La Requête

Arera resta sans bouger sur place, elle écouta attentivement les dires du milicien, Nyviel était condamné aux travaux forcés, elle trouva ceci exagéré, travailler pendant cinq jours du matin au soir, pour juste quelques coups, elle s'avança pour protester, essaier de la défendre, mais ne put car Maitre Elanor et la milice était déjà partie.

Elle se tourna alors vers Atÿla et le nain, s'inclina respectuesement.

-Je vous remercie énormément pour votre aide, et je saurais un jour vous la rendre.

Elle s'inclina encore une fois, s'excusa et se sépara d'eux, ele ne savait plus trop quoi faire entre aller voir Maitre Elanor pour alléger sa peine, aller voir Darl pour s'excuser et savoir si elle pouvait aider, ou ne rien faire. Finallement, après un petit instant de réflexion, elle préféra aller voir Darl, et qui sait, s'il accepte aller voir Maitre Elanor par la suite.

Arera s'avancea vers Darl mais resta hors de portée, ne sachant pas comment il réagirait à sa venue, elle s'inclina, afficha un large sourire, quoi que génée et pris la parole.

-Euh...Je suis désolé pour se qui vient d'arriver, je n'aurais pas du la bosculer, et encore moins la provoquer de la sorte, enfin je ne sais pas i cela vous intéresse mais vu que vous semblez être amis...

Elle respira un bon coup. C'était plus dur qu'elle ne l'imaginer, après tout peut-être le méritait-elle? Non, elle ne le méritait pas, pas une peine aussi dur, reconstruire est un dur labeur, quel que soit le sens, certe quand on fait une bétisse, on doit recevoir une punition, encore faut-il que la punition soit adapté à la bétisse.

-Alors, je me suis dit que vous vous voudriez peut-être faire quelque chose pour elle, pour l'aider. Et si vous acceptez, on pourrait aller voir Maitre Elanor, je suis assez forte quand il sagit de parler, mais je n'oserait pas aller la voir seule...

Elle s'avancea d'un pas, son conportement était tout ce qu'il y avait de plus étrange, elle était, certe, imprévisible, mais elle-même ne s'attendait pas à réagir de la sorte, défendre, vouloir aider, quelqu'un qui l'avait frappée,humilier, insulter, ça ne lui ressemblait pas mais étrangement, cette elfe l'intéressait ou était-ce autre chose.....

*Tu n'es pas normal, toi, même dans ta folie, tu es étrange, tu devrais te reprendre. Qu'est-ce qui te fait tournée la tête ainsi et te désoriante ?*

Elle ne trouvait pas de réponse à cette question et se plongea dans une profonde réflexion sur sa façon d'agir, oubliant complétement où elle était, ce qu'elle faisait là, à qui elle avait parlé. Elle finit par en avoir mal à la tête.

-Je vous remercie énormément pour votre aide, et je saurais un jour vous la rendre.

Atÿla était mal à l'aise devant cette déclaration solennelle d'Arera. Elle n'avait pas l'habitude qu'on lui doive quelque chose. La jeune fille ailée partit, laissant Atÿla réfléchir à la sanction de Nyviel. Peut-être un peu exagéré : cinq jours, tout de même!

Retournant sur terre, elle entendit son voisin demander à la cantonnade:

"Bon, je ne sais pas ce que vous faites, mais pour moi, on m'attend maintenant dans... une heure et demi à la salle de doléance. Si vous souhaitez y assister, je connais le chemin pour le public et je peux vous montrer. De toute façon nous avons encore une heure et demi devant nous et pouvons faire autre chose avant d'y aller..."

Réflechissant un moment, elle finit par répondre :

"Euh... Moi je n'ai rien de bien interessant à faire... Alors je pense que je peux attendre avec vous! Est-ce que je vous ai déja demandé ce que vous vouliez demander? si tel est le cas, veuillez m'excusez, je suis un peu... distraite.

La semi-elfe regarda tour à tour le nain, puis Sarius, et enfin Arera et Darl. Elle ne s'était pas encore remise de cette confrotnation avec la milice, c'était à vrai dire la première fois qu'elle en voyait une si bien formé et qui agissait avec tant d'efficacité. Elle se promis d'y réfléchir et d'étudier cela, qui sait, peut-être pourrait-elle essayer de dresser ses fauves ainsi?

Atÿla s'assit dans un des fauteils qui attendait sagement derrière elle, attendant la réponse du nain.

Bayziels hésitait. Il ne voulait pas vraiment parler à une semi-elfe de ces idées mais, se disant qu'il allait les breveter dans moins de deux heures, il pouvait se l'autoriser.

"Et bien, je voudrais parler au conseil de quelques unes de mes idées afin qu'ils acceptent que je puisse les vendre dans mon magasin. Il y a plusieurs choses dont je voudrais leur parler. Tout d'abord, je voudrais pouvoir vendre des parchemins magiques qui reproduiraient en moins puissant les sorts qu'on peut apprendre chez les maîtres mages. Ensuite, je voudrais commercialiser une série d'amulettes, bagues et bijoux magiques. Et puis, peut-être aurais-je d'autres requêtes sur le moment comme, j'ai pensé il y a peu, vendre de la dynamite pour les faire exploser dans la masse de démon au cas où il réattaquerait."

