[quête] Un étrange phénomène [finit]

Sarius qui était assoser à un rocher commença à voir trouble. Sa vision devint noire et il vit Valken devant lui. Les autres voyaient juste Sarius adossé au rocher les yeux fermer.
Valken s'avença de Sarius et lui enfonça une épée en travers du corps.
Sarius ouvrit les yeux, il vit que les autres étaient encore occupés avec les loups. Sarius avait les yeux rouches, les autres ne s'apperçevraient de rien. Valken avait pris le contrôle.

Horreur... Eya ne put empêcher des larmes de couler le long de ses joues...



Elle examina ensuite sa morsure, vilaine plaie, le baume étalé à la va-vite avait déjà fait effet et elle avait moins mauvaise allure. Elle désinfecta avec soi la plaie. Elle appliqua successivement trois onguents. Elle pris un fils et recousu la longue effilade. Elle posa ses paumes sur la plaie, elle laissa s'écouler sa magie afin d'accéléré le processus naturel. Elle banda ensuite soigneusement son membre meurtri. Une fois fait, elle se releva en boitillant. Une bonne chose de faite, en ne forçant pas trop ça devrait aller.

Elle lança à la ronde :

Quels sont les blessés les plus critiques ? Tout le monde va bien ? Je soigne qui le veut...

Elle prépara ses onguents, il y avait sûrement plusieurs morsures à désinfecter au moins...

Mauvaise journée... elle le savait...

Valken approuva le fait qu'il fallait repartir, il devait faire attention de ne pas croiser le regarde de Arga car li seul pouvait eviner sa véritable identité.

HRP:Avis aux joeurs:
-Darl Valar
-Eya
-Arganalth le sage
il serait preferable d'aller voir un guerriseurs experimenté car les blessures peuvent avoir des suite génante

Eya> pour les remarques, tu n'est pas non plus un guérriseur par excellence, les baumes peuvent enpecher l'avancement de maladie et bacterie, mais tu a quand même du mal à marcher, car sa ne répare pas les nerf , les muscle etc...
Contrairement au clerc guérriseur, qui eux,le guérrise, en même temps leur magie fait que sa...
C'était juste une précision pour remettre les choses en place, car un druide sais faire des baumes , sa oui, mais pas soigner comme un clerc

edit: l'image du mj a changé ;o)

[si les mj avaient comme pour les sorts mis ça au clair dès le début, on en serait pas là...

parce que je me suis forgée une vision totalement différente, vous avez du remarquer dans mes rp, si vous les lisez attentivement, que justement il y a les baumes certes mais que j'y glissais à chaque fois de l'énergie magique qui catalysée par les baumes soignait avec un rendement plus élevé...justement soigne les nerf , les muscle etc... bien sûre plus lentement et plus naturellement qu'un clerc mais le résultat est là...

Ce qui me paraissait et me paraît toujours logique, mais je ne contesterais pas les ordre des mjs et donc je vais simplement désinfecter les plaies comme une banane, plus tard je vais devenir une ermite et je ne ferais que des soins des soins et des soins afin de devenir une guérisseuse… ainsi on ne pourra me rembarrer en hrp de la sorte. (je comprends que pour les clerc vous minimiser les soins druidiques afin de rester égal)

Ensuite si vous voulez que j'y approprie des soins adéquat soyez plus précis dans vos descriptions de blessures...

Alors maintenant le muscle est traumatisé, j'ai recousu une plaie, je n'ai pas de déchirure du muscle, donc pas le besoin de voir un clerc.

Et ensuite même si je n'aurais que désinfecter vos plaies c'était vitale je vous rappelle que vous avez ensuite passé presque une journée sur les routes avec des plaies qui allaient s'infecter si on veut être réaliste... alors... rester dans vos bobos...

Citation :

mais tu a quand même du mal à marcher,

J'ai dit quoi dans mon rp ? que je boiterais pendant quelque jour... boiter = avoir du mal à marcher...

Et donc d'accord maintenant je sais mais je ne changerais ce que j'ai mis précédemment car cela m'énerverais d'éditer tout mes messages et que je n'ai pas que cela à faire. Je fais jouer mon perso comme je l'entend et si elle veut bouder elle boude... avec ou sans raison…

C'est pas moi qui vais laisser mes blessures s'infecter et s'aggraver pour ensuite aller voir un clerc...

