chambre 37, sous l'escalier.

Sujet: chambre 37, sous l'escalier. Sam 10 Nov 2007 - 18:53

Sur une petite porte sous un escalier on pouvait lire sur un parchemin, une écriture calligraphiée soignée :

« Chambre d’Elanor Anàrion »

Une petite silhouette blanche marchait à petit pas rapide sur le sol de marbre du couloire. Il faisait sombre la nuit tombait déjà. La bure blanche flottait à chaque pas. La silhouette passa sous les arcades imposantes et gracieuses…

chambre 37, sous l'escalier. Elanortogeblanchemk7

Elanor savait qu’il ne fallait pas qu’elle reste trop longtemps à la grande bibliothèque mais elle était tombée sur un grimoire formidable…. Comme à son habitude elle n’avait pas vu le temps passé. Elle poussa la petite porte et posa son bougeoir sur la table, elle alluma les chandelles qui répandirent une lueur dansante dans le petit habitacle. Il contenait une armoire, une table et un lit. Tout ce qu’il fallait à Elanor. Qu’avait-elle besoin de plus ? Elle remerciait la Déesse d'avoir été si bien placée. Sans Papi, ils ne m'auraient, sans doute, pas laissée habiter cette petite pièce pour rien. Enfin, pour rien, je donnait un coup de main par-ci, par-là... Ils appréciaient mon niveau d'écriture et il m'arrivait que l'on me donne des textes à écrire. Loin d'être une tâche pénible, j'en tirais une certaine fièreté. Merci père, merci de m'avoir si bien enseigné cet art. Merci Papi, de m'avoir permis d'entrer à l'Académie.

Elle alluma une petite baguette et la posa sur le socle. Elle frôla son collier de perle et s’agenouilla. Elle pria longtemps la Déesse comme chaque soir. Ce n’était pas une prière au sens requête mais un simple remerciement pour cette journée passée. Une douce gratitude. Elle se releva et épousta sa bure dans geste gracieux. Elle enleva sa large capuche. Elle s’assit à sa table et pris sa plume. Elle ouvrit un carnet spiralé à la couverture pourpre.

Aujourd’hui, j’ai découvert un ouvrage passionnant. Je remercie la Déesse d’avoir guider ma main vers sa couverture tannée.

Les soins que nous clerc faisons, par la grâce divine, dépassent les soins naturels. Il est important de comprendre le spirituel de cette action et la portée, comment nous catalysons notre énergie et comment nous absorbons les blessures.

Il faut distinguer les blessures par différent stade de catégorie. Pour l’instant seul les premières catégories me son accessibles. Je maîtrise le sort de soin mineur qui permet de régénérer les petites blessures, du genre coupure, brûlure au premier degré. Un soin global et de surface. L’art des soins est l’Art le plus complexe. Comme pour l’équitation il est important de maîtriser les bases afin de pouvoir progresser. Je ne suis qu’une clerc novice, je manque d’expérience, je sais que ma route va encore être longue. Mais j’ai foi en la Déesse, ma destinée est de devenir une grande guérisseuse. J’ai entendu parler de druide qui savait guérire par les plantes, leur moyen étant naturel, leur soin sont bien moins rapide et efficace que les notre mais j’ai grande admiration envers eux. Le savoir de mélanger des plantes et d’en faire des onguents est magnifique. J’ai quelque notion en ce domaine mais ce n’est pas mon don principal. Le mien, mon don est de prendre la douleur des autres.

La jeune femme suspendit un instant son geste à cette phrase… la douleur des autres… Elle reposa la plume sur la page et le doux crissement continua.

Il me suffit de poser la main sur une blessure pour sentir la douleur, c’est la première phase des soins. De la sorte nous pouvons instantanément faire un diagnostic et doser notre énergie afin de lancer le sort approprié. Après certain on plus de talent que d’autre… Il me manque l’expérience mais depuis jeune enfant j’ai sentit la douleur des autres. C’est cela qui a surpris Papi. Je suis si chétive et si faible, peut-être est-ce la contrepartie de ce « don ». Prendre la douleur n’est pas sans conséquence… ainsi, en a voulu la Déesse. Je me demande si mes parents me regardent depuis là haut ? Je crois sincèrement que la Déesse à pour moi un dessein particulier. Il me faut apprendre à maîtriser ce don à présent. Demain, j’irais observer le maître clerc comme a mon habitude et demain j’irai m’entraîner…

Elle posa la plume et referma le livre qu’elle glissa dans sa bécasse. Elle enleva sa bure et se glissa dans le lit, élégant au passage les chandelles. Elle ferma les yeux. Ce qui faisait sa force s’était son esprit.

Sujet: Re: chambre 37, sous l'escalier. Dim 11 Nov 2007 - 14:39

Elanor revenait du cours du maître clerc, de façon officieuse… elle n’avait pas de travail et sa bourse était restreinte, les biens que ses parents lui avaient légués était malheureusement limité. Elle trouvait dommage qu’il faille être riche pour pouvoir suivre un cours de qualité et ne pas les assisté à la sauvette et sans réelle permission. Elle assistait donc a des bribes de cours sans vraiment y participer… néanmoins les progrès était là. La seule chose qui l’ennuyait c’était qu’elle n’avait pas de « cobaye » à soigner… Bon…

La jeune femme descendit souplement les marches, elle s’encoubla dans sa bure et valdingua en bas de l’escalier. Elle se releva péniblement, elle regarda ses pauvres genoux, écorché au sang. Elle regarda ses mains blanches, comme quelqu’un qui les découvre pour la première fois. Fine, allongée, pâle, elle passa un doigt sur sa plaie. Et Y plaça la paume de sa main. Elle se concentra, le contacte fut tout de suite présent, elle se savait à présent en conditions de soigner la blessure.
Elle canalisa avec soin son énergie, il fallait sentire les bonnes vibrations, au premier essai elles furent trop forte, désaccordée avec mon cœur. (jet4) Je me concentra et retenta. (jet15)

Par mon sang, répare-toi
Par ma magie, guéris-toi
Louée soit la Déesse

Mes mains devinrent légèrement plus chaude, je sentis mes terminaisons nerveuses vibrer imperceptiblement. La petite plaie se résorba totalement, laissant mon genou intact. Je rabattis ma bure et me releva. Je ne fis pas attention aux mages qui me regardait.

