Un retour noir (non solo, venez)

Darl était sorti de la forge en fin d'après-midi , voilà une semaines qu'il n'avait pas eu d'acheteur depuis ce nain bizarre qui avait fait de la pub la forge.Le soleil avait une teinte orangé et il commençait à descendre doucement derrière les montagnes au sommet enneigé... Darl continuait sa route sur les pavé sale de la ville, un gamin jouait avec un chat sur le perron d'une maison ou plusieurs familles vivaient en groupe , des femmes s'activaient en revenant des courses de au marché , les hommes rentrent de leur travail . Il croisât aussi plusieurs groupes de patrouille armé dans la ville, Darl lui continuait sa ballade , le calme de la ville apaisant son humour qui était plus vers la dépression que la joie , depuis cet guerre la ville et calme et rien ne vient en plus troubler cet tranquillité . Il lui fallait bouger, combattre , s'entraîner , oui c'est sa, il avait décider de s'entraîner dur dès à présent pour dépasser ses limites et combattre ses adversaires, tout aussi nombreux qu'ils étaient, il les vaincra !!!

Bien que ce moment de détermination intense plaisait à Darl , est ce que cela aller durer??A la première difficulté allait t-il fléchir?Comment procéderait-il pour s'entrainer??Massacrer des tas et des tas d'animaux , d'humains ,d'humanoïdes ne servirait à rien ,il fallait être plus discret et ne se montrer qu'une fois un réel progrès effectuer, mais tout cela était pour plus tard...

Darl continuait sa route, la tête baissait, perdu dans ses pensées , lorsqu'il releva la tête il aperçue Sarius qui tournait au coin du rue, pour être sur qu'il s'agissait bien de celui ci il accéléra le pas pour le rejoindre, il le vis de dos au loin, sa carrure était reconnaissable de loin , Darl s'approchait rapidement et silencieusement , une fois proche de Sarius, une main tendue environ , il parla:
« Il y a bien longtemps que je ne t'ai pas vu courir les rues Sarius... »

La scène qui poursuivie ma question fut breve et froide, Il avait changé lui...Plus froid , moins de sentiments en lui , ses yeux était terne , aucun moyen de voir en lui ...
*Que c'est t-il passé pour qu'il change à ce point , un événement hors de la ville surement, il a l'air épuisé d'un voyage ou quelque chose de ce genre là...*
Sa main sur l'épée longue que j'ai forgé montrait quelque chose, entre de la sécurité pour lui même ou de l'agacement par la présence de Darl:
« Un entraînement n'est-il pas un combat contre soi même pour dépasser os limites?pris dans ce sens ta phrase prend une autre tournure Sarius... »
Darl mis lui-même sa main sur la garde de l'épée longue sur son flanc droit , moyen pour reposer sa main et en même temps se mettre en garde :
« Mais veut-tu poursuivre cet entraînement? La dernière fois que l'on c'est entraîner une blessure à l'épaule m'a empecher de poursuivre notre « combat » , qu'en pense tu? Tu pourrais me dire ce que tu as fait hors de la ville durant tous ce temps? »
Il était rare que Darl soit aussi bavard, contrairement à ce moment il est renfermé et sombre, jamais il ne se met en avant pour pousser les autres à venir avec lui . Mais pour cet fois , il fallait bien un adversaire pour voir son niveau et Sarius était depuis longtemps consideré comme un rival et un parfait camarade de cmbat à la fois.

Atÿla revenait de l'Académie. Elle marchaient en silence dans les rues, essayant de se faire remarquer le moins possible. Elle secoua sa longue crinière de cheveux noirs en soupirant... Même si ce succés, dans la salle d'entraînement, l'avait emplie de joie, elle savait que pour égaler le maître nécromancien, elle devrait faire encore beaucoup d'effort... Elle n'avait qu'un niveau ridicule, encore... Ridicule... Malgré ses précautions, les passants la regardaient avec méfiance, voire peur... Peut-être était-ce du à la couleur de ses yeux, peut-être était-ce à cause de la vipère enroulée autour de son cou... A moins que ce ne soit à cause de son allure, toute vétue de noir avec un chapeau de feutre mou enfoncé sur les yeux...

Avaient-ils peur d'elle? La nécromancie, le jeune semi-elfe le savait, avait pour effet d'attirer sur celui qui la pratiquait nombres de haines et de méfiances... Un nécromancien était comdamné a rester seul toute sa vie. Malgré tout, Atÿla ne croyait pas en ces préjugés. Elle estimait qu'un homme, tout nécromancien qu'il fut, n'avait pas à être isolé d'une société.
Mais les gens étaient stupides, et avaient peur.