Je suis chiante ? sans doute, mais j'apprécie que les instruction soit claire... cela fait deux fois que l'on me rembarre alors que les instructions était trop vague et que l'on ne m'a aucunement donné de précision alors que il en aurait fallut plus tôt avant que le malentendu s'enracine et me laisse une impression amer...

veuillez, excuser ce long message hrp dans le rp... enfin comme j'ai toujours fait un rp de qualité je ne pense pas avoir grand chose à me repprocher, mise à part mon sale caractère... *la joueuse vous tire une révérence* ]

Les oiseaux se réveillèrent déjà, les premiers rayons du soleil déchiraient la nuit encore présente. La campagne se réveillait doucement, la terre se réchauffait peu à peu. Dans la forêt un groupe de perdrix s’envola bruyamment. Une d'elle retomba lourdement au sol dans un nuage de plumes colorées. Quelques instants plus tard, une main la saisit apr le cou et arrête brusquement son geste.

- tiens mais… ça sent fichtrement bon par ici…

La main poussa des branchages. il examina le sol attentivement. Observa des buissons de noisetiers et regardant les alentours avec attention.

- Un nid de centaure… par ici ? Si près des hommes ?

Il avança doucement, sa perdrix toujours dans la main, il poussa une exclamation étouffée en découvrant une centaure couchée dans un lit de fougère, le soleil vint éclairer son visage, ses traits fins et sereins, il y avait néanmoins quelque chose de... triste. Il resta stupéfait, regarda le corps magnifique, le soleil dansant par tache sur la robe alezane. Il remarqua alors l’armure qu’elle portait et sa patte blessée. Cela acheva de le surprendre et rapidement il comprit. Il recula doucement. Il ramassa rapidement de quoi faire un feu et pluma la perdrix. Il alluma le feu et la fit cuire.

*

J’ouvris les yeux, encore prise dans mon rêve car je salivais sur une odeur de perdrix rôtie à point….miam… Je regardai une toile d’araignée parsemée de gouttelette de rosée. J’écartais la branche de noisetier qui me chatouillait la croupe et me releva doucement. Mes membres ankylosés se réveillaient doucement. La douleur dans ma jambe enflamma toute ma patte et remonta dans mon échine. Je sortis de ma cachette pour me trouver nez à nez avec … ma perdrix…

- Tu as faim ?

Je regarda la main qui me tendait un pilon alléchant. Un centaure ! Je regarda son visage jovial entouré de boucle brune, des iris noisette rieurs, quelque tâche de rousseur, une légère barbe soignée. Visiblement ravi de son effet de surprise. Il avait une magnifique robe rouanne et des membres puissants. Un long arc d’if à ses côtés et un carquois remplis de flèches. Je le regarda encore et lui attendait toujours sont morceau de viande tendue. Chez les centaures le partage de la nourriture est important et symbolique. Je pris le pilon et m’assis près de lui. Encore surprise de me retrouver nez à nez avec lui. Il ouvrit la conversation.

- Je dois dire que j’ai été très surpris de trouver une centaure ici... surtout dans ton accoutrement !

Il me sourit à pleines dents, curieux, amusé mais point moqueur.

- Ah… oui… c’est pour mon travail, je suis chez les humains…
- Mais qu’est-ce qu’une si jolie centaure fait chez des détraqués pareils ?
- Oh ! Mais il y en a des très gentils… en faite… il y a d’autregens que des humains à proprement dit, un minotaure, une sorte de reptiles… les races se mélange facilement dans les villes. Je sais que cela peut paraître surprenant mais un centaure peu s'y fondre.
- Je vois… au faite moi c’est Fanoux
- Eya.

Nous finîmes la perdrix en silence, naturellement il continua à parler. C’était rafraîchissant. Nous parlâmes beaucoup, de tous de rien, de lui, de moi. Il était très agréable aussi ne vis-je pas le temps passer. Je sursauta et me leva précipitamment ce qui me valu de chuter car ma jambe me lâcha à nouveau.

- Eh là ! Tu as faillit m’écraser !

Il m’aida à me relever en riant. Je sentis un frisson remonter le long de ma colonne vertébrale lorsque sa main passa le long de mon bassin. Je tenta d’oublier le picotement qui me réchauffait les joues et m’excusa.

- Je suis navrée… je dois y aller il faut que je…
- Tu retourne là-bas ?

Il désigna d’un mouvement de tête d’un air sombre la ville. J’hochais la tête.

- Je ne sais pas ce qui te pousse à retourner là-bas… tu avais l’air si heureuse lors du repas, tu as la mine sombre maintenant, cela ne nous concerne pas ces histoires…

Peut-être… je ne savais plus quoi faire. Il me prit la main doucement la pressa dans la sienne et la relâcha, je n’entendais que mon cœur battre à un rythme sourd dans mes oreilles.

- J’ai été ravie de faire ta connaissance, je te souhaite de trouver ce que tu cherche…

Il se détourna, pris son arc, recouvra le feu de terre pour l’étouffer et fit demi-tour.