J’essayais de bien analyser les vibrements, la fréquence, leur période. L’humain est insignifiant et ignorant. Je suis une parmis d’autre, mais je suis sur la voie… les autres se trompe et se fourvoie.
Elanor entra dans la bibliothèque et pris un livre dans une étagère. Elle le déchiffra. De sa courte vie, la seule chose qu’elle fasse bien est lire. Elle savait de multiples langues et se sentait bien dans cet univers de lettres, mots aux odeurs de vieux parchemins. Elle prenait des notes dans son cahier, appliquée. Un scribe passa près d’elle et s’étonna de la voir lire ce livre. Ils étaient habitués à voir la jeune femme plongée dans des ouvrages énormes.

« L’Art des vibrations quantiques »… tu lis ça toi ?
oui, il est assez intéressant, il y a quelque notion que je n’ai pas, mais cela illustre pas mal la phase vibratoire sensorielle que l’ont effectues avant le soin en lui-même qui…
C’est bon, c’est bon… je ne vais pas te déranger plus longtemps…

Elle sourit et se replongea dans l’ouvrage. Demain elle irait voir le maître clerc et lui payerait une leçon…

Sujet: Re: chambre 37, sous l'escalier. Lun 12 Nov 2007 - 23:17

Enrichie d'une quantité de savoir qui emplissait Elanor de joie, elle les retranscrit dans son livre de bord. Elle s'intéressait vivement aux vibration tellurique. Un facteur majeur de la magie ? Oui... Passionnée, elle regarda le livre qu'elle avait emprunté, un peu compliqué, elle mettrait du temps à déchiffrer cette ancienne langue... un vrai défi ! Cela enchantait la jeune clerc qui il faut l'avouer, malgré son amour des livres et du savoir, s'ennuyait de la présence de jeune gens. Ces coups de cafard étaient bien vite balayé.

"L'influence lunaire sur les vibrations : chaque chose chaque ... entretient un lien avec le flux, la Lune est un agent majeur, de par sa position d'astre blanc elle gouverne ... qui ... danse ? gratte ? "

pffff... je vais aller loin, faudrait que j'étudie ce langage avant. Autre chose l'avait interpellée. Elle avait entendu parler d'une guilde de clercs... enfin pour y entrer, il fallait être un mage reconnu par le peuple. Et elle s'y employait avec force ! Elle s'entraîna tout le soir à lancer le sort Lumière. Un atout charismatique non négligeable. Elle cherchait les variations de vibration, analysait le sort. Elle y passa la moitié de la nuit, elle finit par s'endormir sur son lit, encore toute habillée. Sa bure rayonnait d'une douce lumière, apaisante. Elle semblait dormire dans un halo de lumière... Cette scène était assez étrange. Une jeune femme blonde, au teint clair, dormant sereinement dans un lit de lumière.

Elle deviendrait une clerc renommée, elle ferais avancer les choses ! elle était emplie de conviction. Elle y arriverait, par ses propre moyen.

Sujet: Re: chambre 37, sous l'escalier. Mar 13 Nov 2007 - 14:20

Elanor traduisitfinalement le texte.

"Les énergies de la terre

Partout, où que ce soit sur notre globe, nous sommes placés sous l’influence permanente de deux colossales énergies desquelles nul ne peut se soustraire.
L’une de ces énergies provient du centre de la terre.
C'est l'énergie TELLURIQUE.

De l'immensité de l'espace sidéral émane une autre énergie :
c'est l'énergie COSMIQUE.

Par l’action centrifuge due à la rotation de notre globe, l'énergie tellurique est projetée en force sous nos pieds depuis le centre de la terre, et ce, avec d’autant plus de puissance qu’elle rencontre sur son passage des portes ouvertes : les failles, les cours d’eau souterrains, les cavités bouchées, grottes, cavernes, mines,...
Cette énergie est de polarité négative ou force YIN des Chinois.

En opposition et pour la contenir existe l'énergie cosmique
à polarité positive ou force YANG des Chinois.

Voilà mise en évidence, la première essence de toute vie
la polarité !
Au niveau du sol ces deux potentiels YIN–YANG doivent impérativement égaliser leurs forces selon un rapport approximatif de 2 (cosmique) sur 1 (tellurique) afin que la vie puisse se nourrir de la qualité vibratoire, justement dosée, de chacune de ces deux énergies et ainsi,
se dérouler en toute quiétude, en tout équilibre.

Cela se traduit sur un terrain en équilibre cosmo – tellurique par la présence de 70 à 80% de vibration COSMIQUE, pour 30 à 20% de vibration TELLURIQUE.

Si ces valeurs sont respectées, les pourcentages vibratoire s’expriment avec justesse, l’énergie cosmique nous inonde des sept couleurs vibratoires de l’arc-en-ciel : nourriture essentielle de nos sept principaux
corps énergétiques.La vie peut s'épanouir !

Rares sont les lieux sur terre offrant cette possibilité d’échange.
Souvent les valeurs sont inversées, soit 70 à 80% d’énergie tellurique et
20 à 30% (voire 10%) seulement d’énergie cosmique. Si il y a un déséquilibre, la terre, dans ce cas, exhale une énergie nocive.

Alors, malgré nous, nous ressentons parfois un mal-être que nous ne savons exprimer. Pourtant, si quelque peu avertis,nous observons notre environnement, certaines singularités nous interpellent.