Darl hésitait... Il se disait qu'il ne devait pas aller voir la maître clerc, mais que en même temps la jeune elfe était dans cet position à cause de lui , il aurait du les arrêter au début.

Darl fixa dans les yeux l'ange....Un visage impassible ne laissant pas traduire la moindre hésitation:
"Allons-y , mais vite...."
Sa décision était prise, il irait voir la maître clerc, il réussit peut être à faire baisser la peine de la jeune elfe aux cheveux bleu. En espérant que celle ci n'ai pas de problème supplémentaire...

P.S: excusez le petit poste...j'ai été forcé/poussé à écrire et je suis crever -_-"

Darl fixait Arera droit dans les yeux, mais elle soutenait son regard tout en lisant à travers eux, il semblait plein d'hésitation, et aussi un sentiment de culpabilité, enfin tout devint clair et il prit la parole.

-Allons-y , mais vite....

Arera afficha un large, ses yeux briallait de joie, il avait accepté. Est-ce qu'elle n'y serait pas allée si elle était seule ? personne le sait, mais cela ne servait à rien d'y pensait, vu que cela ne se produirait pas.

Elle regarda autour d'elle et commenca à marcher dans la direction, par laqu'elle était partie Maitre Elanor, suivit par Darl.A plusieurs reprises, elle arrêta des clers, reconnaisables par leurs uniformes, et leur demande le bureau de leur Maitre.

Arera se concentrer, réunissait ses arguments, chercher ses mots, son coeur battait à toute allure, sa gorge se nouait, Maitre Elanor était très puissante, autoritaire, mais gentille, elle dominait avec sa grande aura, Arere savait que se n'était pas en la regardant droit dans yeux avec son don de persuation et de lui dire de lever la punition qu'elle le ferait, elle posédait une grande force mentale. Elle ne resentait pas de la peur, plutôt de l'angoisse, un peu de stress, aller parler à un Maitre pour plaider une caussen'est pas chose facile.

Ils arrivèrent enfin devant la porte du bureau de Maitre Elanor, Arere jetta un coup d'oeil à Darl, puis frappa à la porte, trois coups, sec et délica, pas trop fort pour déranger, mais suffisament pour être entendus.

Elle retourna de nouveau la tête vers le forgeron, avec un sourire qui se voulait rassurant, elle ammena sa main droite à côté de sa tête où elle avait croisé les deux premiers doigts et refermer les autres, puis respira un bon et serra le pong gauche en repliant le bras, c'était le moment, plus moyen de reculer, de toute façon elle ne l'aurait pas fait, le calme était revenu en elle, son angoisse avait disparue.

Et qu'avez-vous fait de cet écrit ?

Classé en zone D, Dame.

Bien, et celui sur l'Astronomie d'Amir ?

Déclasser en zone protégée, mesure de sécurité envers son âge et son état, l'équipe de relieur va devoir le réparer, nous l'avons mit sur la liste d'attente.

Elanor, penchée sur son bureau écrivait avec une longue plume blanche, l'encre crissait avec un petit bruit sec sur le parchemin. Ses cheveux couleur blé glissaient en cascade sur ses épaules, elle les remettait en place périodiquement d'un mouvement récurant. Elle ne levait pas le nez du parchemin et écrivait en parlant. Le clerc à côté d'elle se tenait droit et attentif.

Notre bon ancien Maître a été épauler Sir Eldar. Il m'a demandé de vous en avertir, il a décidé de s'atteler à cette longue tâche.

Oui. Il a toujours aimé par dessus tout les livres, il sera heureux là-bas.

Elle trempa la plume dans l'encrier et la tint en suspend pendant quelques secondes, le crissement reprit. Elle arrivait à la fin quant un petit frappement discret se fit entendre à la très lourde porte. Le clerc resta immobile, attendant que la Maître Clerc prenne une décision. Celle-ci. Elle leva finalement la tête, rangea la plume et ferma l'encrier. Elle souffla sur le parchemin afin de sécher les dernières lignes. Elle le tendit au clerc qui le saisit avec soin.

Voilà Roïdic, merci et faites les donc entrer.

Elanor sourit et le clerc se dirigea vers la porte. Elanor savait déjà qui était ses visiteurs. Les clercs ont une très grande sensibilité qui leurs permettent de sentir avec précision les Aura. Ils n'ont pas une magie certes efficace au combat mais de par la précision de leurs soin, ils leur est vital de développer leurs sens et excelle dans cette discipline. Elle appuya son menton sur ses deux mains et attendit assise derrière son grand bureau. Le clerc alla ouvrir et les fit entrer. Il semblait plutôt presser et leur indiqua rapidement que Maître Anàrion les attendait. Il passa en coup de vent et disparu dans les couloirs. Ils avaient de la chance, Elanor avait justement un petit creux dans son programme à cet instant. Elle avait donc décidé de les accueillir tout de suite et de régler cela au plus vite.

Asseyez-vous je vous prie et confessez donc ce qui vous tracasse.

