée pour sa sagesse et la droiture de son esprit. On dit que ses flèches ne ratent jamais leur cible.

Un mot englobant à merveille ce qu'elle est se résume à la simple perfection.

Historique : Outre Tanèdia il existe une palette de Dieux secondaire et passif, se sont eux qui sont le berceau du monde.

Noum, la Terre, celle qui abrite
Djaë, la Nuit, personnifiée par la Lune
Hek, le Jour, personnifiée par le Soleil
Anima, la Vie incarnée par le règne animal et végétal
Denem, l'Univers, celui qui soutient tout

Ils sont aussi reconnu et remercier de leur travail, mais Tanèdia est seule reconnue comme un esprit en mouvement et capable de raisonnement.

Depuis la nuit des temps Tanèdia chasse les esprits malins et les combats. Malheureusement, ils sont résistants et surtout nombreux, ainsi Tanèdia s'est lancée dans une chasse qui devra durer l'éternité, ou alors donner lieu à une nouvelle ère, une ère de perfection et de paix. C'est ce qu'attendent et ce à quoi tende ceux qui voue un culte à Tanèdia, la création d'une nouvelle ère, l'Ère Ultime.


Panthéon Halfling.

Fœhn

Domaines : les farces et les illusions

Surnom : le Farceur

Symbole : /

Culte temporel : Tu as bien mangé, bien ris ? Tu as chipé le crayon de ton ami ? tu as placé un râteau ou il ne fallait pas, tu aime plaisanter et deviser joyeusement ? Tu aime courir dans le vent et rire, rire, tu aime voir des choses ridicules, tu te moque des autres ? Tu fais le chenapan ? tu vole ? En t'amusant et riant tu vénère Foehn.

Effigie : /

Description : Petit, les cheveux blond léger et aérien auréolant un visage enfantin aux pommettes rondes et rosées. Les yeux bleu, pétillant mais profond. Vêtu d'habits chatoyants mais simples, il est menu et gracile. Il a tout d'un enfant, le rire cristallin qui le suit réchauffe les cœurs et son sourire est aussi pur que les neiges immaculées. Il semble angélique et doux, tout son corps n'est que douceur et rondeur, l'allure sage et attentif. Il n'y a que ces yeux qui brillent d'une flamme de malice. Il est danse sur les vents. Hop je suis là ! Et non, j'y suis plus, par ici ! Foehn est rapide, agile et capable de milles prodige et tour de passe-passe. Il est maître d'illusion, tu crois que je suis là, mais je n'y suis pas. Je suis trompeur, j'embrouille vos sens et je m'amuse follement de vos passions. Vivez donc petits amis !


Historique : Pourquoi les choses sont-elle compliquée, pourquoi le malheur existe ? Pourquoi ? Eh bien cela, nous le devons à un petit garnement. Il n'existait que des âmes pures et indolentes, un monde plat et vide. Il n'existait rien de la joie et du mouvement. Il y avait des âmes qui se mouvaient lentement, leurs yeux aveugle porté sur un autre monde. Puis foehn arriva. Les cheveux au vent, essoufflé par une course folle, les gardiens le chassèrent et alors il connu une grande aversion pour se monde ennuyeux. Mais vraiment ennuyeux. Le farceur prépara alors la plus grande farce qu'il n'eue jamais faite. Il créa une magnifique illusion, faite de montagne de végétaux de pierre et de vie. La terre. Il créa le ciel, et les arc-en-ciel, la pluie. Il tira de son imaginaire ce contexte si plaisant. Et puis, il fondit alors sur les âmes et il les emprisonna dans ses corps.
Et depuis, il continue sa course poursuite avec les gardien qui chercher à l'arrêter, qui récupère les âmes quand les corps meurent et puis Foehn les reprend et les mets dans un autre corps. Il court dans ce monde et porté par un vent moqueur, il nargue les gardiens qui tentent de remettre le monde dans son état d'antan.

Et depuis ce temps, Foehn pris beaucoup de risque certes, mais s'amusa comme un fou et il en rira longtemps de sa farce qui lui offre des potentiels infini de continuer d'autre farce.

Tout n'est qu'illusion, ne vous fatiguez pas, nous ne sommes que pris dans une farce, à nous d'en prendre le partit d'en rire.


Dernière édition par Animatrice le Dim 16 Nov 2008 - 11:39, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le Panthéon   Le Panthéon Icon_minitimeSam 15 Nov 2008 - 20:52

Panthéon Centaure.

Mère Nature

Domaines : /

Surnom : Dame Nature, la Terre

Symbole : un Arbre centenaire et puissant

Culte temporel :
Tu avance sur une voie Sacrée.
Tu partage ton existence en son sein.
Tu dois La respecter.
Il convient d'écouter son cœur et de s'ouvrir à Elle.
Il faut préserver son Équilibre, l'aimer comme une mère, la protéger comme une amante.
Tu dois voir loin, du doit voir grand, tu dois voir Sa Volonté.
Tu dois être bon et sage, personne n'est ton ennemi ormis celui qui La menacera.