La terre, entité vivante souffre aussi de certaines pathologies
qu’il nous appartient de découvrir et de rectifier.

Elanor s’écria : La Terre est la Déesse, est la vie ! La Déesse souffre des maux causé par les humains !

Avant de songer à se soigner soi-même, soignons d’abord la terre!
Agissons d’une manière chronologique.

POURQUOI et COMMENT la terre en déséquilibre peut-elle nous rendre malade ?
A mon avis pour trois raisons essentielles.

La PREMIERE de ces raisons tient à l’inversion des polarités.Le corps humain, ainsi que toute chose dressée sur notre terre, présente deux polarités bien définies.De la plante des pieds jusqu’au diaphragme, le corps de l’homme est de polarité négative comme le sol sur lequel il repose. Du diaphragme au sommet du crâne, il est de polarité positive de même nature que l’espace dans laquelle il se déplace. Chaque organe possède aussi deux polarités le + et le –. Chaque échange au niveau cellulaire, du plus infime au plus important, est régi par la loi de polarité.
Chacune de nos cellules fonctionne grâce à la polarité :le noyau est de polarité négative (-), le cytoplasme de polarité positive (+), afin que s'accomplisse le cycle de la vie.

VIE = mouvement - MOUVEMENT = cycle
CYCLE = circulation d’énergie
CIRCUL. ENERG = polarité - POLARITE = VIE

Pour qu’une structure statique acquiert une dynamique, il faut un moteur.
Ici le moteur est la POLARITE.Si le moteur ne tourne pas rond, la vie ne pourra s’exprimer librement ! Nous devons vivre dans l’ambiance d’un milieu équilibré où les valeurs de polarité sont en juste proportion. Dans un lieu de vie à prédominance YIN tellurique, empreint d'une trop grande énergie négative, les polarités n’étant plus respectées notre CYCLE de VIE souffre d’une carence : c’est la porte ouverte à toutes les pathologies.

LA DEUXIEME raison de la nocivité de l’énergie tellurique
à trop forte dose, tient à sa capacité vibratoire intrinsèque.

Un bon équilibre Cosmo – Tellurique apporte au Vivant une nourriture vibratoire compatible avec la vie. L'énergie cosmique amène les sept vibrations couleurs de l'arc en ciel nécessaires au bon fonctionnement de nos chakras. L'énergie tellurique sans excès nous rattache à la terre.

Si l’on considère un cercle coupé par une droite passant par son centre,
on obtient deux hémisphères (nord – sud). L’hémisphère nord est le site des vibrations des 7 couleurs visibles de l’arc en ciel soit :
- rouge – orangé – jaune – vert – bleu – violet -indigo -
Il est de polarité positive et correspond à l’énergie cosmique Yang.

L’hémisphère sud est le site des vibrations invisibles de la lumière soit :
Infra rouge – blanc – vert négatif – noir – ultra violet
qui sont au nombre de 5.Il est de polarité négative et correspond à
l’énergie tellurique Yin.

A noter tout spécialement la présence de cette vibration VERT NEGATIF (V-) appelée VERT parce que située au point sud, face à la couleur verte du point Nord et NEGATIF parce que placée dans l’hémisphère sud
de polarité négative.Cette vibration, la plus courte et la plus déstructurante de l’univers, est à l’origine des lézardes sur les façades.
Elle s’attaque donc au règne minéral.

La cellule vivante en souffre à son niveau le plus intime.

Cette énergie (V-) rompt les ponts hélicoïdaux de la double hélice d’ A.D.N. située au sein de chaque noyau cellulaire.Elle vient également perturber en hyper ou en hypo, le fontionnement du système endocrinien à travers la vibration des chakras qu'elle modifie.
Elle détruit le règne animal et végétal.

Là où les rayons X et les rayons gamma sont arrêtés par des plaques de plomb, la vibration vert négatif (V-) traverse ce métal.

Sur un terrain en bon équilibre cosmo-tellurique où l’énergie cosmique est de 70 à 80% on peut mesurer tout ou partie des vibrations couleurs de l’hémisphère nord (celles de l’arc en ciel).

Par contre, sur un terrain à prédominance d’énergie tellurique, on ne mesure, bien souvent, qu’une fraction du demi-cercle sud à polarité négative. Ce sera celle située entre l’I.R. et le NOIR ou plus souvent encore, entre le BLANC et le NOIR. Mais dans tous les cas, la vibration (V-) est présente.En outre, entre le BLANC et le NOIR se situe tout le site
de la radio-activité naturelle émise par la terre :BLANC, épsilon, khi, lambda, psi, rhô, oméga, VERT négatif, alpha, béta, théta, gamma, nu, zéta, NOIR.

Si un bon pourcentage d’énergie tellurique est respecté (30% max.) et,
est nécessaire au bon fonctionnement de la vie, une OVER dose sera néfaste pour la santé.

LA TROISIEME raison enfin, tient à la dynamique de cette énergie tellurique.De par sa puissance, celle-ci est capable de véhiculer
tout ce qu’elle rencontre sur son passage. Elle est une énergie porteuse de toutes les vibrations d’ondes émises par une complexité d’éléments.

Cette énergie tellurique ne sort pas d’une manière anarchique sous nos pieds mais, en des points précis : au niveau des croisements des réseaux telluriques. Ces réseaux peuvent être considérés comme étant le prolongement des méridiens de l’homme. Le réseau ‘’Hartman’’, du nom de son découvreur, appelé aussi ‘’réseau global’’ est le plus connu.

Pour se représenter un réseau, il faut imaginer un mur vibratoire invisible d’une épaisseur théorique de 21 cm prenant sa source dans les profondeurs de la terre et s’élevant très haut dans le ciel. Il faut savoir en outre que ces murs vibratoires existent tous les 2 mètres dans l’axe N/S et tous les 2.50 m. dans l’axe E/O.

