chantier du mur ouest - la punition de la saucissonneuse

Aile ouest, chantier du mur protecteur. Une milice attendait une dénommée Nyviel, condamnée à travailler ici pour avoir agresser une enfant, la routine pour le milicien.. et aussi pour recevoir des cours civique. A cet effet, un vieux clerc se tenait assit là. C’était un Maître Mage lui-même qui avait procéder à la sanction, d’habitude pour ce genre de chose une procédure simplifiée est appliquée par autorité de milice.
L’elfe avait rendez vous tous les matins pendant cinq jours de huit heure précise à dix-neuf heure.

Si elle ne se rendait pas au lieu dit et effectuait sa tâche, alors à ce moment sera initier une poursuite judiciaire contre elle, de ce fait elle aggraverait son cas.

Le milicien fit tourner doucement sa lance et fit trois pas. Il était là pour la surveiller et l’attendait patiemment. Le clerc écrivait dans un large livre à la couverture en cuire soigné. Il était âgé et se tenait courbé sur sa table. Derrière eux se tenait le chantier. Des maçons, travailleurs ou des punis effectuaient là leurs peine. Il y avait des échafaudage et on montait pierre par pierre, tirait, hissait, cimentait. Comme une fourmilière le chantier était assez important. Il fallait reconstruire rapidement se mur afin de protéger l'Académie en cas d'intrusion adverse.

Le lendemain matin, Nyviel se leva aux aurores. Elle alla vite fait se laver même si elle devait faire un travail salissant. Elle se coiffa et mangea une pomme en partant.

*8 h à l'Académie pff, ils auraient pas put me faire travailler une heure plus tard, saleté de semi-elfe.*

Elle continua de ruminer comme ça tout le long de sa marche. Elle arriva alors à l'intérieur de l'Académie.

*Où dois-je aller denouveau??? Je m'en rappelle plus*

Elle prit alors à l'est mais ne trouva pas l'endroit attendu. Elle traversa toute l'Académie et arriva au lieu dit à 8h10. En voyant le vieux clerc l'observer avec un regard assassin, elle dit alors:

Désolée je me suis perdue.

Puis remarquant enfin les ruines, elle dit alors:

Waouh y'a du boulot, vous êtes pas près d'en avoir finis....Euh attendez, vous ne croyez quand même pas que je vais TOUT réparer en 5 jours??? Vous êtes fous ou quoi???

Elle pris alors son ruban et attacha ses cheveux en chignon. Elle sortit son arc et ôta son carquois et les posa à côté du clerc en disant:

Simple mesure de sécurité, j'ai toujours mon arc avec moi.

Puis elle se plaça devant les ruines, mais ne savait pas par où commencer...

Le milicien grogna, il avait une tête patibulaire à faire peur. Ses deux petits yeux brillaient au fond de leurs orbites de façon mauvaise.

Ce s'ra toléré pour c'te fois, la prochaine..

Rire gras, sourire entendu et méchant, mais Nyviel ne pouvait que ce taire.

Alors ouaich.. j'comprends que tu sois là, t'es aveugle ou quoi bécasse ? Tu les vois pas les mecs et femmes qui bossent là ?

Il fait un geste ample et désigna tous les travailleurs qui s'échinaient, tiraient des bloques, portaient des sacs, montaient des échafaudages. L'ambiance était bruyante et personne ne prêta attention à la jeune elfe. Certain avait les membres entravés de lourdes chaînes de fer. Le mur n'était pas à proprement dit en ruine, et le renforcement avait déjà bien avancé. Finalement la milice se bougea et fit grincer son armure de mailles.

GARVARRRRRR

Peu de temps après un homme courber arriva en claudicant. Il s'inclina devant le milicien et regarda d'un œil étrange mais amical la jeune fille, il était borgne. Un vieil elfe courbé par les temps et le labeur.

Bienvenue demoiselle. Vous aller pouvoir travailler pour nous. Alors tu vas écouter ce que le clerc doit te dire et l'apprendre. Ensuite je te donnerais une tâche.