Effigie : /

Description : Elle est Tout, elle est la nature, la Force qui gouverne ce monde.

Historique : Elle est là, nous ne sommes pas assez sage pour savoir depuis quand. Son savoir se transmet par tradition orale.


Contes et légendes druidiques


L’enfant de la Terre

Un jour, une jeune femme à la peau pâle comme la lune naquit en un petit village de bûcherons. Elle vivait heureuse avec ses parents. Elle grandit, suivant son cycle naturel. Elle était douce et aimante, elle était frêle et gracile. On eut dit qu'un courant d'air la coucherait tel un épis de blé mur. Elle avait de long cheveux or et des yeux azur qui contemplait plus souvent le ciel que la terre qu'elle devait labourer, la maison qu'elle devait tenir. Elle était une rêveuse. La petite aimait se promener en forêt et imaginer toute sorte de récit extraordinaire. Il lui arrivait de se perdre et de s'endormir en forêt. Il ne lui arrivait jamais rien.

Malheureusement un jour le père décida de la marier à un bûcherons grossier et violent. La jeune fille ne le supporta pas et s'enfuit dans les bois.

La Terre eut pitié de sa fille et décida de la prendre en son sein. Lentement la jeune fille écarta les bras, ses pied s'enfoncèrent dans le sol et s'y enracinèrent. Sa peau devint blanche et pale, doucement son corps devint torsadé et peu à pu, en unions parfaite. Son père partit à sa recherche fut fou de chagrin en voyant sa fille devenir peu à peu un arbre. Il demanda de l'aide, alors apparut Xénon, il se disait être druide. Il alla rencontrer la jeune fille. Devant la splendeur des ramures et la grâce du tronc blanc il en pleura d'émotion. Déjà le visage de la jeune femme se transformait peu à peu, mais on pouvait y voir un sourire indéfinissable. A la pleine Lune, la femme était devenue un superbe bouleau.

Le druide médita longtemps et communiqua avec la jeune femme.

Elle demandait simplement à ses parents de ne pas être triste parce qu'elle était enfin heureuse.

Le père construit une petite hutte et veilla à qu'aucun bûcherons ne s'attaquent jamais au tronc gracile. Il restait souvent sous l'arbre à parler des heures avec sa fille. Il devint un druide réputé, très, il forma de nombreux apprentis.

Il parvint tant à s'accorder à la Terre, qu'un jour son souhait fut enfin réalisé alors que ses cheveux et sa barbe étaient devenue neige, sa femme était morte il y avait peu de temps, plus rien ne le retenais à cette vie humaine.

Si un jour vous voyez une vieille cabane en ruine, à côté un superbe bouleau au tronc argenté, à côté un chêne majestueux au tronc noueux et à la ramure verre tendre. On dit qu'il arrive d'entendre au pied de ses arbre un rire étouffer...




La Louve

La nuit, les senteurs froide de l’hiver. La faim, surtout la faim. Pas le moindre petit rongeur à se mettre sous la dent. Elle n’a pas froid, ses poils lui permettent de garder sa chaleur. Malgré tout elle peine dans la neige haute et le blizzard. Le poitrail fendant avec rage toute cette neige humide et lourde. Il lui faut un abri. Elle est perdue. Ou est la meute ? Elle voit des lueurs, elle se dirige vers eux, et se stoppe nette, des hommes. Elle sent l’odeur des chiens, et une odeur plus alléchante… de la viande. Sans bruit la louve se glissa entre les tantes et chipa habilement des morceaux de viande. Elle revint ainsi trois jour de suite, malheureusement elle fut attaquée et elle du fuir les humains, blessée. Traquée par une meute de chien. Elle les sema un a un. Elle dut briser le cou d’un téméraire imprudent. Les lèvres pleines de sang, la patte boiteuse, elle rampa pitoyablement. Les hommes la pourchasseraient sans discontinuer, le vol de viande et la mort de chien, les faisait enrager. La louve pria qu’il neige.

Il ne neigea pas, la lune claire répandait des ondes argentées, la louve chanta doucement sa tristesse. Elle écouta le silence, ses frères de meutes n’étaient pas là. Soudain, elle entendit du bruit derrière elle retourna la tête. Une humaine ! Elle grogna et sortit les dents. L’humaine tendit un bras recouvert de peau. Elle semblait sourire, ses yeux semblaient sourire. Apeurée la louve bondit, les crocs puissants se fermèrent sur le bras. Le sang chaud commença à perler du tissu épais. L’humaine ne bougea pas, le regard tendre, elle sortit d’une bécasse un morceau de viande. La louve ne comprenait plus. L’humaine posa le morceau de viande à côté de la louve. L’odeur chatouillait les naseaux de la louve qui n’y tenant plus bondit sur le morceau de viande. La femme répandit sur la plaie de la louve un onguent, trop occupée par son repas elle se laissa faire de mauvaise grâce. Quand elle eut finit, elle releva la tête et fixa de ses yeux d’or l’humaine, remarquant que sa plaie ne lui faisait absolument pas mal. Laissant la louve se reposer, elle défit ses vêtements et examina sa morsure. La louve fit alors le premier pas. Elle lécha doucement la plaie. L’humaine guida alors la louve, l’amenant dans sont abris, sous un sapin touffu dont les branches faisait un abri naturel. Un petit feu brûlait. Cette nuit, la louve devint amie avec l’humaine, sa nouvelle sœur de meutes.