Nous vivons, dans le cloisonnement permanent de ces murs vibratoires.
Il existe en conséquence des croisements tous les 2m. et tous les 2.50m.
C'est au niveau de ces croisements que l’énergie tellurique sort en force.
Celle-ci possède un mouvement ascendant spiralé et imprègne la partie intérieure du rectangle délimité par les croisements. Un autre réseau important en géobiologie est le réseau CURRY ou réseau diagonal.
Il est posé en diagonale soit N/O-S/E et N/E-S/O par rapport au réseau H. Les mailles de ce réseau sont plus larges et plus variables (4 à 16m.)
les murs vibratoires plus épais (40cm env.) Leurs croisements génère aussi l'énergie tellurique.

D’autres réseaux existent aussi, dont les réseaux solaires, bénéfiques ceux-ci, orientés Nord/Sud sur lesquels sont construits tous les monuments importants.

La superposition de deux croisements des réseaux Hartman et Curry définissent un point particulièrement nocif appelé POINT ETOILE.
Si de surcroît ce point se conjugue avec un passage d’eau ou avec l’influence d’une faille, celui-ci devient un point hautement dangereux."

[Source : http://www.geobiologue.org/detail.php?ID=10]

Sujet: Re: chambre 37, sous l'escalier. Mar 13 Nov 2007 - 14:23

La suite devenait incompréhensible, C’était assez intéressant mais ce n’était pas ce qui intéressait le plus Elanor. Les énergies externes sont importantes, mais sa science s’occupe exclusivement des énergies internes. Elle alla sur l’agora, elle vit une petite estrade vide, mue par un étrange sentiment elle monta dessus. Là de nombreux discours se tenait et des groupes de personnes érudites flânaient. Elle se concentra et jeta son sort. Elle effleura le tissu de la bure de ses doigts délicats, elle entrouvrit légèrement ses lèvres nacrées et la magie entra dans le tissu. Elle s’employa à modeler les vibrations jusqu’à la fréquence voulue.(jet3 ;10 ;5 ;18 ) la première fois elle n’atteignit pas les bonnes vibrations, la deuxième elle les atteint mais la lumière n’était pas bien nuancée, la deuxième fois elle rata à nouveau la fréquence. Enervée, elle recommença rageusement. Enfin la fréquence vibratoire se stabilisa ! La robe émanait une douce lumière, elle enleva sa capuche, laissant couler sa chevelure blonde. Elle relut quelque chose dans son livre et se leva. Certain badaud s’arrêtèrent curieux ou attiré par la fraîcheur et la beauté de l’oratrice. Elle parla d’une voix claire et posée.

Bonjour, Peuple de Girk'An, Je m’appelle Elanor Anàrion, je suis une jeune clerc de l’Académie. J’ai effectué des recherches sur les énergies terrestres et ai traduit un ancien manuscrit qui était sous un tas de livre poussiéreux de la bibliothèque. Ainsi je partage mon savoir avec vous…

Les énergies de la terre

Sur la terre, ou que nous soyons, nous sommes sous l’influence de deux énergies :
L’une de ces énergies provient du centre de la terre.
C'est l'énergie TELLURIQUE.
De l'immensité de l'espace sidéral émane une autre énergie :
c'est l'énergie COSMIQUE.

Pour comprendre le monde il est indispensable de savoir l’écouter. L’énergie Tellurique naissant au centre de la Terre est envoyée à la surface par la force centrifuge due à la rotation. A la surface, elle rencontre des portes : les failles, les cours d’eau souterrains, les cavités bouchées, grottes, mines, cavernes,...
Cette énergie est de polarité négative. Comme à chaque chose il lui faut son contraire pour obtenir le principe d’équilibre de la Terre sans lequel nous n’existerions pas. Son opposé est la polarité positive : l’énergie cosmique contient donc l’énergie tellurique. La première essence de toute vie la polarité !c'est une vision des choses, les avis sur ce point peuvent varier et pour ma part je ne suis pas en accord avec cette pensée.

De nombreuses expériences ont eu lieu afin de déterminer cet équilibre et les résultats sont : un rapport approximatif de 2 (cosmique) sur 1 (tellurique).Cela se traduit sur un terrain en équilibre cosmo – tellurique par la présence de 70 à 80% de vibration COSMIQUE,
pour 30 à 20% de vibration TELLURIQUE. Ces résultats sont le fruit de nombreux travaux. Si ce rapport est proportionnel les vibrations s’expriment avec justesse.
Là où les choses se corsent, c’est quand il y a déséquilibre… Et finalement, les lieux explorés en équilibre sont plus rare que ceux en déséquilibre. Souvent les valeurs sont inversées, soit 70 à 80% d’énergie tellurique et 20 à 30% (voire 10%) seulement d’énergie cosmique. La terre, dans ce cas, exhale une énergie nocive.

La plupart du temps, personne n’en a conscience mais en entrant en méditation profonde et en ajustant les nexus interne avec précision on peut arriver à les mesurer. C’est par ce système périlleux et complexe que les érudits sont arrivés à ces résultats année après année.

On peut les observer à travers la nature en y prêtant un œil aviser, par exemple :

Des arbres qui poussent inclinés, alors que d'autres, dans le même périmètre s'érigent à la verticale. Des éléments manquants dans la continuité d'une haie, malgré des repiquages successifs.
Des plantations de toutes sortes parasitées sans raisons apparentes. Des animaux, nourris et entretenus correctement, qui dépérissent. Des constructions aux murs qui se lézardent malgré de nombreuses réparations.

Attention quand même ! Il y a de nombreux autres facteurs, et il faut étudier le tout avec relativité.