Elle fit un geste ample et indiqua les sièges qui se trouvaient devant le bureau de bois d'acajou. Elle eut un léger sourire, Elanor était un personnage très ambigu et surtout très éloquente. Et surtout elle avait une force mentale et une Aura qui était supérieur à ses deux interlocuteurs. De plus elle était dans son territoire, le plaidoyer s'annonçait sportif pour les deux demandeurs. Mais Elanor avait avant tout une morale et une humanité qui l'obligeait à les accueillir avec soin et d'écouter leurs doléances, car elle se doutait bien évidement du but de leurs visites. La Déesse lui enseignait la bonté et l’écoute. Tant qu’ils se montraient corrects elle ferait tout pour les aider. Sans perdre trop de temps ni d’énergie non plus. Depuis quelque temps, elle n’arrêtait pas et elle espérait secrètement que ce soit Sarius qui ait toqué à la porte. Pas eux, lui. Jiji, resta dans son petit nid sans ouvrir l'œil. Le petit être faisait la sieste tranquillement à l’abri dans un coin du bureau. Elle fixa ses deux interlocuteurs, le regard gris droit et serein. Elle s'appuya contre son dossier et attendit sérieuse qu’ils introduisent la discussion.

Atÿla écouta la réponse du nain avec attention. Il y avait là de bonnes idées! Cela pourrait lui être utile, mais malheureusement, elle ne pourrait l'aider dans cette requête. Ce qu'elle lui dit d'ailleurs:

"ça m'a l'air très intéressant! Mais malheureusement, je ne vous serais d'aucune aide pour convaincre le conseil... J'ai toujours été très maladroite en public, et de plus, je ne connaît pas bien votre magasin et les services qu'il propose... J'en suis navrée. Mais que diriez-vous d'aller, un de ces jours, faire un tour à la taverne pour faire mieux connaissance? Cela pourrait être sympathique, qu'en dites-vous? Et puis, ne pas connaître ses voisins, c'est un peu génant, non? Enfin bref, je vous laisse le temps de réfléchir, bien sûr! Passez me voir dans mon échoppe pour me faire connaître votre réponse! J'en serais enchantée, je n'ai pas souvent de visite... A bientôt, j'espère! Et encore désolée de vous abandonner ainsi, maître nain!"

La semi-elfe commença à s'éloigner en faisant un dernier signe de la main à Bayziels. Puis elle se dirigea vers la porte de l'Académie. Elle n'avait jamais été très à l'aise dans cette grande bâtisse emplie d'érudits. Elle l'associait, sans savoir pourquoi, à un silence imposé.

La dresseuse sortit à l'air frais et respira à plein poumons l'atmosphère de la ville.

Bayziels était maintenant seul. Tous étaient parti vaquer à leurs occupations et il se retrouvait ainsi. Devant encore patienter pour un bon moment, il se coucha sur un bas et s'endormit. Un nain avait un sommeil bien précis et pouvait s'endormir en étant sûr de se réveiller en cas de danger ou de besoin. Il ne s'inquiétait donc pas en s'endormant ainsi sur un banc.

Environ une heure et demi plus tard il s'éveilla. Sans trainer, il se dirigea vers la salle d'attente des doléances. La salle était pleine et il dut rester debout à attendre. Peu à peu, un assistant venait les cherchait un par un. On pouvait ensuite assister à ce qui était dit, via une fenêtre dans le mur du fond qui laissait passer les sons.

Peu à peu, les personnes partaient et libérer de la place. Les heures succédaient aux heures, les minutes aux minutes et les secondes aux secondes. Le temps paraissait s'allonger et Bayziels s'impatientait. Il ne resta bientôt plus que Bayziels. La personne qui était en train de passer expliquait un problème au sujet d'un mariage non-négocié. Cela n'intéressait pas Bayziels qui n'écouta même pas la suite de la doléance. Il prit un magazine sur une table et commença à lire.

Une assistante plutôt jolie (décidemment, elles étaient nombreuses dans ce bâtiment...) vint le chercher. Le conduisant à travers un labyrinthe de couloirs, Bayziels monta, descendit, tourna à gauche, à droite, passa à travers des portes, des arcades, etc. Finalement, il se trouva devant une porte à double battants. L'assistante lui dit d'attendre et de reculer. Bientôt, la personne précédente sortit, elle paraissait en pleurs comme si la séance c'était mal passée. Visiblement, le conseil en avait conclu qu'il n'avait pas raison... Cela angoissa Bayziels mais se dit qu'il avait tort de s'inquiéter. Il n'y avait aucun impact sur sa vie, seulement sur son magasin et puis, pourquoi le conseil refuserait-il une amélioration dans la magie de cette ville?

L'assistante indiqua à Bayziels la porte et il entra. Il gravit quelques marches et arriva au centre d'un plateau. La salle était immense, un énorme auditoire ou un brouhaha continuel s'entendait. Face à lui, à une dizaine de mètres au-dessus du plateau, une petite quinzaine de maitres était près à l'écouter, à discuter avec lui, à critiquer et à comprendre son avis. La tâche de les convaincre s'annonçait difficile car leur journée avait été longue et ils paraissaient fatigués. La place dont il disposait équivalait à environ un sixième de toute la circonférence de la salle. Le reste était occupé par un public qui se triait en fonction des diverses catégories de la population. Plus la personne se trouvait près de l'endroit dédié aux maîtres, plus il avait une fonction importante. A l'inverse, les personnes se trouvant dans le dos de Bayziels n'était que des gens de passage qui regardaient simplement la scène sans aucune attention pour celle-ci. C'est de cet endroit que provenait principalement le bruit de fond de la salle. Tout ce public était installé sur des gradins avec environ une dizaine de rangées qui pouvaient contenir chacune facilement trentes personnes. Séparant chaque gradin, un escalier conduisant à une salle inférieur amené les curieux. Sur la gauche et la droite de cet escalier, deux autres montaient dans les gradins. La pièce était habillé de rouge sombre pour revêtir une ambiance chaleureuse et chaude mais qui n'était cependant pas dénué de sévérité. Cette sévérité, on pouvait la retrouver par le nombre impressionnant de gardes qui surveillaient aussi bien la personne au centre du plateau que le public.