Perdue dans ses réflexions, la demi-elfe faillit percuter deux hommes qui discutaient. Se reculant, elle s'aperçut qu'il s'agissait du magelame de la bataille, et du forgeron. Elle ne connaissait toujours pas leur noms, mais au fond, qu'importait? S'ils étaient polis maintenant, il finiraient par s'éloigner, un jour ou l'autre...
Tel était le destin des nécromanciens... Atÿla inclina la tête et les salua poliment.

"Bonjour, maitre forgeron et noble magelame... veuillez pardonnez ma maladresse, mais je réflechissais et ne faisait pas attention au monde qui m'entourait..."

Sarius savait très bien se qu'était un entrainement, mais ce n’était pas le sens de sa question. Darl lui proposa un nouvel entrainement.

"Pourquoi pas, mais pas ici..."

Sarius était un peu agacé par Darl Valar mais il n'était cas même pas contre un entrainement.

Mais quand Darl lui demanda d'une voix qui trahissait son grand intérêt aux agissements de Sarius, c'est la goute qui fit déborder le vase.
Sarius dégaina son épée en direction de Darl, ce dernier avait put parer car il y était préparé.
Sarius dit entre ses dents:

"Cela ne te regarde pas."

Peut être qu'il ne voulait pas se rappeler cet événement qui l'avait complètement transformé.
Maintenant le regard de Sarius exprimait la colère et la haine et non plus la froideur. Sa colère avait éclaté non pas à cause des événements qui s'était passé auparavant mais car il avait maintenant la certitude que Darl Valar était au courant de son secret.

Les deux adversaires restèrent un moment dans cette position à se regarder en attendant que l'autre dise quelque chose pour amorcer le combat ou pour l'arrêter.

Sarius avait vraiment l’envi de se battre. Après avoir abattu quatre guerriers de l'ombre, comment un simple forgeron pourrait lui résister. Cependant une autre partie de lui, lui disait d'arrêter là et de retrouver Elanor.

La main libre de Sarius le picotait. Sous la colère des flammes commencèrent à apparaitre dans sa main. Il savait que cette colère pouvait provoquer sa magie mais il ne s'était pas aperçut que les flammes lui brulaient la main.

En plongeant dans son regard, on pouvait voir la puissance du feu qui émergeait de sa main. Le feu était alimenté par sa colère. Plus sa colère augmentait, plus la flamme grandissait. La main tenant l'épée commença à trembler. Sous la colère les muscles du bras se contractèrent et les phalanges de la main devinrent blanches sous la pression.

Il vit arriver Alÿla vers eux.
Sarius ravala sa colère et les flammes s'estompèrent. Mais il resta quand même en position de combat.

hrp: esque se post pourait être prit compte avant celui d'Atÿla, car j'était entrain d'écrire quand tu as posté. Mais ça ne change rien au contexte.


Atÿla : [hrp: pas de problème (même si ton hrp se dirigeait plus vers les mj que vers moi^^) mais bon, il faudra attendre un post de Darl valar pour continuer, parce que là, j'ai pas de matière pour poster^^]

Mais qu'elle était cette aura de colère qu'Atyla pressentait entre les deux hommes? Que s'était-il passé? La jeune demi-elfe remarqua seulement combien le visage du magelame avait changé. Ses yeux jetaient un éclat d'acier, et ses traits étaient... peut-être plus émaciés... Mais que se passait-il?
Atÿla détestait ne pas comprendre. C'est pourquoi elle posait sans cesse des questions, au point d'ennuyer les autres.

Après son arrivée, les deux hommes avaient baissé leurs armes, mais restaient en position de combat. Leurs yeux etincelaient, et des ondes empoisonnées semblaient parcourir l'atmosphère. L'apprenti nécromancienne se plaça tout naturellement entre eux deux, et interrogea poliment le magelame, puis le forgeron

"Dites-moi... Comment vous nommez-vous? Et que se passa-t-il, si cela n'est point trop indiscret?"

Une semi-elfe s'interposa entre les deux combattants , elle possédait une longue chevelure noir qui encadrait un visage des plus pâle , tel Oromis mais en moins pire.Les yeux de la jeune femme étaient différent, un de couleur ambre et l'autre d'un vert émeraude .Vétu d'une simple tunique noir et d'un chapeau de la même couleur elle restait immobile au milieu de la rue , tandis que les passants s'écartaient du centre de la rue pour raser les murs et éviter d'integrer la dispute en cour entre les deux magelame qui n'avait pas baissé leur garde avec leur épée longue toutes deux forger par le forgeron ici présent...
« Je n'en resterais pas là Sarius, sache le ,un jour je découvrirais tout et tu ne m'empechera en rien . »

Darl se retourna et épée en main repris son chemin dans les rues de la ville, laissant les deux semi-elfes ensemble au beau milieu d'une de plus en plus déserte comparé au léger attroupement de tous à l'heure ou se mélait toutes sorte de gens . Sarius saurait bien expliquer expliquer la situation à cet être lui ressemblant, cet race indigne des purs elfes...Les semi-elfe ne devrait pas être si nombreux, comparé aux elfes on dirait que ceux ci seront bientôt moins nombreux que les elfes...