Le lendemain, les deux amies partirent à la chasse. La louve fut étonnée du talent de la femme. La louve trouvait les proies et à l’aide d’un bâton courbé, elle pouvait les attraper dans les conditions les plus dures. La louve heureuse caracolait. Deux lièvres ! Une musaraigne qu’elle avait attrapé. La femme fit alors une chose étonnante, elle leva le bras et appela le ciel, dispersant de l’énergie qui firent frémir les moustaches de la louve. Quel être merveilleux était cette humaine ! Une nuée de corbeaux arriva. Elle donna alors toute sa part aux corbeaux. Elle n’en prit pas une part. Dès lors la louve n’eut de cesse de trouver assez de proie pour elle.
La femme montra à la louve une pousse, le printemps revenait. La louve ne voulait pas quitter sa sœur, même quand elle sentit les effluves de sa meute.

La druide partit alors, un vol de corbeaux au-dessus d’elle, une louve à ses côtés, marchant au rythme de la nature…




La femme louve et le serf

Jean était harassé, il rentrait sa bêche sur l’épaule. Il avait labouré toute la journée un champ qui ne lui appartenait pas, et dont il en tirait à peine de quoi nourrir. Son seigneur n’avait point daigné le remarier. Et il l’en remerciait. Sa femme étant décédée d’une pneumonie pendant un hiver rigoureux, emportant avec elle l’enfant qu’elle portait, cela faisait un an qu’il était marié. Elle était douce et belle, il était amoureux. Il avait cessé de croire depuis en tout. Au village on le regardait de travers ou bien le regard rempli d’une compassion hypocrite. Cet homme qui n’allait plus à l’église et qui n’avait de cure de commettre des pêchés. Il ne supportait sa vie, il ne pouvait s’enfuire et la vivre ailleurs. Il appartenait au seigneur et s’il fuyait c’était la torture assurée. Bien qu’une quelconque torture ou mort ne le fasse sourciller. Ce soir là, il regarda l’horizon. Le vieux chêne sur cette colline excentrée du petit bourg. Il y alla et pris la corde, il effectua lentement le nœud, il attacha la corde et s’assis sur une branche basse. Il se laissa glisser lentement. La corde enserra son cou. Il ferma les yeux et attendit que tout cesse. Un sifflement aigu retentit. Suivit d’une chut et d’une douleur cuisante au coccyx. L’homme ne comprit rien. Il ouvrit les yeux hébétés. A l’horizon, dans la lumière du couchant se tenait une silhouette immobile. Il regarda au-dessus de lui. La corde sectionnée se balançait mollement. Une flèche encore vibrante était plantée dans le tronc noueux du chêne. Comment diable avait-il fait pour viser de si loin ? L’étranger encapuchonner était suivit d’un chien au pelage gris. Quand il passa près de lui, il sentit une douce odeur, il leva les yeux surpris. Au lieu de se pencher vers lui, l’homme retirait sa flèche et commençait à caresser l’arbre en priant. Je rêve ou il s’excuse de l’avoir blessé ? Finalement il se baissa. Le chien vint gronder à côté. L’homme se liquéfia. Un loup ! Il posa doucement une main sur l’épaule du fauve et enleva doucement son capuchon. Une rivière de cheveux bruns ondulèrent au vent. L’homme méduser regarda le visage fin et aux pommettes saillantes, le regard pailleté d’or… une femme. Elle lui enleva doucement la corde du cou. L’homme parvint à balbutié piteusement :

- Mais… c’est un loup !

La voix douce et grave le rassura.

- Il n’y a pas de peur à avoir… ce n’est pas un loup... mais une louve.

Trop d’émotion, Jean fit une syncope et tomba dans les bras de la druide. La louve ouvrit la gueule, ses crocs brillèrent, mais en voyant ses yeux briller, on pouvait deviner un sourire de loup. La druide la regarda en coin, complice, souriant de toute dent. Elle décida de faire une pause ici. La louve partit chasser. L’homme ouvrit les yeux, confus et hébété. Il tourna la tête, assise près d’un feu, munie d’une impressionnante couche d’habits, et une tignasse volumineuse. Quand elle tourna la tête, il regarda ses yeux. Des iris dorés, il eut l’impression d’être transpercé. Il vint près du feu. Comme un automate. Le soir étant passé, le serf non rentré on envoya la milice. Attiré par le feu ils furent vite la. Ils furent surpris de découvrire une drôle de scène, une femme habillée de nombreuse peau et fourrure en plein été, un grand chien allongé et leur serf, complètement hagard pâle comme un mort qui regarde le feu.

- Hey là ! Jean, ramène-toi !