Bayziels déglutit et le bruit qu'il produisit sembla être énorme. Il se devait d'agir avant tout en diplomate et de ne pas brusquer les choses. Il laissa donc parler les maîtres en premier...

[hrp : peut-être un 'tit Mj ou une animatrice pour faire les maitres? Juste un truc auquel j'ai pensé : il pourrait y avoir un ou deux maîtres de chaque classe pour que tous les avis soient représentés. Je pense que les maîtres doivent déjà être au courant de ce qui m'amène au moins grossièrement. Pour ma réponse, je ne suis pas sûr de répondre tout de suite car j'ai beaucoup de boulot en ce moment ]

Arera se tenait devant la porte, à ses côtés le forgeron, Darl, elle regarda une dernière fois son aspect, il ne fallait pas s'emblait débraillé devant un Maitre Mage, heureusement tout était parfait, de toute façon cela importait peu.

Un jeune homme vint les ouvrir, il les laissa entrer puis partit refermant la porte sur eux, le bureau était bien rangé, trop à son goût, elle aperçut la petite nymphe dormir, au fond Maitre Elanor assise derrière son bureau, la tête sur ses mains leur souriait. Elle leur fit mine de s'assoir.

Asseyez-vous je vous prie et confessez donc ce qui vous tracasse.

Arerea s'avançat jusqu'au bureau, s'inclina respectueusement, puis après une petite hésitation s'assit sur un des sièges désignait, le forgeron fit de même, elle fixa un instant Maitre Elanor qui s'était redréssée, elle souriait mais il y avait quelque chose de sérieux dans son regard qui l'angoissa quelque peu.

Elle respira profondément, peut-être sa force mentale pourait rivalisé avec celle de Maitre Elanor, en se concentra bien, après tout la seule fois où elle avait échoué c'était...non il fallait mieux pas y pensé maintenant.
Maitre Elanor faisait si imposante que déjà toutes ses pensées s'embroullaient, tout le "discour" qu'elle avait à peu près mit debout s'écroula, le trou noir, ce n'était pas le bon moment, cela ne lui était jamais arrivé avant, alors pourquoi maintenant ? Il était clair que quelque chose n'allait pas aujourd'hui.

-Je...Nous...Dé...

Elle mit sa tête dans ses mains, elle avait fait se qu'elle redoutait: baffouiller, elle releva la tête et aperçut dérrire le siège de maitre Elanor, Arera adulte qui lui souriait gentiment se voulant rassurante.

-Calme toi, respire profondément, et parle, tout va bien se passait, ne t'inquiète pas, tu va y arrivait. Nous sommes avec toi.

Arera aquieçat de la tête, et obéit à son double, ce qui était très rare venant d'elle, respiration, remémoration, et prise de la parole.

-Désolé de venir vous déranger dans votre travail Maitre Elanor, mais Darl et moi-même avont une requête à vous formulez:...

Elle lanca un regard à son double qui lui fit mine de continuer, c'est ce qu'elle comptait faire, garder la parole le plus longtemps possible pour exposer les faits.

- C'est à propos de ce qui c'est passé dans le hall il y a quelques instants, et de la punition infligée à Nyviel.D'abord, l'acte de me ligoter qu'à fait cette personne n'était pas de la violence gratuite vu que, d'après ce qu'elle m'a dit, elle faisait ça pour mon bien, donc cela partait d'un bon sentiment même si pour m'aider elle n'a pas agit comme il aurait fallu ce qui peut s'expliquer au fait qu'elle soit nouvelle ici, peut-être les lois chez elle n'était pas les même. Ensuite, si il fallait punir toutes les personnes donnant des coup de genouxou de poings, les prisons et les chantiers de construction serait remplit, surtout que là elle avait une "bonne raison " de la faire, vu que, énervée, je l'ai traité de lâche et provoquer en combat loyal donc j'ai une grande part de responsabilité et devrait moi-même être puni. Pour finir, chaques actes néfaste doit recevoir une punition adaptée lui expliquant qu'il ne faut pas le refaire et pourquoi, par exemple si un enfant tape un autre enfant, il ne faut pas le punir en lui donnat une gifle vut que c'est exactement ce qu'il a put faire, des travaux forcés sur une période aussi longue de cinq jour est peut-être pas la meilleur des solutions. Notre requête est donc, pourriez-vous, s'il vous plait, maitre Elanor, allégé sa punition voir même la supprimer.

Pendant tout ce discour, elle n'avait céssé de lancait de coup d'oeil à son double qui la rassurer en souriant et en lui faisant signe de continuer, mais elle ne lui dit rien car elle suele pouvait la voir.Arere expiraavec soulagement, elle avait réussit à parler.