La terre, entité vivante souffre aussi de certaines pathologies, nous pouvons y contribuer par nos faibles moyens, comme nous pouvons aller dans le bon sens. Certaines personnes souffrent de ces déséquilibres :

L’auteur de ce manuscrit à soulevé trois raisons :

La PREMIERE de ces raisons tient à l’inversion des polarités.Le corps a lui aussi un équilibre interne, ce à quoi ma science relève. La théorie offre à mon goût une vision simpliste : Distinguant deux polarités bien définies. De la plante des pieds jusqu’au diaphragme, le corps de l’homme est de polarité négative comme le sol sur lequel il repose. Du diaphragme au sommet du crâne, il est de polarité positive de même nature que l’espace dans laquelle il se déplace. Chaque organe possède aussi deux polarités le + et le –. Chaque échange au niveau cellulaire, du plus infime au plus important, est régi par la loi de polarité.
Chacune de nos cellules fonctionne grâce à la polarité : le noyau est de polarité négative (-), le cytoplasme de polarité positive (+).

Nous savons que l’agencement du cops est empli de minuscule agent. Ainsi il est impossible que les pieds soit totalement négative puisqu’il y a aux niveaux cellulaires des polarités positives. La répartition cytoplasme cellulaire est aussi trop modélisée. Ainsi cela est un modèle auquel on se réfère ou non.

Il définit ainsi la vie :

VIE = mouvement - MOUVEMENT = cycle
CYCLE = circulation d’énergie
CIRCUL. ENERG = polarité - POLARITE = VIE

La polarité étant le moteur de ce modèle, si elle ne « tourne pas rond » il y a carence dans le cycle de Vie : c’est la porte ouverte à toutes les pathologies.

LA DEUXIEME raison de la nocivité de l’énergie tellurique
à trop forte dose, tient à sa capacité vibratoire intrinsèque. Les extrêmes sont souvent nocifs pour notre organisme et la Terre en générale.

LA TROISIEME raison enfin, l’énergie tellurique est porteuse de toutes les vibrations d’ondes émises par une complexité d’éléments. Cette énergie tellurique ne sort pas d’une manière anarchique sous nos pieds mais, en des points précis : au niveau des croisements des réseaux telluriques.
Ces réseaux peuvent être considérés comme étant le prolongement des méridiens de l’homme. Le réseau ‘’Hartman’’, du nom de son découvreur, appelé aussi ‘’réseau global’’ est le plus connu.

Il y a ensuite une analyse complexe des différents réseaux qu’il me faut étudier avec profondeur car je n’ai aboutit à une bonne compréhension.

A la fin de son discours elle avait plus de voix. Une sorte de mini colloque s’ouvrit ensuite, les débats fusaient de toute par dans la petite foule présente. Elanor était satisfaite de voir autant de personnes. Jour après jour, on parlerait d’une jeune clerc nommée Elanor Anàrion.

Elle descendit de l’estrade. Demain elle s’attaquait aux vibrations internes.

tongue

Sujet: Re: chambre 37, sous l'escalier. Mer 14 Nov 2007 - 19:18

Elle avait besoin de bouger. Elle ferma le grimoire. Elle enfila ses bottes, noua ses cheveux. Mis sa bure blanche, rabattit la capuche sur son visage. Elle pris sa bécasse de cuire et sortit. Où allait-elle ? dehors, c'est la seule chose qu'elle savait. Elle n'était jamais resortie, depuis... depuis qu'elle s'y était réfugiée, depuis l'âge de 7 ans... 11 années passées dans cette ville. Elle y avait grandit et étudier, mais ses jeux dans la forêt commençait à lui manquer. Elle avait besoin de sortir. Dehors, on avait toujours besoin d'aide. Et elle connaissait des sorts désormais. Elle sortit de l'Académie et se fondit dans les ruelles.

Elle arriva à la porte, quand elle l'a franchit un garde l'interpella.

Eh fillette ! c'est pas prudent de sortir seul !

Elle fit volteface et fixa l'homme qui sous le regard couleur orage baissa les yeux. La bure toujours lumineuse, donnait un aspect mystique à sa frêle silouette.

Je ne suis pas seule, Elle accompagne chacun de mes pas. Je sais me défendre...

Tu sais te défendre depuis quand ? tu sais à peine quelque sort, tu es la pire maladroite que le royaume ait jamais connu... Elle adressa une prière à la Déesse. Sa foi était si grande et si fervante qu'elle ne doutait pas un instant de sa sécurité. Fusse-t-elle en enfer, elle sentait sa Déesse, celle qui s'était penchée sur son berceau et qui lui donnait la force d'avancer. Elle se tourna vers la plaine. Elle n'était jamais seule. Elle fit un pas, puis deux, sûre d'elle. Elle entra dans la plaine. Passa à côté de la caserne. 10 minutes plus tard, elle était totalement dans la plaine.

[ Fin de la première partie. ]

Sarius c'était endormit au pied du lit d'Elanor, le matin même le démon Akn'ar était partit.

Sarius rêvait.
Il se voyait escalader une montagne noire, une explosion retentit et il put voir à quelques kilomètres de lui qu’un volcan était entré en éruption.
Il continua d'escalader, il était seul dans se décor chaotique, il avait plusieurs coupure sur le corps, son armure avait été déchiquetait, il se demanda pourquoi il était seul.

Sarius continua son ascension, il arriva enfin en haut, il se trouvait devant le cratère d'un volcan, il faisait très chaud, très très chaud; de la lave se trouvait à la surface mais u chemin s'enfonçait dans le cratère mais il n'allait pas dans la lave. Il suivit se chemin, sa marche le mena à une grotte, il entra à l'intérieur, il faisait noir très noir, il leva la main et une boule de feu apparut, il se demanda comment il avait put faire cela, il ne maîtrisait pas la magie du feu. Il continuait sa marche, la grotte était à présent éclairée par la boule de feu. Il arriva devant une porte noire, il réussit à l'ouvrir...