Ils s’avancèrent, un peu déconcerté, ils étaient sourds ? Personne n’avait bougé, le sergent tenta d’empoigner le serf. Il fut cueillit par un bâton torsadé couvert de rune sortit de je ne sais où. La druide le tenait tendu, seul son bras avait bougé. De sa voix profonde et lente elle finit de terroriser les soldats.

- Cette âme m’appartient…
- Ce serf appartient au seigneur Lord Brayan et…
- Cette âme m’appartient…

La druide se leva, le regard sombre, les miliciens aperçurent enfin ses yeux et des yeux non-humain. Elle tourna lentement son bâton. Le milicien sortit son épée et la brandit menaçant. La druide se décala, un pas, un geste, le bâton s’abattit, le garde chancela, il n’avait pas pu éviter le coup, lui un militaire expérimenté !
Jean intervint enfin.

- Je suis mort… je me suis pendu au chêne… partez si vous ne voulez pas me rejoindre en enfer.

Les gardes détalèrent, s'en était trop pour eux. La druide éclata de rire. L’homme la regarda, étonné.

- Je ne savais pas que les anges riaient…
- Tu n’es pas mort idiot. Je suis tout ce qu’il y a de plus humaine. Je fais tant peur.

Elle repartit d’un grand éclat de rire, la louve émis un bref jappement.

- Je suis un Ange de la Terre, une Gardienne de la Terre, je suis une druide. Chaque vie à un sens, te voir travailler et aimer la tête et te tuer me paraissait stupide, j’ai décidé de couper ta corde, à tord peut-être. Maintenant je te laisse choix de tes actes.

Le serf, se voyant offrir une toute nouvelle liberté quitta sa vie de misère et accompagna la druide.

Sur le chemin, un homme abordant un étrange tatouage sur la joue, tenant une femme par la main, une louve dans leur sillage, ils vont et vienne, ils errent aux grés du vent.

Ils sont des Gardiens de la Terre.




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MessageSujet: Re: Le Panthéon   Le Panthéon Icon_minitimeSam 15 Nov 2008 - 20:53

Panthéon Saurien.

Paewen et Nao - La Architecte et Celui qui guide

Domaines : Paewen, fécondité, abondance - Nao le régisseur

Surnom : la Mère et le Guide

Symbole : Une lune pleine pour Paewen et une écaille pour Nao

Culte temporel : Les cultes sont mené par les anciens, les sage qui transmette les traditions orale de génération en génération. A chaque nouvelle Lune à lieu une fête mémorable en l'honneur de Paewen souvent représentée par l'astre lunaire. Chaque soir, a lieu un sermon en l'honneur de Nao. Il convient d'honorer ces Dieux à chaque fois qu'il est possible.

Effigie : Deux sauriens

Description : Paewen est une saurienne magnifique. Grande et élancée, elle se trouve dans un jardin magnifique, elle y cultive de nombreuses espèces de végétaux et est entourée d'une cohorte de petits lutins qui la servent. C'est eux qu'elle envoie sur terre. Elle aime cultiver sa jeunesse et sa beauté et ignore son fils. Sa vieillesse et son apparence la rebute elle qui est attirante et à l'image de la vitalité. Ses yeux sont partout et on la prêtant taquine. De temps à autre elle se rend dans les Jardins des Âmes ou elle aime s'enticher d'un jeune homme dans la force de l'âge et de lui voler sa vitalité dans un accouplement torride. Elle mettra au monde un être, végétal ou animal qu'elle confiera à ses lutins qui lui feront regagner la terre.
Nao est né vieux. La peau parcheminée et ridée, il semble usé mais également très sage, car c'est lui qui dirige l'Ordre des choses et son entendement est sans égal. Il a tendance à mépriser sa mère qui ne pense qu'à des plaisirs primaires mais respecte son instinct de création. Il lui reproche simplement son désintéressement pour le monde qu'elle a créé et c'est pourquoi il se charge de le veiller.

Historique : Avant que Paewen ne crée le monde, il n'y avait rien que de la matière chaotique. C'est elle qui créa les formes et choses, le monde et tout ce qu'il s'y trouve. Donnant un mouvement, une raison et un cycle perpétuel à l'ordre des choses. Cependant, comme le monde est plein, chaque changement engendre plusieurs répercutions non voulue. Paewen effectua un travail admirable en agençant les choses ainsi. Cependant, l’impossibilité de mettre les choses ensemble sans provoquer des modifications contingente par la suite est la cause du Mal et des troubles qui règne en ce monde. C'est pourquoi Nao s'évertue à minimiser les défauts et de ne pas laisser dériver la Création car sa mère s'en est vite désintéressée. Patient et minutieux, il s'applique à guider dans le vrai son peuple. Celui que Paewen créa à leur image. Ceux qui seront digne d'entrer dans les Jardins. Il en existe plusieurs :
Le jardin des Juste et des Bons, pour ceux qui on mené une vie humble et aux intentions empathique ;
Le Jardin de la Zizanie, pour les impulsifs et les pinailleurs ;
Le Jardin des Perdus, ceux qui se sont égaré, qui on perdu de vue leur chemin ;
Le Jardin des Fainéants, de ceux qui ont préférer ne faire aucun effort.
Le Jardin des Coupable, de ceux qui on commit des fautes et crimes.