Elle se tourna alors vers darl pour voit si il voulait rajouter quelque chose, puis plongeat ses grands yeux azurs dans ceux gris de maitre Elanor, pas pour tenter de la persuader, chose inutile,ou être irrespectueuse, plus pour voir ce qu'elle pouvait pensée de son discours et les sentiments qu'elle en éprouvait, elle la fixait dans les yeux avec son regards habituel,innocent, maladroit, un peu naïf quoi que intelligent, où brillait une éternelle lueur, le regard de la gamine de 16 ans qu'elle était.

Elanor écouta attentivement la jeune fille intervenir. Elle apprécia son attitude respectueuse. Elle la regarda s'embrouiller et l'encouragea à parler en lui offrant une attitude amicale et calme. A la fin de son récit, elle laissa l'enfant la dévisager sans ciller. Placide et inexpressive, rien ne transparaissait de ses sentiments. Elle laissa planer un silence pendant le quel elle réfléchit à sa réponse. Il y avait quelque chose d'étrange dans la manière d'être de cette fille. Elle aurait pu avoir les yeux les plus expressifs, quémandeur, mignon, transperçant, Elanor n'était pas déstabilisée par les personnes qui avaient moins de prestance qu'elle.

J'ai bien entendu votre requête mademoiselle.

Voix calme, posée, neutre de tout sentiment.

Si Nyviel avait eu tous les tords elle se serait retrouvée avec une punition plus lourde. Ne me prenez pas pour une idiote.

Regard franc, regard transperçant.

Je l'ai dit tout à l'heure : Nul n'est sensé ignorer la Loi. Cela me paraît simple à comprendre. Ne vous inquiétez pas pour cela, j'ai envoyé un de mes clercs sur place, il lui dispensera une information relative à la bienséance et à la Loi de Girk'An. Afin qu'elle puisse se comporter comme une personne de bon sens.

rire, léger, un rire un peu cristallin à demi étouffé, regard amusé un instant.

Mademoiselle, nous manquons de main-d’œuvre mais aussi de moyen. Si vous souhaiter intégrer les forces de l'ordre.. Notre institution fait au mieux, mais convenez qu'un conflit n'aide pas à avoir la main-d’œuvre suffisante, au maintient d'une milice efficace. Nous avons bien conscience que du climat d'insécurité qui règne principalement dans las bas quartier, mais aussi partout ailleurs. Comprenez que nous faisons de notre mieux pour le bien du peuple de Girk'An mais qu'en temps de guerre les choses sont complexes.

regard appuyé et ferme, ne tolérant aucune réplique.

Quand à la punition, elle ne sera pas si éprouvante je vous rassure, Mademoiselle Nyviel y survivra. Elle n'est pas affectée à une tâche physique et très contraignante pour son état physique. La principale chose est qu'elle sera confrontée à la participation citoyenne et de collectivité, cela ne pourra pas lui faire de mal.

Mais si vous justifier que cela est injuste.. Je peux vous assigner une tâche à vous deux. De la même qualité, quantité et durée que celle de Nyviel. Si cela est votre désir..

haussement d'épaule. Elle saisit un carnet qui traînait sur le bureau et le feuilleta.

Puisque c'est le sentiment d'injustice qui vous pousse jusqu'à mon bureau tous les deux...

Chantier de la muraille Est, rue de la Chaube, durée de 5 jours. Cela vous convient-il où souhaitez vous laisser les choses comme elles sont ? car, la punition de Nyviel n'est pas injustifiée et de ce que vous me dite, je vois que l'erreur aura été de ne pas faire de même avec vous.

Vos horaires seront exactement les même que les siens.

Ainsi, tout sera égal et il n'y aura pas d'injustice, je trouve cela très noble de votre part.

sourire poli.

Petite précision demoiselle : Il n'y a jamais de meilleurs solutions, à nous de faire au mieux.

Elle reprit son air placide et attendit les réactions. Cela l'étonnait quand même une telle confession, enfin.. c'est toujours agréable les personnes qui veulent être punies pour une faute commises et qui viennent le dire. "[...] surtout que là elle avait une "bonne raison " de la faire, vu que, énervée, je l'ai traité de lâche et provoquer en combat loyal donc j'ai une grande part de responsabilité et devrait moi-même être puni. " Était-ce cela l'innocence ou une argumentation bancale ? Elle regarda un instant Jiji, le regard tendre, puis revint à ses deux interlocuteurs.

Arera regardait Maitre Elanor, celle-ci était aussi neutre et dénué de sentiment qu'un vulgaire caillou ce qui l'étonna un peu, elle semblait cherchait ses mots, deuxième surprise pour la jeune fille, Maitre Elanor pris enfin la parole.


Ne me prenez pas pour une idiote.

Comment pouvait-elle dire ça ? On aurait dit qu'elle la prenait de haut, alors qu'Arera la respecter comme tout le monde.

Cela me paraît simple à comprendre.

Arera pris assez mal cette phrase, elle eu la sensation que c'était elle, et bien elle; qui la prennait pour une idiote. Elle analisa la fin de ce discour qui lui fit retourné l'estomac et serré le coeur, elle fut outré par le petit rire moqueur et amusé qu'eu la femme.

Elle baissat la tête choqué par ce qu'elle venait d'entre et attristé, elle n'en croyait pas ses oreilles. Comment était-ce possible ? Aucun sentiment, rien. Elle n'en revenait pas, elle avait du se tromper, ou être en train de rêver. Elle pris la parole, sa voix était tremblante et hésitante.