Tournant au coin de la rue , Darl rengaina son épée longue dans son fourreau de fer , celui ci était entouré de haut en bas par des lanières de cuir noir souder aux extrémité pour ne pas tomber.Sa chemise en lin blanc flottait dans la légère brise de la soirée , donnant à Darl une agréable sensation de légèreté et de bien-être...
Il passa devant la salle des fête , et il se remémora la fête du nouvel an , celle qui avait valu la bataille ou An'kar apparue , celle ci ou il avait perdue son armure , celle ci ou il avait juré de battre An'Kar...Il fallait se reprendre pour pouvoir effectuer tous cela avant son retour...La battre ne serait pas une tache facile, il fallait progresser , et toujours plus pour pouvoir atteindre une puissance énorme et continuer à progresser...

L'elfe était parti, sans répondre à sa question, et avec un regard méprisant, qui avait secoué Atÿla jusqu'au plus profond de son être. Elle était une demi-elfe, et, par conséquent, était considéré par les elfes, comme par les humains comme une sous-race, ou comme une erreur de la Nature. Depuis qu'elle était revenue à la civilisation, elle avait dû essuyer les regards touours plus méprisants des hommes comme des elfes. Son propre père n'avait su prendre ses responsabilités et l'elever. il avait préférer la laisser se faire dévorer par les loups. Le semi-elfe frissona. Elle s'était méprise sur la nature des habitants des villes. Elle avait espéré qu' Girk'an, les choses auraient pu être différentes. Quel leurre!
Le visage de la demi-elfe se durcit, et ses yeux jetèrent un imperceptible éclat d'acier dans le dos du forgeron. Elle inspira et se tourna vers l'armurier, Sarius. Il était plus aimable, lui. Peut-être parce qu'il était un demi-elfe, et qu'il connaissait ou avait connu les mêmes choses qu'elle... Il devait partir. Atÿla inclina la tête et répondit en murmurant à son salut:

"Oui, peut-être que nos chemins se croiseront à nouveau... Au revoir, Sarius..."

Elle n'avait jamais prononcé que des adieux, cet au revoir lui semblait si étrange...

La semi-elfe se détourna marcha au hasard des ruelles. Elles ne savait que penser du genre humain... Il était et resterait si étrange... Une voix en elle lui disait de tous les detester, pour le mal qu'ils lui avaient fait. Mais elle ne pouvait s'y résoudre. Elle ne s'abaisserais pas au même niveau que ceux qui l'avaient tant méprisé.

Soudain, elle sentit une traction au niveau de sa taille. Un voleur, profitant de son inadvertance, lui avait volé sa bourse! Il s'était déja enfui. L'occasion pour Atyla de tester son nouveau sort. Elle ferma les yeux, ouvrit ses chakras, concentra son énergie sur son buste... et se propulsa sur ses chemins intérieurs.

( 4D6 =>6 + 1 + 6 + 5 = 18 )

Elle se retrouva collée contre le voleur, lui entourant la gorge de son bras, et lui volant par la même occasion son énergie. Tant mieux... elle avait besoin de récuperer un peu... Il trembla, et tomba a terre. Atÿla sourit tristement, et reprit sa bourse, puis traîna le corps affaibli du voleur dans un coin, pour ne pas qu'il se fasse écraser.
La semi-elfe fit volte-face, et reparti d'un pas vif au hasard des rues.