Une fois mort, leur âme s'élève vers le monde Spirituel et arrive aux Porte des Jardins, là des Nymphe viennent juger leur âme et leur ouvre les porte de leur destination finale.

Il en est ainsi depuis la nuit des temps.


Panthéon Minotaure.

Cadadus et Cadadia – La Vie et la Mort

Domaines : Cadadus est celui qui donne la vie et la protège et Cadadia règne sur le domaine des morts, ensemble ils sont l'équilibre perpétuel.

Surnom : le Bon et la Mauvaise

Symbole : Cadadus est représenté par deux cornes et Cadadia une hache à double lame.

Culte temporel : Le matin une prière à Cadadus, le soir une à Cadadia. Il est important de les vénérer à égale ferveur car il ne faut pas les rendre jaloux. Dans tout le culte, cette optique de tout partager équitablement entre les deux divinités est très dominante. Depuis toujours, leur lutte est la cause de tout. Généralement, les prières sont accompagnées de mugissement puissant et de démonstration de force pure. Il faut être le plus exubérant et généreux possible. Lors de grande fête en l'honneur des deux Dieux, de grande danse avec des danseurs recouvrèrent de peinture et mimant l'éternel combat entre Cadadus et Cadadia. Il donne, Elle reprend. Si on manque à cette idée, on est un hérétique. Il arrive également que les prêtres se servent de substance hallucinogène pour certain rite et prière.

Effigie : Deux taureaux aux cornes enlacée et accrochée, luttant l'un contre l'autre.

Description : Cadadus est doux et sage, c'est un idéaliste qui croit en la bonté de ce monde. Il veille sur la vie de ses sujets et se montre dévoué et indulgent. Souvent habillé d'habit distingué, il représente aussi le savoir et la sagesse dont cette race étonnante peu faire. Il sait pourtant se montrer féroce quand il s'agit de protéger ce qui lui est cher.
Cadadia, son antagoniste et sœur jumelle, aime la violence et la force brute. Elle pense que la force peu tout résoudre et préfère les conflits à la paix. Elle est toujours accompagnée de sa fidèle hache. Elle incarne la furie et la mort. Mais elle est indispensable. Sans elle la vie n'aurais pas de sens.

Historique : Il n'y a aucune trace écrite de ce panthéon mais une tradition orale comme il est de coutume chez les minotaures. De nombreux mythe et fable forme la base et le tronc de cette croyance. Nul ne sait d'où elle vient, ni sa réelle histoire. Depuis que le monde abrite des minotaure, Cadadus et Cadadia régisse le monde de leur interminable lutte. En famille ou clan, une soirée au près du feu est toujours entouré de récit fabuleux sur els aventures de ces Dieux et du peuple minotaure. Les autres races ont une faible connaissance de ses coutumes jugées souvent comme païenne et peu crédible. Pourtant, de nombreuse chose les guident et loin d'être une croyance populaire légère, c'est bien une religion très ancienne et souvent mésestimée.

Peu de grands érudits se sont intéressés à cette culture et l'histoire des peuples à fait que les minotaures ont développés une certaine méfiance vis à vis de leurs voisins.

« Quand le ciel se déchirent et que des bruit retentissant couvrent nos voix, c'est que Cadadia et Cadadus sont encore entrain de se battre avec férocité. C'est pour cela que chaque fois qu'un orage éclate, nous sortons, arrêtons nos activité et bénissons nos Dieux. Certain peuple craigne la foudre mais ne savez vous pas que les foudroyez gagne immédiatement la demeure des Dieux. Pourquoi avoir peur ? Pour y accéder il faut se montrer un digne combattant, le chemin y menant est parcourut de lutte et combat. Celui qui meurt sous la foudre est béni des Dieux et sa famille honorée. C’est pourquoi les minotaures les fêtent toujours avec la superbe que vous qualifierez exubérance barbare. Depuis la naissance des temps, nous avons été mésestimés par des êtres qui ne se donnaient pas la peine de nous écouter sans juger. » (Vivre avec les minotaures, chapitre XI - un minotaure, Charles Desak)

« Quand la terre tremble, quand elle crache du feu, quand elle nous sert de milles et uns mots, nous le prenons comme les dégâts collatéraux de la lutte entre Cadadus et Cadadia. Mais penser que notre pensée est fondée sur des guerroieriez enfantilesque serait allé un peu vite. En effet, cette lutte est un symbole, une philosophie que l’on retrouve souvent par des voies parfois un peu détournée, du combat pour la vie et de son équilibre. La vie nous la chérissons, mais sans la mort, la vie serait impossible… de ce fait, nous la respectons. Le mythe veut que Cadadus et Cadadia soient des jumeaux, le premier fut pourvu des nombreuses qualités, dont ses attributs : il est doux et sage, c'est un idéaliste qui croit en la bonté de ce monde. Il veille sur la vie de ses sujets et se montre dévoué et indulgent. Cadadia, la seconde, est individualiste, et ne pense qu’à surpasser son frère. Elle représente la force brute et choisi toujours le choix de la violence. Pourtant, elle n’est pas foncièrement mauvaise même si on a tendance à la nommer de la sorte. Elle représente la bestialité et la fatalité qu’il y a en chacun de nous. Il nous revient de poser un regard sage et objectif et de tirer les enseignements que nous donnent nos Dieux. » (Vivre avec les minotaures, chapitre VII - Nia soldat de l’Armée, Charles Desak)