Il se réveilla en sursaut.

Il examina la pièce dans laquelle il se trouvait, il était toujours dans la chambre d'Elanor, cette dernière était toujours endormit sur le lit. Lui, il était toujours assis dos au mur devant le lit. Il y avait moins de lumière que quand il était arrivé, la lumière ne passé quasiment pas par la fenêtre, se devait être le soir.

Sarius mit du temps avant de savoir quoi faire, il repensa à la nuit de la bataille, à la colère qu'il avait utilisé pour vaincre les monstre qu'il avait combattu, puis il revit l'apparition de Akn'ar le roi démon, il revit le carnage que le démon avait causé, il renvoya la mort des mages Ktanirs, puis le sort que c'était prit le dragon Arganalth, il renvoya aussi le carnage quand il avait écrasé la jeune nécromancienne. Et enfin il était reparti comme si de rien d'était en disant qu'il reviendrait, la porte était toujours ouverte, il faudra trouvé un moyen de la refermé, et pour cela il aurait sans doute besoin de la magie soustractive.

Enfin il décida de se levait quand il faisait quasiment complètement noir dans la pièce. Il chercha des bougies, il les trouva sur la table, il y avait divers écrit sur la table, il se dit qu'il ne devrait pas les lire. Il alluma une bougie, il se permit de prendre une feuille vierge et un crayon et commença à écrire en attendant qu’Elanor se réveille.

Il écrivait une partit de son histoire, comme un journal de bord lors d'un de ses nombreux voyage.

Le furios 14 dridmar, ce jour se situe 2 ans avant aujourd'hui, j’avais donc 16 ans à cette époque.

Je me trouvai à environ trois kilomètre du village portant le nom de Kaltoustin aujourd’hui en ruine.
J'ai sur un rocher à observé les diverses créatures qui vivait là.
Alors que j'observé une famille de furet, un grand groupe de cavalier passa devant moi piétinant la famille de furet. Quand j’eus relevait la tête je pus voir qu'il venait dans ma direction...

Il n'eut pas le temps d'écrire plus car Elanor se réveillait.

Quand Elanor ouvrit les yeux elle eut un moment de flottement. Elle était dans son lit, mais elle était encore complètement habillée. Etrange, elle ne se couchait pas habillée d’habitude. Elle se passa une main sur le visage, elle avait toujours ses tatouages. Elle se leva machinalement et alla se rincer dans une bassine au coin de la pièce. Il faisait nuit. Elanor était encore complètement endormie. Elle ôta lentement la robe de Sarius lui avait donné et qu'elle avait enfilé par-dessus sa bure. Elle tentait de réfléchir, elle n'arrivait pas à sa réveiller. Oui, il y avait eu cet horrible démon. Elle enleva prestement sa bure et chercha à tâtons sa chemise de nuit. Elle l'enfila comme une automate. Elle enleva ses bottes et se glissa dans le lit. Elle arrangea les couvertures puis redevint immobile, sa respiration sereine redevint régulière.

Sarius avait dû l'amener ici, elle était fourbue, elle avait juste envie de dormir une éternité. Une éternité, un sourire aux lèvres, elle enfonça sa tête dans son oreiller. Elle commençait à replonger dans un doux sommeil quand son esprit tilta. Il y avait quelque chose qui n'allait pas ! Elle se redressa d'un bon. Ses cheveux volèrent dans tous les sens. Elle posa la main sur le bord du lit et lança un sort de lumière. Le cadre du lit devint lumineux et éclaira la salle. Elle détailla les yeux clignant la silhouette sombre assise à sa table.

Sarius ?

Elle bailla et parlait d'une voix ensommeillée. Elle se leva et vint vers lui d’un pas titubant. La lumière claire venant du lit, laissait apparaître en transparence la silhouette de la jeune femme sous le fin tissu de sa chemise de nuit. Elle tira machinalement sur la robe qui s’arrêtait mi-cuisse. Elle espérait que cela ne gênerais pas le jeune homme. Elle rangea un peu la paperasse. Ses cheveux coulèrent sur ses épaules et ondulèrent comme une cascade de lumière quand elle se pencha pour ranger ses feuilles qui traînaient. Elle effleura l’épaule du jeune homme, son parfum légèrement épicer et à la saveur suave et délicate envahir le nez de Sarius. Lorsqu'elle frôla le bougeoir, il s'illumina de la même manière que le lit, lui offrant une bien meilleure lumière.

Fallait demander...

Elle s'assit sur ses genoux et vint se lover contre lui. Maintenant que la lumière baignait la salle, l’homme pouvait voir le tissu blanc simple. Il laissait les épaules nue et offrait dans cette position un joli décoller. Elle avait de longue jambe, sa peau fraîche et douce avait un très léger hale. La lumière se reflétait dans ses cheveux. Elle lui caressa doucement le menton et bailla encore. Elle avait envie qu'il la serre contre lui et qu'il la réchauffe. Blottie contre lui elle était bien. La jeune femme resta un moment immobile contre lui. La tête posée sur son épaule.

mmm...tu fais quoi ? Tu dors pas ? tu peux rester dormir ici.. il n’y a pas de problème…

Sarius vit Elanor se levait et allait dans un coin sombre de la pièce où il devait y avoir de quoi se lavait, quand elle revint elle était vêtu d'une chemise de nuit, il la vit allait se recouché, elle semblait encore dormir. Soudain elle se leva et l'aperçut, elle devait se souvenir se qui c'était passé le matin où il l'avait emmenait ici.

Elle s'assit sur ses genoux et se lova contre lui. Il mit ses bras autour d'elle.