Le clerc se racla la gorge et commença son récit :

Il est important enfant, que tu connaisses l'histoire de ta cité et ses lois :

La guerre règne depuis bientôt 15 ans. 15 années de misère de pertes et de douleurs. Le pays de Dolbi, qui avait délimité ses frontières sur les littoraux à l'ouest, au nord et au sud, et a l'est, un immense désert habité par un très ancien peuple, les Ktanir. Mais depuis un peu plus de 10 ans, ce peuple, anciennement pacifique, ce mit à attaquer les frontières de Dolbi. Les batailles furent rudes, mais les batailles devenaient de plus en plus dures pour les Dolbiens. Pour l'instant, presque personne n'avait pu revenir vivant de ces batailles...sauf quelques personnes, qui sont prises pour des fous. Leurs délires leur font dire que des morts vivants ont attaqué leur village. L'une des seules personnes à avoir survécu et à ne pas avoir perdu la raison fut Archnoime, mais il a disparu il y a peu de temps. Plus cela va, plus le pays est envahi. Rare sont les villes encore en sécurité, car la plupart sont en pleine guerre. Des invocateurs ennemis envoient des centaines de démons par la voie des airs, qui arrivent grandement à affaiblir les défenses avant de laisser arriver l'armée ennemie, qui n'a jamais eu de pitié.

Auparavant, le régime était une monarchie. Dirigée par le Roi Cadelor II qui gérait assez bien son Royaume, il accompagnait l’armée au combat, ses campagnes étaient triomphées de succès, son armée était particulièrement puissante, presque tous les hommes partaient avec lui pendant six mois au maximum et revenaient victorieux pour travailler dans les champs. Rapidement, le Royaume s’est étendu de la côte à la frontière avec les Ktanirs, le désert. Malheureusement pour lui, les combattants étaient uniquement des guerriers et quelques archers, elle ne se composait d’aucune arme de siège, il préférait se déplacer rapidement pour prendre l’ennemi par surprise et il n’y avait aucune forteresse. Mais son plus gros problème, c’est qu’il méprisait la magie autant qu’il la redoutait, il n’engageait aucuns mage dans son armée, bien qu’il aurait facilement pût, la plus grande école de magie se trouvait à Girk’An et les adeptes du Grand Art étaient très nombreux, jamais il n’avait pensé qu’un jour il serait obligé de s’en servir.
Quand les Ktanirs déclarèrent la guerre à Girk’An, il crut d’abord qu’il n’aurait aucun mal à les battre, il envoya la majeure partie de l’armée combattre près des frontières, pendant que lui restait dans son palais, à cause d’une blessure que lui avait infligé un ennemi. Après quelques semaines, il envoya quelqu’un pour voir où en était son armée, celui-ci revint, lui racontant que son armée avait était décimée. Plus de la moitié des guerriers étaient morts. Il envoya les hommes qui restaient, et, après avoir été finalement convaincu par un conseiller qu’il fallait envoyer des mages, que de toute façon leur mort ne serait pas une grande perte, une vingtaine de magiciens de toutes classes. Seuls quelques-uns revinrent quelques semaines plus tard, et ils restèrent muets jusqu’à leurs mort…
Il y a quelques années, trois ans environs, alors que seuls les mages arrivaient à contenir tant bien que mal les attaques de Ktanirs, le Roi commençait à devenir vieux, il n’avait plus d’armée à sa disposition, juste quelques régiments et des mages. Son royaume était maintenant réduit en poussière, seul Girk’an tenait difficilement debout. Les maîtres mages, qui étaient la plupart du temps opposés, étaient alors d’accord sur un point : Comment un Roi qui était désespéré par la décadence de son Royaume et qui ne connaissait rien à la magie alors que c’était le seul moyen pour eux de s’en sortir pouvait-il gouverner ? Ils décidèrent d’aller le voir et lui soumirent cet ultimatum : Il avait une semaine pour leurs céder ses pouvoirs, une assemblée de maîtres mages serait mise en place et ceux-ci gouverneraient la ville. S’ils n’acceptaient pas, ils partiraient s’allier avec les Ktanirs, ainsi que la plupart de leurs disciples.
Après maintes réflexions, le Roi finit par accepter. Il partit habiter dans une grande maison et son palais devint une assemblée où les maîtres mages se regroupent maintenant pour prendre les plus grandes décisions sur l’avenir de la ville.

Comprends-tu alors tout le respect que tu dois aux Maîtres Mages qui travails dur pour notre pays. Qu'ils ont autre chose à faire de s'occuper de petite sotte qui agresse des gens ? Médite ces paroles et respecte tes chefs dorénavant.

Après ce long discours, il fit un signe au contremaître qui s'avança, une caisse à outils sur le bras.

Viens petite, comme tu es frêle, je vais te confier une tâche moins lourde que la reconstruction même que le mur. Viens.