Ombrana s’étira et sortit de sous le portique. Bien, la pluie avait cessé de tomber. Tant mieux elle n’aimait pas la pluie.. Elle regarda ce qu’elle avait au fond des poches, 500 po. Elle devait aller voir le maître roublard.. Elle se mit donc en route et regarda si elle ne trouvait pas de quoi se vêtir un peu mieux. Elle ne trouva malheureusement rien à chaparder. Elle traversa rapidement les rues. En faisant attention où elle marchait. En premier lieu, trouver des chaussures de qualités. Elle regarda une échoppe éclairée. Tiens, voilà quelque chose d’intéressant, son instinct la trompait rarement. Elle regarda par la fenêtre et repéra son bonheur. Parfait. Elle se glissa derrière la bâtisse et inspecta la porte de derrière. Elle sortit un bout de ferraille tordu et le glissa dans la serrure. (jet17(1D20)) La porte céda sans trop de difficulté et elle entrebâilla prudemment la porte. Elle attendit en silence afin de s’assurer qu’il n’y avait aucune présence dans l’arrière boutique. Elle finit par se glisser à l’intérieure. Elle regarda le feuillit de caisse. Elle ne voyait pas très bien.. elle ouvrit une caisse au hasard et la referma, elle fit de même avec plusieurs caisse jusqu’à ce qu’elle trouve son bonheur. Une pair de bottine au cuire souple et de bonne qualité et surtout à la bonne taille. Elle chipa également une paire de chaussette et enfila ses nouvelles bottes. Elle se dirigea discrètement vers la sortie. Elle ferma la porte et reglissa la ferraille dans la serrure. (jet19(1D20)) Elle la referma sans difficulté aucune, il faudrait que ce pauvre marchand pense à sécuriser la porte.. OU alors c’est elle qui devenait trop douée. Elle préférait la dernière hypothèse. Elle ramassa une vielle cape mitée et trouée, mais au moins elle coupait le froid. Le tissu un peu rêche lui irritait la peau mais elle était habituée à ne pas se plaindre. Elle continua donc sa route dans les rues.



Alors que la nécromancienne eut tourné les talons, une ombre se détacha du mur et vint souplement près du jeune voleur inconscient. A ses os saillant on pouvait voir qu'il n'avait rien mangé depuis des jours, pas étonnant qu'il ait été si maladroit. Elle l'examina rapidement et par réflexe professionnel fouilla ses poches. Elle regarda la semi-elfe avec dédain et se redressa de toute sa hauteur. La vieillie cape sombre ondula et ses cheveux furent porter par une bourrasque. Ses yeux brillaient d’une lueur dure et froide en regardant la silhouette de la jeune femme. Elle n'aimait pas cette magie, elle en avait peur plutôt. Il lui avait suffit d'incanter pour le clouer au sol en quelques secondes.. Il était temps qu'elle en apprenne aussi, si elle avait vraiment des dons. Elle regarda ses mains et serra les poings, elle fixa la silhouette un sourire mauvais aux lèvres.

Je me souviendrais de toi, ma belle, je me souviendrais de toi...

Elle n'aimait pas les autres voleurs et préférait faire cavalier seul en ce moment, ses mésaventure la retiendrait de se lancer dans une organisation pendant un petit moment, mais il y avait dans le malheur commun des voleurs une sympathie étrange. Ils étaient la racaille que ces riches et hautains mages méprisaient, détestaient. Oui ils volaient, mais ils étaient humains et faisait partie de cette société délabrée menée par des mages allumés. Oui, finalement dans cette ville délabrée, mieux valait s’occuper de soi, si on commençait à le faire pour les autres, on en avait pour plus qu’une vie humaine. Elle jeta encore un regard à la silhouette.

Je me souviendrais de toi, ma belle, je me souviendrais de toi...

Une douleur, un instant. C'était comme si un dard empoisonné lui transperçait le dos, répandant les sept aiguillons du mal dans le sang de la semi-elfe. Atÿla retint sa respiration et se raidit. Puis elle tourna la tête avec rapidité, tentant de voir la personne qui avait dirigé ses ondes vers elle. Se pourrait-il que se soit... lui? Non, elle ne l'apercevait pas dans la foule. Alors qui était-ce? Qui avait des raisons de lui en vouloir, ici? Son sixième sens l'avait avertie : une personne dans les parages avait à son égard des sentiments mauvais.
La nécromancienne rabaissa son chapeau sur ses yeux, et porta son petit doigt a sa bouche. Elle commença à le mordiller nerveusement... Pourquoi était-elle donc revenue parmi les humains? Mais quelle bétise n'avait-elle pas faite! Sa vipère siffla près de son oreille. Elle était agitée. Les serpents ont un sens extrasensoriel qui leur permettait de pressentir les évenements... Il ne fallait pas qu'elle reste là.

Atÿla s'éloigna. Puis soudain, une lassitude la prit. Pourquoi fuir après tout? Et fuir quoi? Elle avait vu bien des dangers, et avait survécu à l'attaque d'Ank'har, alors que son aura magique était si ridiculesement faible par rapport à celle de démon. La semi-elfe s'adossa à la muraille, et se laissa glisser contre celle ci, se recroquevillant sur elle-même. Personne ne ferait attention à elle, ici. Personne. Elle n'était qu'une gamine des rues parmi tant d'autres, malgré sa bourse plutôt remplie, et ses vêtements propres. une gamine des rues. Ce qu'elle avait toujours été.
Atÿla ne connaissait rien du monde. Elle savait juste parler avec les arbres, chanter avec le vent et pleurer avec la pluie. Elle étouffait.