-Qui êtes vous ? Êtes-vous vraiment ce que vous voulez-nous faire croire J'ai du mal à y croire, c'est comme si, comme si le pouvoir vous était monté à la tête. Est-ce ça ? De ce qu'on m'a dit, les clers sont de bonnes personnes qui éprouvent énormément de sentiments, leur déesse leur apprend à être bon et miséricordieux, ils ont une sagesse et une force mentale étonnante.

J'ai du mal à y croire en cet instant, les clers ne peuvent se laisser corompre, il ne peuvent se sentir supérieur, pourtant vous, vous, dans ce que vous venez de dire on se sent ramener au cran inférieur, on sent que le pouvoir vous est monté à la tête. Cela voudrait dire que votre sagesse, votre force mentale et votre aura ne serait pas aussi grande et imposante que je pouvait le pensait ? Qui êtes-vous ? Moi qui ressentait presque de l'admiration pour vous, vous venez de baisser dans mon estime, jamais jene veux devenir comme vous, dénuée de sentiment et corrompu par le pouvoir d'être Maitre Mage.

Arere releva la tête à ces derniers mots

-N'était-ce pas pourtant vous qui aviez dit de venir vous voir dans votre bureau si on avait une réclamation, et maintenant vous voulez nous punir alors que nous somme dans notre droit, vous venez de dire que vous manquiez de main d'oeuvre, vous auriez donc manigancer tout cela, en vous disant qu'il y aurait bien deux naïfs pour tomber dans le piège, pour pouvors ainsi renforcer cette main d'oeuvre. Mais toutes ces petites choses, ne s'appellent-elles pas sournoiseries ?

Qui êtes vous ? le pouvoir vous serait-il monté à la tête ? Vous croiez vous supérieur ?

Comment pouvez vous dire que c'est un sentiment d'injustice qui nous a pousser jusque ici? Il y a certe un peu d'injustice dans mon coeur mais ne venant pas de là et ne m'ayant pas poussé à faire ça. Il existe plein d'autre sentiment que cela. Pourquoi vouloir nous punir ? D'être venue ? De s'être dit contre une de vos décisions ? D'avoir était honnête ? Pourtant on m'a toujours dit que l'honnête était une grande qualité.

Qui êtes vous ? le pouvoir vous seait-il monté à la tête ?

Arera posa brutalment ses poings sur la table.

-Puisque cela vous amuse de nous punir, puisque si l'on cionteste encore vous voudriez allourdir la peine, puisque j'ai du mal à croire que vous êtes réélement ce que vous laissez paraitre, puisquele pouvoir vous est monté à la tête, punissez-nous si vous le désirez, enfin moi, je ne voudrait pas que darl soit puni par mes propos, c'est à lui de décider s'il veut être puni ou pas. Alors faite selon votre désir, puisqye vous vous sentez invincible Maitre Elanor.

Le "maitre" avait une consonnance irronique, elle ne se voulait pourtant pas moqueuse plutôt inerrogative, comme pour essaier de comprendre. La réaction de Maitre Elanor ne lui serait jamais venue à l'esprit, elle ne la pensait pas comme ça, elle se sentait déçut. Elle pointa son doigt vers Elanor et finit de parler.

-Mais pour vous, qui ne parlez qu'avec les mots "justice", "injustice", "lois", ce sera là les plus grandes injustices que vous feriez, les lois sont certe importantes, mais il n'y a pas que ça dans la vie.

Qui êtes-vous ? le pouvoir vous serait-il monté à la tête?

A ce moment, Maitre Elanoe dispaur à sa place était apparut l'un des juges, l'un de ces fameux juges...Les yeux de Arera s'ouvrièrent en grand, elle se cripsa de tout son corp et se leva d'un bond de sa chaise en la renversant, elle avait le souffle coupé, son coeur battait à une vitesse impressionante.

-Non...Pas vous..Vous...

Le juge redevint Maitre Elanor le temps d'une seconde, avant de redevenir définitivement le juge. Arera était paniqué, elle ne savait plus quoi faire, c'était un de ses fameux juges, non, c'était le principale.

-De l'air!..

Arera regarda autour d'elle, mais n'aperçut aucune fenêtre, elle se retourna et se dirigat en courant vers la porte qu'elle ouvrit en grand, la faisant claqué contre le mur, elle ne prit pas le temps de la refermer et se alla vers la fenêtre qui se trouvait juste en face du bureau. Elle pouvrit la fenêtre en grand, posa ses mains sur le rebords, se pencha en avant et essaier de reprendre son calme, sa respiration était haletante.

-Je n'y croit pas, ce n'est pas possible, est-ce ça la réalité ? Etait-ce vraiment lui ?

Dans un geste inconsient, sans s'en rendre compte, elle se mit debout sur le rebord de la fenêtre laissant le vent caresser ses cheveux, elle était au troisième étages si ses souvenir était bon, elle leva les bras et les yeux au ciel. Ses yeux étaient grand ouvert, on la sentait ailleurs.

- AAAAH... Maman, ma chère maman adoptif, les hommes ne sont pas ce que tu m'en as toujours dit, ce monde est corrompu. Tu me manque, je vais venir te rejoindre, oui, c'est ça! j'aurais vite fait d'aller jusqu'à toi, un ou deux battements d'ailles. J'arrive, je rentre à la maison, attend moi.