Il partit dans un petit couloir et avança.

Nyviel écouta le récit avec autant d'attention qu'elle put en essayant de faire comme si elle n'avait pas entendue son rire narquois.

Comprends-tu alors tout le respect que tu dois aux Maîtres Mages qui travails dur pour notre pays. Qu'ils ont autre chose à faire de s'occuper de petite sotte qui agresse des gens ? Médite ces paroles et respecte tes chefs dorénavant.

Nyviel eut envie de dire que les clercs étaient sencés donner le bon exemple, de parler convenablement mais elle n'eut pas le temps. Le contremaître arriva qui vient en lui dit de la suivre.

*Comment ça parce que je suis frêle j'aide pas à la recontruction du mur??? Bon autant en profiter.*

Elle suivit alors le contremaître.

Il la mena rapidement au fond d'un couloir sombre, il accrocha la torche au mur. Il désigna une lourde stèle contre le mur.

Elle va nous gêner pour la suite.

Il posa la caisse et sortit un burin et une masse.

Tu vas me la réduire en tas de cailloux. Je file, je dois retourner au chantier.

L'homme s'éloigna rapidement, son pas s'estompa et il ne resta bientôt plus que les grésillements de la torche et sa respiration qui résonnaient contre les murs du petit couloir. La stèle était vieille et poussiéreuse, au premier abord on aurait dit un vulgaire caillou. Mais il était bien plus que cela.. L'elfe ses outils à la main commença la besogne puisqu'elle n'avait que cela à faire.

Toc !

Un coup de masse sur le ciseau.

Toc un deuxième !

libertéé.. libertééé..

Toc ! continue le marteau sourd au râle qui siffle

Toc !

La pierre se fendille légèrement, bien assez pour Le laisser sortir ! Enfin ! L'Être Noir, sellé dans la pierre depuis des décennies se rependit en fumée noirâtre. Bientôt l'elfe fut submergée et d'affreuses résonnances montèrent à ses oreilles. Ses yeux se figèrent et son esprit entra en collision avec l'esprit malin.

~*~

Le couloir disparaît dans une mer noir et nébuleuse, l'elfe sens un froid et un goût acre en elle. Elle ne comprend pas ce qu'il lui arrive. Le sol est rocailleux, la voilà qui se retrouve sur une steppe aride. Devant elle se tient une sorte de mort vivant squelettique et décharné dont l'odeur putride est nauséabonde. Il sourit et dévoila les chaires sanglantes de ses gencives édentées. Ses orbites vides brillaient d'une lueur mauvaise.

sssss. tu m’as libérée... ssssss et... ssss je vais... prendre ton corps pour remplacer... ssss.. le mien.. et me ... ssss... venger !

Nyviel allait visiblement devoir se battre, heureusement et miraculeusement, à la place de on marteau elle tenait son arc qu'elle avait laissé près du clerc et ses armes.

[hrp : bon, tu es tombée sur un petit esprit malin, il t'a emmené dans une sorte d'illusion, dans ton propre esprit. Tu te bats pour ton âme.

Tu as vu comment ça se passe le mjtage avec les autres post ? en gros, tu peux faire des jets de dé pour voir si le coup réussit ou non, mais c'est moi qui te donne les conséquences et résultats.

bon. Prête pour la castagne ?

jet d'initiative : Nyviel 18 -- Esprit 12.

A toi de commencer. Je compte sur toi pour me faire de joli rp, nésite pas à donner des traits cauchemardesques à cette dimension qui représente ton psychique. Plus tu me mets de détails plus je suis contente, prend ton temps car lundi école je serais moins dispo.. ]

Nyviel fut surprise de voir l'apparence de l'esprit. Elle n'en avait jamais vu et celà l'avait glacé le sang. Le pire, c'est que dans cet endroit, il n'y a que des corps aux sols, brûlés, mutilés, décapité ou d'autres choses encore. Il y a aussi, de nombreux cris, comme si on les brûlait vif les personnes. Des ombres floues l'entourait, serpentant des corps accrochés. Elle eut l'impression qu'il n'y avait que ça et cette être ici. Tout était mort dans d'affreuses douleurs surement.
Nyviel pris alors son courage à deux mains, et visa avec son arc la silhouette de l'esprit, quand tout redevins noir pendant un moment. Nyviel ne bougea pas d'un pouce. Au bout de ce qui lui sembla un quart d'heure, des flammes jaillirent d'un peu partout, embrasant les corps et permettant enfin à l'efle de voir sa cible. Elle en profita et tira.