- Attends !

Bravo ma vieille, maintenant qu’il te dévisage ? Tu fais quoi ? Réfléchit, réfléchit, je t’en supplie. Ou est ta voie ?

J’enlevais mon casque et appela mes corbeaux. Ils furent rapidement là. Il me regarda faire sans rien dire. Je m’expliquai aux corbeaux. Je pris une étoffe et pris un charbon. J’y traça :

« Malex, je suis navrée mais il est temps pour moi de suivre ma voie, je retourne là où je devrais être… je te remercie pour tout, prend soin de toi mon ami minotaure, mon frère druide.
Eya »

Je glissa le casque dans l’étoffe et les corbeaux l’emmenèrent. Je les regarda disparaître. La gorge nouée, encore surprise de ce que je venais de faire. Il était encore temps de les rappeler. Ils revinrent après, je savais que Malex avait mon message entre les mains. Je ne pouvais plus reculer. Qu’avais-je fait ? Je me tourna vers Fanoux. Il me sourit.

- Ne me regarde pas avec cet air perdu… Celle qui parle aux corbeaux ne devrait pas douter… Ils te diraient eux si tu les écoutais : « Vas suit le chemin de ta race pas celui des autres, cette guerre ne nous regarde pas. » Tu dois te sentire seule, les centaures aimes la compagnie n’est-ce pas ?

Il avança vers moi, il passa sa main sur mes anches, il défit lentement le lacet de mon armure, l’ôta délicatement, retira ensuite la chemise de mailles. Il les jeta à terre. Je sentais ma jugulaire se battre à un rythme anormalement élevé. Je soupira légèrement, le vent me fit frissonner. Il se passait tellement de chose et d'envie dans ma tête que j'ai cru exploser.

Je ne sais comment je me retrouva enlacée contre lui, ses mains serrant mes épaules, caressant mon dos. Ses lèvres caressaient, jouait avec les miennes. Ses murmures eurent victoire de mes dernière crainte et je me laissais totalement aller. Je me sentais si bien aux creux de ses épaules puissantes… enfin à ma place.
On dira plus tard que cette histoire eut lieu grâce à une perdrix et l'animal fut remercier.



[vous l’aurez compris ceci est un adieu définitif d’Eya… bon jeu à tous… ]

Pendant se temps Sarius combattait Valken pour reprendre le contrôle de son corps.
"Alors Sarius tu pense pouvoir me battre alors que depuis le début je te contrôle, tu fait exactement se que j'avais prévut, et oui depuis que tu a tué le sorcier, je te fait faire se que je veus, lorsque que la premiere fois que j'ai vraiment pris le contrôle j'ai fais en sorte que tu pense pouvoir me battre mais sans que tu pense que tu auras l'avantage à chaque fois donc tu es aler t'entrainer comme je l'avais prévut, je te l'acorde je m'attentdait que tu demande de l'aide de ce dragon qui d'apres moi ne vaus rien. Mais si tu arrete de me combattre nous pourrons faire d'immences choses, nous pourons faire rennaître la magie soustractive et régner sur le monde.
-NON, je ne t'aiderais jamais, je cotinurais à te combattre jusqu'a se que tu disparesse à jamais ne ma vie et si jamais tu arrive par un moyen ou un autre de faire revivre la magie soustractive je fairais en sorte de la faire disparetre à nouveau.
-Pfff... tu na aucune chance même avec l'aide de ces gens, seul un maître de la magie soustractive poura m'arrétait et malheuresement pour toi tu ne connais que les rudiments et de toute façon tu n'a jamais put t'en servir...

Valken déguéna son épée ténébreuse et fonça sur Sarius , un épée lumineuse apparut dans la main droite de Sarius se qui lui permit de parer le coup. Le combat débuta, Valken semblais avoir le dessus mais à chaque fois Sarius arrivait à parer au dernier moment, à chaque coup d'épée qui s'entrechoqué l'univers noir dans lequel était Sarius et Valken fasiller, quand à un moment Sarius réussis à enfonçait son épée dans le corps de Valken le décords disparut pour laisser apparetre l'endroit dans lequel étaient tous les autres aventuriers, ils furent étonnaient de voir un sossi de Sarius avec es yeux rouge et une épée ténébreuse dans la main quand les deux combattants s'aperçurent qu'ils étaient libérer, Valken se téléporta et disparut ne laissant que Sarius et les autres aventuriers. Sarius n'en revenait pas il était enfin libérer de Valken mais il devrait surement le combattre ultérieurement pour l'empécher de faire revivre la magie la magie soustractive.