Elle se laissa tomber vers l'avant, ses pieds quittèrent le rebord, elle commencer à tomber, lorsqu'une main la rattrappa au niveau du poigner droit et réussit à poser sa main droite sur le rebord. Arera se retrouvait ainsi suspendu dans le vide. Elle leva les yeux et aperçut son double normal, elle, exactement elle, celle-ci s'était assit sur le rebord.

-IMBECILEEEE!!!! Tu me peux plus voler!!! Tes ailles sont cassés, je te rappelle!!!

-Comment tu as réussit à me rattraper?

-je l'ignore-moi même... Et, toi, tu commence vraiment à devenir un danger.

Arere regarda étonné son double, relevant la tête encore plus.

-Mais...je ne...c'est pas vrais...

-Pas pour les autres, mais pour toi je veux dire.

Arera baissa la tête, elle ne pouvait rien répondre à cela. En bas se trouvait un petit groupe de personne qui s'était rassemblées, ils l'avait vu chuté, être rattrapé par une force invisible (vu que seul Arera voit ses doubles) avec qui elle était en train de parler. Elle tourna ensuite la tête vers la gauche et aperçut ce qui devait être le chantier dont Maitre Elanor parlait.

-Ca a l'air d'être ce fameux chantier, le travail à l'air dur, les hommes semblent fatigué, je n'aperçoit pas Nyviel, enfin ça doit être normal...
Puisqu'elle veut qu'on aille sur ce chantier et bien je vais y aller, et lui montrait que le travail n'est pas aussi facile qu'elle le pense, elle n'a jamais du y aller c'est pour ça.

Elle se mit à se balançait dangeresement de droite à gauche, tout en essayant d'attrappé le rebord à côté, ses doigts qui lui faisaient déjà mal s'égratinaient sur le rebord.

-Mais ça sert à rien voyons! Tu réussira pas à attraper l'autre rebord! Arrête!!

-Qui ne tente rien à rien.

D'un coup elle s'arrêta, regarda son double eb souriant béatement, à la grande surprise de celui-ci.

-J'ai envie de dormir.

Le double releva la tête, sa surprise était à son plus haut point. Arera relaisser tomber sa tête.

-QUOI?! Mais c'est pas le moment de dormir, si tu t'endors tu va tomber! Tu m'écoute.

-Hmm... Je suis fatigué, si fatigué...

Arera commençait à somnoler, berçait par le balancement précédent de son corp. Sa main et ses doigts se relachaient, son bras lui faisait encore mal, tout doucement elle glissait et lâcher prise, mais elle ne s'en rendait pas compte, elle était à moitié endormie, somnolant les yeux à demi-clos, suspendue dans le vide.

[hrp:pas grave du tout, moi aussi je suis en retard ^^]

Le sourire béat, les yeux à demi-clo, le bras tendu et douloureux, la main glissant sur le rebord, suspendue dans le vide, Arera somnolait, elle n'était ni emdormie ni réveillée, dans sa tête passait tous ses souvenirs de l'âge de ses six ans, cette année fatale, qui lui semblait être proche d'elle, très proche de plus en plus proche.

Ses forces étaient presque à bout lorsque qu'une main l'aggrippa au poignet avec une poigne de fer.

-Qu'est-ce que....?

Arera releva la tête et remonta de la main de cette personne jusqu'à son buste dans l'encadrement de la fenêtre, ses yeux s'ouvrirent en grand, c'était le juge. Tout était clair maintenant dans sa tête, elle était revenue à l'âge de ses six ans.

Elle se mit alors à se débattre en poussant quelques cris, il fallait mieux rester sur le rebord de cette fenêtre que de tomber entre les mains de ce juge, elle se rendit vite compte que celui-ci la relevait, surement dans ses mauvaises attentions, il y réussit d'ailleur sans la moindre difficulté, Arera étant aussi légère qu'une plume, tous ses efforts furent vain.

Le juge la reposa par terre, puis ferma la fenêtre à la grande surprise de la jeune fille, avant de s'en allait. Arera se releva brusquement, elle ne pouvait le laissait partir, il allait certainement préparé le tribunal. Hélas pour elle, en se relevant trop brusquement, elle ne fit pas attention et se cogna la tête sur le rebord intérieur de la fenêtre et retomba sur le sol, sonnée.

Arriva alors une personne, Arera, à cause du coup sur la tête, voyait tout flou et ne pouvait distingué qu'une forme féminine toute blanche et des cheveux blonds. La personne se mit à genous près d'elle, lui carressa les cehveux et se mit à parler.

Elle écouta très sagement et attentivement, entouré pour une onde de bienveilance et rassurante, rêve ou réallité, elle n'en avait la moindre idée, la seule chose dont elle était sûre c'est qu'elle avait à nouveau six ans, et que cette personne était sans doute sa vrais mère.

-Maman ?

Elle passa ses bras autour de la taille de Maitre Elanor, qu'elle croyait, dans son délire (ou plutôt crise), être sa mère, et viens blotir sa tête contre son buste, sur ses cuisses, avant de recroqueviller le reste de son corps.