L'elfe visa donc une première fois l'esprit une première fois. (jet 3 échec critique) La flèche rata largement sa cible et se perdit dans les paysages de cauchemar en sifflant.

Elle tira une deuxième fois sur l'esprit mauvais. (Jet10) la flèche alla se ficher dans l'abdomen béant du squelette décharné, elle s'y planta avec un bruit chuintant écœurant.

1D10+5 = 10 + 5 = 15

La flèche vint toucher un nerf et la douleur fut forte, il tituba un instant et se mit à hurler de façon stridente. Si stridente que cela fit frissonner Nyviel. L'elfe n'était pas encore une assez bonne tireuse pour pouvoir réarmé rapidement son arc. L'esprit était déjà sur elle. (jet 17)

1D6+4 = 5 + 4 = 9

Ses griffes lacérèrent l'elfe, elle fut touchée de la base du coup jusqu'à la hauteur du diaphragme. L’armure n'absorba pas beaucoup le choc et le sang commença à s'écouler doucement.

total :
Nyviel : - 8pvs
Esprit : -15pvs

Malheureusement, l'esprit désormais proche de sa proie accentua sa pression sur son esprit. Nyviel se retrouva projetée dans son passé, les images défilaient inlassablement et intolérablement devant ses yeux.

[donc demain je pars et je reviens vendredi en fin d'après midi. Donc tu as trois jours pour me faire un beau et grand rp.

Tu lui fais de jolis flashs back vu que t'es entraînée dans ton passé, tu avais dit qu'elle avait fait flamber une ville et des trucs du genre : développe moi tout ça.

Je veux voir de jolie ligne bien remplie à mon retour. T'as tout ton temps alors bâcle pas, fait moi un vrai beau rp.

bon jeu. et excuse mon absence. ]

Nyviel fut projetée à la lisière d’un forêt où pour seule lumière, un feu intense embrasant quelque chose au loin. Cette forêt lui rappelait quelque chose mais elle voulut le vérifier de ses propres yeux. Elle ne pouvait accepter qu’elle était retourner en ce jour funèbre. Malgré le coup que lui avait infligé l’esprit, elle se mis à marcher vers ce feu.

Au bout d’une ou deux heures, elle vit la petite cabane. A côté, il y avait le lac comme ça a toujours été. Elle remarqua que la cabane n’était plus en feu, ce n’était plus qu’un tas de cendre. Elle continua alors son chemin et remarqua qu’elle s’approchait pour ou contre son gré vers le village. Le chemin commença alors à monter, bientôt, elle pourrait voir la fin de la forêt.

Elle vit alors une enfant, apparemment, elle avait l’air d’un elfe très gentille. Elle avait les yeux d’un bleu profond et ses cheveux était de la même couleur. Le regard de Nyviel s’attarda sur les cheveux de la gamine. Elle portait le ruban que lui avait offert son père, son ruban. Elle compris alors qu’elle était retournée dans le passé à cause de cet esprit.

Nyviel commença alors à s’approcher d’elle enfant qui elle, une torche à la main, était en train de mettre le feu à une maison. Nyviel se rappela alors de ce jour. Son père, le village, la famille de ce petit garçon. Elle voulut alors empêcher la fille qu’elle était mais savait de toute façon qu’elle ne pourrait pas. Elle tenta quand même en barrant essayant de saisir le bras de la gamine. Étrangement, elle pouvait la toucher mais, quand elle essayait de l’attraper, c’est comme si elle passait au travers de son souvenir. Nyviel, se ressaisit et décida de suivre la petite elfe, peut-être qu’elle retrouverait l’esprit comme ça. Elle la vit attaquer toute sorte de personne, marcher sur des personnes âgées qui lui suppliait de l’aider puis elle s’arrêta devant eux. Ils étaient dans une maison en feu, une femme avec son fils et son mari. L’homme avait le bas du dos écrasé par une poutre, le gamin n’arrêtait pas de pleurer, il était brûlé d’un peu partout et lui manquait une jambe, apparemment arrachée par quelque chose de tranchant qui était tombé d’un coup. Sa jambe n’arrêtait pas de saigner, et sa mère, en pleurant, en suppliant la petite elfe qui les regardaient d’un œil noir, essayait de stopper l’hémorragie.