Il repensa à la rapidité avec laquelle leur relation était arrivé, cela le gênait, il se rendit compte qu'il ne connaissait rien d'elle et elle de lui.
Soudain elle lui dit:

mmm...tu fais quoi ? Tu dors pas ? Tu peux rester dormir ici... il n’y a pas de problème…

Il fit mine de se relevait pour l'avoir face à lui. Et il lui dit:

"Sa ne me dérange pas mais je pense qu'il faudrait que l'on face un peu plus connaissance, je ne connais rien de toi et tu ne connais rien non plus de moi, je sais que notre relation à vite augmenter avec l'invasion des Ktanirs mais je pense qu'il faudrait maintenant que l'on face connaissance."

Il fit une pause puis dit un dernier mot:

"Mais sache que quoi que tu me dises sur ton passé ou sur toi, que je t'aimerais encore."

Mais il devait aussi s'occupé d'un gros problème certain à ses yeux bien moins importants que Elanor mais notre viendront vite le harceler pour en savoir plus sur la magie soustractive, il devait s'en débarrasser le plus vite possible, il devait régler le problème de cette magie, il ne savait pas encore si il devait la réveiller ou la détruire. Et il devait régler le problème avant que les démons ne reviennent. Depuis sa dernière intervention, Valken n'avait donné signe de vie, mais Sarius savait qu'il était toujours là, il espérait qu'il ne troublerait sa relation avec Elanor.

Il attendit une réponse d’Elanor en espérant ne pas l’avoir blessé.

Il était fatigué mais il ne voulait pas le montrer, il aurait tout le temps de se reposé plus tard pour le moment il devait se consacré à Elanor entièrement, il ne savait pas encore si il allait lui dire son secret mais il y serait s'en doute obligé un jour ou l'autre, mais il voulait la protégé de ce qui aurait un mauvais fond et qui voudrais lui nuire rien que pour en savoir plus sur la magie soustractive, il devait se méfier du nécromancien Oromis et de Darl Valar, il était sûr que ce dernier l'avait entendu parler avec Oromis, il y avait aussi Arganalth qui était au courant mais il ne ferais surement rien pour lui nuire.

Il regarda Elanor, elle incarnait la beauté à l'état pur, c'était sans doute l'amour qui le faisait penser ainsi, son regard gris le touchait au plus profond de son cœur.

La jeune femme éclata d'un rire cristallin. Elle lui adressa un regard coquin. Elle se leva de ses genoux. Elle semblait s'être un peu mieux réveillée. Elle le dévisagea un instant. Ah, les hommes...

Je te proposais de dormir dans mon lit rien de plus, tout bien tout honneur !

Tu aurais tord de le bouder, c'est un lit très confortable. Tu as peur Sarius ? Peur car tu te retrouve dans la chambre d'une femme avec qui tu as entamé une relation plus intime et qu'elle s'est passée vite, catalysée par une guerre.

Ne t'inquiète pas, je ne suis pas une femme facile et surtout je suis é-p-u-i-s-é-e.

Elle lui adressa un regard en coin et se dirigea vers son lit.

Tu as peur de ce qu'il y a en toi et tu as peur que cela ne nous gêne... Mon passé... Cela ne fait pas tout, le mien est comme un passé, je n'ai rien à cacher.

Elle plongea sur le lit et enserra son coussin. Elle resta silencieuse un instant. Elle avait peur elle aussi. Elle l'aimait et pourtant, c'était un jeune homme mystérieux et ténébreux. Elanor était tiraillée.

Comme beaucoup d’habitant du royaume de Dolbi ma famille vivait sobrement et humblement dans un petit village côtier. Mon père avait quitté sa communauté elfe et s’était marié avec une jeune humaine. Ce genre d’union étant mal vu par les elfes ma famille partit s’établire dans un petit village prospère. De cette union naquit une petite fille, moi. Ma mère était une guerrière fougueuse à la crinière d’or, réputée pour être une chasseuse hors normes, c'était une combattante exceptionnelle et à la fois d'une grande douceur. Mon père un elfe, délicat et vif d’esprit. Je suis toujours resté chétive et un peu maladive. Au grand désarroi de ma mère je suivis les traces de mon père et passais mes journées à dévorer des livres.

Tu le sais, j'ai une religion panthéiste qui loue une et unique Déesse créatrice. La Mère de tous, comparée à la Terre, cette religion à pour but de respecter l’Équilibre et de suivre sa Voie. C'est un peu compliquer et on n'aime pas en parler aux non-initiés. Si tu le souhaite, je veux bien t'initier, mais je ne te force à rien.

La guerre arriva lorsque la fillette j'avais 7ans. Ma mère est morte sous mes yeux alors qu'elle nous défendait contre une horde d'invocation. Nous avons fuit avec mon père à Girk'an. Là-bas, nous trouvâmes refuge chez un ami, prêtre de la Déesse. Malheureusement quelques mois plus tard mon père mourut d’une fièvre fulgurante.

Elanor se tut un instant, sa voix avait été parcourue de légers tremblements au fil du récit. Elle continua néanmoins d'une voix assurée.

Je fus prise en charge par notre ami qui découvrit mes talents. Il m’aida beaucoup. Je suis entrée à l'Académie et ai suivit un cursus de clerc. Je suis imaptiente de faire mes preuves, j'ai beaucoup étudié.

Voilà.

J’attends la tienne, mais ne tarde pas trop sinon je m’endors.

Sarius était vraiment idiot, il avait mal interprété les parole de Elanor, il eut un sourire de sa bêtise.

Il se leva s'adossa au mur puis écouta la jeune femme, elle paressait se moquer de lui bien qu'il doutait que c'était le cas.

Il écouta avec attention l'histoire de la jeune femme, il s'en voulait d'avoir voulut parler, le passé de la jeune femme était triste serte mais il était à peut prés normal, il espérait que se n'était pas le cas, il redoutait son passé, si il avait la possibilité de le changé il l'aurait fait.