-Protège-moi, s'il te plait maman, protège-moi, le juge est de retour, il va encore vouloir me condamné, s'il te plait maman, empêche le de me prendre encore une fois. Je ne couperais les orteilles de plus personnes, je ne pousserais plus personne au sucide, je deviendrait ambassadrice, mais empêche de me reprendre,s'il te plait maman.

Sa voix était tremblante, elle semblait fragile, elle l'était, elle laissa coulé une larme qu'elle sécha rapidement. Elle ressera l'étreinte sans non plus faire mal et commenca à se confier, à raconter se qu'il se passait, mais non comme elle l'avait vécut vraiment mais comment, la petite fille de six ans qu'elle croiait être en cet instant l'avait vécut.

-Aujourd'hui, il y a eu une nouvelle à l'école, une fille aux cheveux bleus, elle avait l'air gentille mais elle parlait méchament à tout le monde même à moi, alors ça m'a bléssé puis après on s'est bagaré si on peut dire,parce que je lui suis rentré dedans, tu sais à quel point je suis maladroite, alors que je n'ai que six ans, je rentre déjà dans tout et n'importe quoi, elle m'a tapé, alors elle a été punie.

Mais je sais pas pourquoi, peut-être parce que je lui est trouvé un côté gentil, j'ai voulut lui enlevé sa punition alors je suis allé voir la directrice, elle est gentille normalment mais je l'ai trouvé bizarre, elle voulait pas et j'ai vu que le juge était avec elle et que ça devait être pour ça, alors j'ai voulu retrouné chez moi, car le juge est méchant et qu'il allait corrompre tout le monde, je voulait revoir ma mère adoptive aussi, elle est gentille tu sais, comme toi, elle aussi m'a donné beaucoup d'amour, dont je manque un peu.

Donc j'ai ouvert une fenêtre et j'ai sauté, le voyage aurait été plus rapide à tire d'aille, mais un de mes doubles m'a rappelé que je pouvais plus voler, à cause de ce juge d'ailleur, du coup je me suis retrouvé suspendue dans le vie et....et....

Arera ferma les yeus, dont les paupières était devenues loudes, et s'endormie, la fatigue avait eu raison d'elle comme elle avait eu raison de la petit fille de six ans qu'elle avait été, elle avait peut-être eu aussi raison de sa crise légère et passagère, son étreinte se dessera légèrment. Durant tout son discour, elle avait fait beaucoup de mine différente, mais c'était surtout une mine triste, fatigué, comme l'était sa mère vue ce qu'elle avait dit.

Ainsi endormie, un léger petit sourire appaisé au lèvre, elle semblait fragile, innocente, une gentille petite fille à protéger, on ne pouvait imaginer qu'elle était était folle ni qu'elle venait d'avoir une crise, même très légère.

-Non pas me mager, pas...pas...je...pas comestible

Arera, qui s'était relevait en étant toujours endormis, retomba sur le lit, fit quelque geste de la main avant de retourner dans un someil profond.


Quelques instant après, Arera sortit de son someil, elle ouvrit un oeil puis l'autre et regarda la pièce dans laquelle elle se trouvait. Elle ne se souvenait plus comment elle était arrivé ici, elle tenta de se remémorer et finit par se souvenir. Elle amena sa main droite sur le visage en faisant "non" de la tête avant de laisser échapper un petit rire, elle avait encore fait des "bétises" et s'était attiré des problèmes.

Elle releva la tête et aperçut uune dame d'une grande beauté assise à une table en train de travailler. Arera se leva du lit et eu un léger tourni, elle se dirigea vers la femme, s'inclina en joigant ses amisn au niveau de ses cuisses.

-Je vous remercie d'avoir veuillez sur moi durant mon someil, et je tiens à m'excuser du dérangement que j'ai pu vous causer à vous et à Maitre Elanor, je ferais en sorte que cela ne se reproduise plus.

Elle se dirigea ensuite vers la porte en bois, se retourna, et s'inclina de nouveau.

-Je vous pris de m'excuser mais je vais vous laisser à votre dur labeur, encore une fois merci et toutes mes excuses.

Elle se retourna, fit un pas et se prit la porte, qu'elle avait oublié de fermer, de plein fouet, elle tituba un êtit peu et ouvrit la porte avec un léger rire. Avant de sortir elle jetta un dernier coup d'oeil à cette femme afin de se mémorisé son visage.

Après une heure perdue dans les dédalles de l'académie, à errer dans les couloirs et les escalier à la recherche de la sortie, elle le trouva enfin et sortie heureuse, elle respira un grand coup de cet air pur, puis se mit à marcher. Qu'allait-elle faire maintenant? Retourner à la préparation de son bras de démon ou autre chose....

[hrp: fin du Rp de Arera pour ce rp (topic) là ]

[Hrp : Sans Mjtage le Rp ne sait continuer, je profite donc de cette excuse pour éclipser mon nain de ce Rp et l'envoyer dans la quête commune

Tout s'était bien passé. Bayziels avait formulé sa requête et le conseil avait décidé de réfléchir avant d'accepter ou non la vente de parchemins permettant d'utiliser les sortilèges liés à d'autres classes que la sienne ainsi que la vente d'amulettes de protection. C'est donc heureux que Bayziels sortit de là. Pensant qu'il était juste à côté du bureau d'Arganalth, il se dirigea vers celui-ci.

[hrp : Mj j'attend de vos nouvelles pour une autorisation ou non ^^]