La petite elfe s’approcha, lentement, d’un pas fluide, un sourire aux lèvres. Elle s’arrêta à quelques pas de cette famille rongée par la douleur. Nyviel la vit remuer les lèvres, bien qu’elle n’ai put entendre ce que cette petite fille a dit, elle savait ce qu’elle avait dit. Nyviel remua alors les lèvres et, dans un murmure, elle répéta ce qu’elle avait dit ce jour là:

Les personnes qui s’agenouillent et qui supplient montrent qu’il sont faibles, et les faibles ne méritent pas de vivre. Et si vous avez encore la force de supplier, vous avez encore la force de souffrir donc je vois pas pourquoi je devrais vous aidez.

La petite fille s’approcha alors de la famille, pris une planche de bois et frappa avec la femme qui tomba sur l’homme, évanouie. Elle repris alors sa torche, regarda autour d’elle, pris un couteau proche d’elle et commença par lacérer le jeune garçon. Puis, quand elle en eut finis avec lui, elle s’attaqua à l’homme. Nyviel préféra ne pas regarder car elle savait que c’était pire que l’enfant, qu’elle s’était montrée d’une cruauté inimaginable. Pendant une ou deux heures, elle entendait les cris de douleur de l’homme, se demandant quand est-ce qu’elle en aura finis, quand elle l’étouffera avec la main de son fils.

Quand la petite Nyviel eut finis, elle se remit en marche, suivit par l’elfe adulte. Elle s’était mise en marche vers la forêt, pour enterrer son père et dormir dans une grotte pour éviter que quelqu’un la retrouve et lui fasse payer son acte.

L'esprit n'avait pas quitté Nyviel.. elle n'en avait pas conscience mais en revivant son passé elle jouait le jeu macabre de l'esprit. Lui commençait à se plaire dans l'ambiance. Le temps était relatif, les distance abolie, ils nageaient dans un dimension sans lois.

sssss... enfant.. je me régale de ton passé qui me renforce.. ton corps sera entre...ssss.. de bonnes.... mains...

Il y eut un long rire sadique qui cascada. La voix semblait venir de nulle part et partout. Dans son terrain de jeu de prédilection l'esprit malin décida qu'il en avait assez d'attendre. Il se métamorphosa face à l'elfe.

jet initiative : Nyviel 12 -- Esprit 11

Ils se mirent en mouvement tous les deux mais Nyviel fut légèrement plus rapide que lui. Déjà ses griffes approchaient de la peau laiteuse de l'elfe.

A toi et excuse l'attente semaine très chargée..

Avant d'entrer dans la partie de la forêt qui n'avait pas bruler, Nyviel entendit des paroles qu'elle ne put déchiffrer puis, ensuite, il y eut un rire sonore, sans savoir d'où ça venait. Mais elle savait au fond d'elle même que ça ne pouvais s'agir que d'une seule personne: le spectre.

Il apparut alors en face de la jeune elfe. Nyviel n'hésita pas une seconde, elle recula de quelques pas en empoignant son arc, attrappa une flèche, mais ne put tirer car l'esprit était trop proche.

Nyviel continua encore quelques secondes à reculer en fixant toujours le spectre, pour être hors de portée mais le spectre avançait en même temps donc elle abandonna, sachant qu'elle ne faisait que se fatiguée.
Nyviel s'arrêta net, courrut vers le spectre et, au moment où il voulut l'attaquer, elle glissa par terre pour l'éviter. L'elfe passa alors de justesse sous ce dernier puis courut en entrant dans la forêt de son passé. Elle contina à courir, s'enfonçant dans la forêt, suivie par le spectre.

Soudain, le spectre disparut mais Nyviel continua sa course. L'esprit apparut alors devant elle mais, comme cette dernière s'y attendait, elle sauta sur une branche. Enfin l'elfe était à parfaite distance. Elle en profita et tira une flèche en gardant une seconde pour viser.

Nyviel ne prit pas le temps de regarder s'il elle l'avait toucher ou pas, elle se remit à sauter de branche en branche, prenant de la hauteur, elle voulait en finir vite de ce spectre mais elle ne lui laissera pas gagner, elle gardera son corps rien que pour elle, il pouvait toujours rêver.

[quand tu développe et fait des actions comme ça, tu peux m'indiquer les jets de dés.. parce que gare à ne pas prendre trop d'initiative.. je te rappelle que l'Esprit es un PNJ que je mjte.. exemple :

Citation :: Nyviel s'arrêta net, courut vers le spectre et, au moment où il voulut l'attaquer, elle glissa par terre pour l'éviter. (jet12) L'elfe passa alors de justesse sous ce dernier puis courut en entrant dans la forêt de son passé. Elle continua à courir, s'enfonçant dans la forêt, suivie par le spectre.