« Et alors, lorsque son corps fut retourné à la terre Harak se releva dans l’entre-monde. C’était un guerrier, chef de clan, il avait été porté aux portes de la mort dans un triomphe. Il avait fracassé de nombreux crânes d’ennemis avant de crouler sous le nombre d’ennemi. Un combat qu’il savait perdu d’avance mais il n’a pas hésité à se sacrifier pour son peuple. Il avait vécu une vie dans l’honneur et la foi et maintenant se trouvait sur le Chemin Céleste. Notre héro, se relève. Il avait dans sa main, sa fidèle hache qu’on avait enterré avec lui. Il avança et rencontra son premier combat. Avec lui apparaissait d’autre minotaure, il ne les connaissait pas, mais qu’importe, ils allaient eux aussi combattre pour accéder aux Portes. Le premier combat fut rapide, il se débarrassa de son ennemi d’un gigantesque coup de hache qui le coupa en deux. Les autres combats ne lui posèrent aucune difficulté. Peu à peu, plus ils avançaient sur le chemin, leurs ennemis devenaient plus téméraires et plus forts. Un minotaure tomba. Un faible qui ne méritait pas la vie Divine et qui rejoindrait le monde flottant des âmes. Harak était puissant et à la fois humble, il sut tirer sa force brute à son paroxysme selon l’ardeur de Cadadia et su faire preuve de sagesse à l’image de Cadadus. C’est en étant fort et sage que les Portes s’ouvriront. Depuis, Harak a rejoint ses ancêtres dans la cours des sujets de Cadadia et Cadadus où une nouvelle vie les attendait. » (Vivre avec les minotaures, chapitre XVI – un ancien, Charles Desak)


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MessageSujet: Re: Le Panthéon   Le Panthéon Icon_minitimeSam 15 Nov 2008 - 20:56

Panthéon Homme-chat.

Talalarel – Porteuse du monde

Domaines : Aucun

Surnom : Felidae

Symbole : une griffe de chat dans un cercle

Culte temporel : On offre une prière coutumière à la naissance d'un enfant, à la mémoire à Talalarel qui donna naissance au monde. Il n'y a pas de culte, les pratiquants la respecte et se comporte en fils de Talalarel.

Effigie : Une chatte portante ou une chatte

Description : Talalarel est représentée comme Femme chat au pelage tigré. Elle possède de grands yeux doux et intelligents. Vigoureuse et puissante, elle possède une grande intelligence. Elle dort la plus part du temps, heureuse et sereine. Elle a fait sa tâche, le monde est né maintenant elle peut se reposer. Talalarel n'intervient plus dans le monde, elle est indépendante. Elle leur a donné la vie, ils en font maintenant ce qu’ils veulent. Il y a bien plus important. Se faire belle par exemple. On dit qu'elle passe beaucoup de temps à se toiletter, on dit qu'elle attend un futur prétendant pour engendrer un autre monde. Coquine, elle se fait désirer et aime se faire courtiser. Elle sait qu'elle est d'une grande beauté et que son corps mi-félin, mi-femme est gracieux et agile.

Historique : Elle incarne la perfection de ce que peut être un homme chat. Comme eux, elle a un caractère indépendant marqué, une fois les monde créé, elle donna vie à un peuple à son image et l'y plaça. Depuis, épuisée elle les contemple depuis un intermonde. Elle a tout construit, tout mis au monde, elle est celle qui leur donna vie à tous. A eux, aux rocher, au soleil et à la lune, aux étoiles. Le monde est comme une sorte de bulle, un oeuf, et derrière il y a un intermonde où demeure Talalarel. Et maintenant, les actes qu’ils entreprennent le sont de leur propre liberté et ils méprisent ceux qui croisent en un Dieu ou plusieurs d'ailleurs qui gouverne tout. Ils sont libre et l'esprit fière.

Cette race évolue en marge, elle n'aime pas spécialement la société et vit une vie renfermée sur eux même. Certain des leur se sont illustré par leur prouesse, mais généralement, ils restent entre eux. Car eux seul savent la raison de ce monde et eux seul sont à l'image de la Déesse parfaite qui les créa. Elle seule les dota d'une âme pure et juste. Eux seul savent la raison de cela et que les autres en tirent quelques frustrations, cela ne les concernent pas et ils s'en moquent. Ce monde avait été construit pour eux, pour qu'ils y vivent leur temps de mortel avant de la rejoindre dans l'intermonde. Là-bas, ils y deviendraient des astres et s'amuseraient et vivraient d'insouciance et d'amour.