Ombrana entendit les cloches sonner. Elle se stoppa. Étrange, elle savait ce qu'elle signifiait mais elle n'avait pas envie d'y aller. Elle pouvait juste, par curiosité aller jeter un coup d'œil et puis rester dans l'ombre tranquillement. Oui, elle allait faire ça. Elle marcha d'un pas vif, elle réfléchissait mais le fait d'avoir été si chanceuse et d’avoir appris aujourd'hui ses maléfices, elle se sentait très confiante en ses forces. Elle savait que cela pouvait mener à des imprudences mais elle ne pouvait s'empêcher d'être exaltée par la situation. Elle traversa un quartier, l'agitation reprenait le peuple, les souvenir de la bataille était encore vif et on se souvenait de cette attaque aux portes de la ville. Elle même avait eu peur. Elle l'enfant des villes, que ferait-elle si son univers entier était détruit ? Elle vivait comme une parasite mais pourtant elle avait besoin de cet univers. Si elle pouvait l'aider de manière certes insignifiante elle rembourserait sa dette. Elle traversa plusieurs rues, évitant les passants pressés. Elle n'avait aucun problème dans cet art qu'elle faisait depuis enfant, éviter ces corps lourd en marche et les délester. Pourtant, aujourd'hui elle n'était plus d'humeur. Elle se retrouva à un embranchement et le prit. Elle avança de son pas toujours très décidé et volontaire. Ses cheveux voletaient derrière elle avec grâce.

C'est là qu'elle la remarqua cette silhouette sombre adossée à la muraille. Elle stoppa sa marche et se campa devant elle. Vêtement de qualité, bourse remplie seule et désemparée : une proie idéale. La cloche résonna la tirant à ses calcules. Bah. Elle ne prêta aucune attention aux oreilles effilées de la semi-elfe.

Alors, ma belle ? ça va plus aussi bien que tout à l'heure ? Tu ressemble au pauvre gars qui désespérément à essayer de te dérober quelques piécettes pour nourrir sa famille et que tu as laissé là, en proie aux charognards.

Elle avança d'un pas et entra dans la lumière. Elle était simplement habillée de bottine, pantalon corset et chemisier, elle avait une dague à la ceinture et avait un air tout à fait étrange. On aurait dit qu'elle s'amusait de la scène tout en la trouvant idiote.

Tu pleure sur ta vie, ma belle ? Elle ne te plait pas ? tu n’es pourtant pas une pauvre, cesse de courir les rues, c’est dangereux ma belle.. t’es pas une enfant des rues toi, vole loin d’ici..
Elle tourna les talons de façon délicate et lui adressa un dernier regard.

T’es assez courageuse pour aller aux portes en suivant le son des cloches ma belle ? ou tu as peur ?

Mélange de provocation et de quelques choses de plus subtile qui dansait au fond de ses yeux. Il y avait quelque chose dans le regard de la nécromanne de triste qu’elle comprenait étrangement. Elle continua son chemin.

Suite ICI

Sarius:

Qualité du RP (300)/ Participation(150)/ Idées, Originalité(75)/ Orthographe et syntaxe(50)

Total: 575
Commentaire: (Attention, "Halte, arrêtez-vous, dévoilaitez votre identité.", "après avoir coupaité"... Tu met souvent des imparfaits alors qu'il ne faut pas, fait attention.)

Darl Valar:

Qualité du RP (200)/ Participation(150)/ Idées, Originalité(50)/ Orthographe et syntaxe(50)

Total: 450
Commentaire: On voit que tu utilise Word^^ Attention aux fautes de frappes... A part sa c'est bien.
exemple dans ton premier poste:

Citation :

le calme de la ville apaisant son humour qui était plus vers la dépression que la joie

J'ai mit du temps à comprendre...

Atÿla:

Qualité du RP (200)/ Participation(100)/ Idées, Originalité(50)/ Orthographe et syntaxe(75)

Total: 425
Commentaire: Bien, devellope encore et tu atteindra le niveau d'Elanor.

Ombrana:

Qualité du RP (250)/ Participation(75)/ Idées, Originalité(50)/ Orthographe et syntaxe(75)

Total: 450
Commentaire: Très bien.

[hrp: Cool!! c'est encourageant, ça!!!! Merci du compliment!]

merci pour les xp sa me permet de monté niv 5.