Donc fait gaffe à pas trop dire ce que fait le spectre, qui sait s'il te suit ou non etc.. vu que je suis quand même sensée mjter.. et là on tombe dans le grosbillisme en force, Nyviel est de level 1 au cas ou... et c'est pas tarzan.. ]

Nyviel s'agrippa tant bien que mal et tira presque miraculeusement une flèche de sa branche. jet8 + difficulté déséquilibrage et position sur branche trop périlleuse = la flèche se perd dans la végétation sans lui faire le moindre mal.

Elle essaya ensuite de sauter de branche en branche, mais elle avait garder une autre flèche prête et son arc à la main, ce qui diminuait considérablement sa dextérité.

(jet1..échec critique pas de chance)

Nyviel rata magistralement sa branche, ses mains s'accrochèrent en vain au vide, son arc tomba et elle ne tarda pas à l'accompagner. Elle chuta dans un bruit de branche cassée et fut sonnée à l'arrivée. Elle mit quelques minutes à retrouver ses esprits. Son adversaire, qui se déplaçait plus lentement qu'elle pu la rejoindre. Il tenta de l’agripper (jet4) mais Nyviel dans un réflexe inconscient pu l'éviter de justesse. Il profita qu'elle soit encore sonnée et de ses mains griffues frappèrent toutes les deux la frêle elfe. (jet:7et16) La main gauche dérapa sur son gilet de cuir mais la droite s'enfonça dans la chair de sa cuisse.

1D6+4 = 4 + 4 = 8

Nyviel, tu as retrouvé tes esprits, ton arc est un peu à ta gauche mais tu n'auras pas le temps d'armer une flèche et de tirer à cette distance. Il y a juste sous ta main, un bout de branche cassée qui semble bien solide, tu peu t'en servir comme arme de secours.

total :
Nyviel : -8pvs

Je l'ai !

bruit de lutte

Soupir

Voilà qui est fait. Comment va la petite ?

Un peu secouée et en état de choc, quelques belles contusion, son épaule à l'air mal en point, sûrement démise.

Elle a quand même vraiment pas eut de chance de tomber pile sur un esprit malin. Heureusement qu'il était très faible.

L’homme et le clerc mirent la jeune elfe sur un brancard et sortir du couloire. Au passage ils posèrent près d'elle ses effets personnels et la conduirent à l'infirmerie. Ils furent accueillit par un clerc, ils lui dirent que la jeune fille avait été attaquée par un esprit malin et elle fut emmenée pour des soins. La guérisseuse l'examina rapidement. Elle fut rapidement remise sur pied, ce qu'il lui fallait maintenant c'était du repos et du sommeil pour récupérer du choc mental.

Nyviel cru que c'était la fin maintenant. Même s'il y avait un bâton près d'elle, elle avait trop mal à son bras pour le prendre pour se protéger. Elle vit défiler devant ses yeux sa courte vie quand l'esprit, la forêt diparut. Tout disparut pour ne laisser que le noir. Nyviel ne savait pas ce qu'il lui était arrivée à ce moment et ses membres étaient engourdi. Elle eu alors la force d'ouvrir les yeux et vit le sombre couloir ainsi que la stèlle fendue. Mais où est-ce qu'elle avait attérie de nouveau ??? Elle ne le savait pas. Elle remarqua enfin qu'il y avait 2 hommes qui parlaient. Apparement, un devait être un clerc. Ils mirent Nyviel dans un brancard et ce fut comme ça qu'elle put sortir du couloir. Elle ferma les yeux, faisant semblant de s'être endormi ou quelque chose de ce genre. Elle entendit à un moment les types expliquer à quelqu'un qu'elle avait été attaquée par un esprit malin. Nyviel se décida alors à ouvrir les yeux et vit qu'elle avait été amenée à l'infirmerie. Une guérisseuse l'examina. La jeune elfe fut bientôt remise de ses blessures mais ils voulaient qu'elle se repose pour récupérer au mieux. Pourtant elle en avait que faire, elle aurait préférée repartir plutôt que rien faire, elle n'était pas d'humeur à dormir.

[HRP: désolé de n'avoir pas repondue plus tôt j'ai finis mes exams jeudi et j'avais paumée le lien ensuite ^^"]