C'est ce qui conduit, les membres de cette religion à mépriser les autres qu’ils ne coïncidèrent que comme des jouets. Un décor mis là pour les servir, pour mettre un peu de piment dans le bac à sable de leur enfance. Une fois qu'il serait adulte, passage marqué par la mort, ils gagneraient l'intermonde. C'est pourquoi la naissance et la mort sont les seuls moments où ils pratiquent un rite en l'honneur de Talalarel.

Un grand bucher sera le dernier hommage aux défunts qui quitte l'enfance. C'est toujours un moment de grande joie et l'occasion de faire la fête.

Car ils sont d'humeur à faire la fête autant que possible comme leur Déesse.

"Amusez-vous, enfant, vous connaîtrez les plaisirs réelle de la douce vie dans mon royaume."


Panthéon draconique.

Domaines : La Magie

Surnom : /

Symbole : les éléments naturels

Culte temporel : Les dragon sont là depuis la naissance du monde. Et se considèrent comme des dieux. Ils n'ont donc pas de prière ni le besoin de s'adonner à un culte puisqu'ils sont eux-mêmes des dieux.

Effigie : un dragon ou une flamme

Description : les dragon sont de taille très imposante et ailé. Il n'existe pas beaucoup de dragon, voir très peu et ils sont tous unique. Ils se distinguent par une morphologie suivante : un corps reptilien gigantesque et ailé. Il peut cracher du feu, peu de personnes peuvent se targuer d'avoir rencontré un vrai dragon et surtout de le connaître car ses êtres ne se lient pas aux commun des mortels. Ils les méprisent la plus part du temps car eux sont des Dieux. Dieux lié à la Terre, à l'Air, au Feu et à l'Eau. Ensuite, chaque dragon à son élément de prédilection qui détermine sa constitution et sa magie. Car les dragons se veulent parents de la magie qui elle, est la Mère de toute chose.

Il est donc évident qu'ils sont l'origine de tout et soit pourvu de puissance et d'une intelligence brute acérée.

Cependant on peu rencontrer des types de dragon tout autre. Sans aile, un corps totalement élémentariste, ou alors se fondant dans la végétation mais ceux-ci ne semblent pas arpenter ce monde ou alors ce cacher.[/i]

Historique : "Nous sommes les premiers être, nous avons donner à ce monde la Magie, ce monde existe pour notre plaisir et par notre volonté, nous sommes l'Origine. "

Il arriva que le peu de dragon connu soit tristement célèbre pour leur acte de barbarie, ce qui conduit bien souvent à la modification de leur appréhension, affaiblissant peu à peu la vénération que les autres races leur offraient. Ils se détachèrent d'eux et, pour les dragons, sombrèrent dans des mythismes purement inventé par leur esprit faibles qui demandait un soutien, car les dragons ne voulait plus se charger d'eux. Il doit bien exister une ou deux exceptions de dragon essayant de renouer avec l'ancien équilibre du monde que les dragons ont détruit par leur égoïsme et leur étroitesse de vue. Les autres races à première vue faible forgèrent des empires et se répandirent dans le monde alors que les dragons individualistes survivaient en petit nombre.

"J'ai marché si longtemps, si loin. Je ne savais plus réellement où j'allais. Ou plutôt oui, je voulais connaître la cause des éboulements périodiques du Mont Maudit ou personne n'allait. Aventurier dans le sang, habitué à la dure vie j'ai bravé tous les intempéries. J'ai traversé des fleuves, escaladés des falaises. Et puis, gravir cette montagne était un défi que je voulais relever. Quelle euphorie que d'être sur un sommet et d'observer le monde à ses pieds. C'est cette pensée heureuse qui me guidait encore à travers le brouillard qui venait de s'abattre sur la montagne. Cela faisait un mois que je me battais contre les intempéries quand je me suis abrité dans cette grotte et que j'ai cherché des brindilles et du bois pour faire du feu, étonnement, j'en ai trouvé a foison. J'allumais le feu avec mes pierres de silex. La lumière et la chaleur envahir l'endroit. La grotte était immense, c'est alors que j'ai vu toute une paroi bouger ! J'ai cru que c’était la fin, mais cela ne fut que le commencement de la plus étrange rencontre de ma vie. Un immense œil saurien et doré s'ouvrit et me sonda. La voix rocailleuse et immense raisonna.

"Que fais-tu ici mortel ?"

C'est ce que j'ai compris, j'ai compris alors que les dragon n'étais pas qu'un légende. J'étais tombé sur le nid d'une dragonne portante. C'est pour cela que j'avais pu la voir et c'est pour cela que l'insecte que j'étais s'est fait projet dehors par un torrent de flamme. C'est parce que j'étais le plus grand pyromancien du royaume que j'ai survécu. Depuis je cherche à la revoir, elle qui a embrasé mon cœur, mais plus jamais je n'ai vu de dragon, plus jamais. " (Mémoire d'un pyromancien, la dragonne, Bert D'Anacourt)


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MessageSujet: Re: Le Panthéon   Le Panthéon Icon_minitimeSam 15 Nov 2008 - 20:58


La Déesse – Mère de tout être et de toutes choses


Domaines : Elle est tout et tout est Elle. Elle est la Créatrice et Celle qui gouverne l’avancée de Son travail.

Surnom : La Sage, La Dévouée, la Mère

Symbole : une arabesque complexe dont le sens échappe aux plus sages.

Culte temporel : On ne sait que peu de chose de son culte temporel. Elle n’a pas de lieu de culte et généralement, des regroupements se forme autour de sages étant choisi par Elle-même. En effet, chaque enfant lui est présenté et par des rites complexes on induit certain composé dans son être. Ses produits bénits écloront sous forme de tatouages qu’il apprendra à cacher ou à montrer. Cette religion privilégie le rapport très intime et fermé envers Elle. Un lien et des prières quotidiennes façonnent leur journée et les événements qui s’y déroulent. « La Déesse guide mes pas sur le chemin qu’Elle m’a tracé. » Ainsi ils se fondent à la vie de tous et agissent secrètement pour apporter Son Équilibre. Organisation secrète aux puissantes ramifications qui se nichent partout, jusqu’au place de pouvoir les plus puissantes et influentes.

Effigie : Elle n’est pas représentée, et n’a aucun lieu de culte. Rien de matériel n’est représentatif d’Elle, puisqu’Elle est tout.

Description : Figure féminine, elle peut revêtir toutes formes. Elle est tout. Elle peut se fondre en toute chose et toute chose suit Sa Volonté.

Historique : Cette religion est extrêmement ancienne mais peu connue. En effet, ses pratiquants sont discret, même s’ils vous intrigueront en lâchant : « Par la Déesse ! » Ils ne répondront à vos questions que par des moyens détournés et sans jamais y apporter vraiment de réponse. Toujours ce sourire lointain et agaçant de celui qui sait et choie son secret. Cette religion pourrait presque être assimilée à une secte mais n’est remplit pas exactement sa décision. Chaque est individu est libre de partir ou venir, même s’il est plus aisé de partir que de venir et il n’y a pas de représentant mortel charismatique. Non, leur seul guide est la Déesse et s’ils ont une organisation secrète très puissante, ils restent dans l’ombre. Ils agissent à tout niveau du pays. Ils ont connu une presque extinction mais il y a environ un millénaire, cette religion repartit de plus belle, et portée par la Foi infaillible de ses pratiquants, elle est maintenant représentée dans chaque parcelle du pays.
Si aucun lieu de culte n’est en fonction, un symbole, arabesque torsadé et complexe est un signe de l’appartenance d’une maison par exemple, pour guider les pèlerins à un gît où Sa Foi règne. Car les pratiquants entre eux se reconnaissent à leurs tatouages. Ces tatouages sont des runes qui constellent leur peau. Généralement les premières se situent sur le visage, elles peuvent s’étendre sur tout le corps. Généralement ils n’en possèdent que peux. Avoir trois runes est déjà un symbole de respect et une marque importante.
C’est ainsi que ce fait la hiérarchie selon l’engagement de la personne sur la Voie et les tatouages n’en sont que le témoignage. La destinée de ceux qui ont été choisi son toujours complexe et mouvementée mais ils l’acceptent sereinement car ils savent qu’ils suivent Sa Voie. Généralement, dans un village ou une région, il y a d’abord le chef de famille, puis le chef du village, puis le chef du département (car ils ont séparé le pays en départements)
Les Cinq Grand, rassemblé autour des dernières cités qui tiennent. Girk’An étant le principal, sa sécurité plus grande et la concentration des pouvoirs et savoir du pays en ont fait un lieu stratégique privilégié.

Et puis trente trois autres départements secondaire.

Ces départements sont nommés Quartier.

Il existe ensuite des subdivisons supérieur qui recoupent ces Quartiers, les cinq Grand sont à part.

Il y a la Confédération des Frontaliers, comprenant les 10 Quartiers à la frontière du pays. Le Septentrional, le Couchant, le Levant et le Méridional regroupe les autres Quartiers. (cf carte)

On se présentera donc ainsi par exemple : « Membre du vingt-sixième Quartier Septentrional » ou « Membre du quatrième Grand Quartier » et ainsi de suite.

Spoiler:

Il existe de Grandes Assemblée ou se regroupe les représentants des 5 Quartiers secondaire ceux là seront accompagné du représentant de chaque département qu’il contient et les Cinq Grand Quartier. Ramifié et hiérarchisé de manière efficace très peu de non croyant en savent quelque choses. Certain se doute de quelque chose et s’ils existent vraiment, ils ne se comptent même pas sur trois doigts. Ou alors dans les cimetières, ils sont retournés en Son Être sous une autre forme moins pernicieuse pour Son Équilibre…

Amour, Vie, Gloire Divine, Nous suivrons ta Voie, Ô Souveraine.
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