Quand Elanor eut fini de raconté son passé elle lui dit de dire le sien. C'est alors qu'il commença l'histoire de son passé trouble.
"Mon père était également un elfe, il avait était charmé par ma mère qui était une humaine, ils entamèrent une relation et plusieurs mois plus tard je venais au monde. Pendant cinq ans nous avons vécus comme une famille normale bien que l'on était un peu rejeté dans la ville humaine où l'on vivait.
Un jour mon père et reparti parmi son peuple et je ne l'ais revu que bien plus tard. Donc pendant quelque année j'ai vécut seul avec ma mère, à l'âge de 11 ans j'était un garçon comme les autre sauf que j'ai un demi elfe se qui m'attiré souvent les moqueries des jeunes du village, un jour je fut agresser par ces jeunes depuis j'emmenait toujours un couteau avec moi, justement un jour un groupe de jeune sont venu dans la forêt où je restait souvent des après midi entiers, alors que un des jeunes humains allait me frapper j'ai sorti le couteau et j'ai frapper, j'était en colère, je l'ai tué.."

En racontant cela une larme coula sur sa joue, il n'aimait pas se rappelait se moment mais se n'était pas le pire se son existence.

"... Je suis restait là le couteau ensanglanté, les autres étaient partis. J’étais tétanisé; quand les adultes du village arrivèrent et trouvèrent le corps ils décidèrent de me bannir du village et comme je n’ai pas de leur race je n'avais pas le droit à la justice. Pendant un mois j'ai était autorisé à rester dans le village pour préparer mon départ, dans se cours moment ma mère mourut de chagrin. Apres l'enterrement je suis parti.
Pendant plusieurs années j'ai voyagé, j'ai découvert des lieux magnifique mais aussi des villages et des grandes cités en ruine la guerre était déjà sur nous, j'ai réussis à me débrouiller comme je pouvais. Quand j'avais 15 ans, j'ai rencontré un mage il disait desseller un certain pouvoir en moi, il me prit comme apprenti, avec lui j'ai put apprendre les rédiment de la magie, mais un jour, cela devait être environ 6 mois plus tard, il ma fait trahis et ma utilisé, il voulait récupérer le potentiel magique qui était en moi..."

Il s'arrêta, il arrivait à un moment délicat de sa vie, la découverte de la magie soustractive, après un petit moment d'hésitation il continua et de lui faire d'une partie de son secret.

"Le mage m'avait vidé de mon pouvoir mais je pense qu'il avait dut rater son sort, ou du moins c'est se que je pensais, je reçus une énergie qui me permit de me défendre et c'est à se moment que je commis mon second meurtre. Pendant les années qui sépare se moment de mon arrivé j'ai voyagé et j'ai essayé de découvrir se qu'avait put être cette énergie, un jour où je passé dans une cité en ruine j'ai put retrouver un vieux grimoire, dedans j'ai appris se qui m'était arrivé, le mage qui m'avait trahis était en fait un sorcier, surement le dernier sorcier, i maîtrisé une magie aujourd'hui disparut la magie soustractive, j'ai étudié cette magie attentivement et j'ai vu que le seul moyen de s'en défaire était soit de mourir soit de la détruire, mais comme cette magie est sensé être endormit il faudrait la réveillait pour la détruire, mais je crains se qui pourrais se passer si je la réveillais. Voila mon histoire, il fallait que j'en parle je gardais cela depuis trop longtemps, j'avais besoin d'en parler"

Il avait fini son récit mais il devait ajouter quelque chose.

"Il a fallut que j'en parle à certaine personne peut recommandable et je crains qu'ils veuillent réveiller cette magie à des profits purement personnel, je te demande de ne parler à personne de se que je t'ais dit."

Il la regarda il avait l'air vraiment sérieux, il ne voulait pas la mettre en danger mais il devait lui dire la vérité. Mais il pensait avoir bien fait de ne pas parler de Valken.

Il la regarda dans les yeux en espérant ne pas l'avoir repousser.

On a tous un passé plus ou moins noir...

Tu as été voir à la bibliothèque de l'Académie pour l'histoire de ta magie ? Il y a énormément de livres, je peux t'aider si tu veux, je la connais bien...

Ne t'en fais pas : Par la grâce de la Déesse que ma voix soit muette à ton secret.

Le serment ainsi prononcé la vouait au silence jusqu’à ce qu’il l’en défasse. De toute manière le serment était superflu, jamais elle ne le trahirait. Elle avait des défauts mais n’était pas une traîtresse. D’ailleurs, la blessée, la nécromane était un bel exemple de la stupidité des gens gagné par la noirceur. Elle ne l’était pas encore totalement, si elle la rencontrait vivante elle lui en parlerait. Avant qu’elle ne tombe dans les griffes du vieux maître timbré et dérangé, consumer par ses noirceurs. Un être pitoyable qui ne méritait pas l’appellation d’être humain ou plutôt d’être vivant. Un imbécile dangereux, à s’en méfier… Il était sûrement entrain de préparé un mauvais coup. Elle n'avait pas aimé la façon dont il regardait Sarius. Ah, mais tant qu'elle était là, elle lui donnerait du fil à retorde. Autant il la dégoûtait, mais elle savait que elle le dégoûtait tout autant. Il n'aimait pas la magie pure et cristaline de la clerc, elle était écoeurée par la noireceur de la sienne. Elle passa un instant à maudire de tous les nom le rebut de la vie, puis revint au sujet, cessant ses digressions.

Ne t'inquiète pas pour ton passé, la Déesse est bonne et clémente, tu trouveras ta lumière..

La voix de la jeune femme se faisait de plus en plus douce et lente, elle finit par devenir un filet inaudible et fut vite remplacé par une respiration profonde et sereine. Elle avait auparavant éteint le lit. Seul le chandelier éparpillait des rayons de lumière douce. Elle avait des choses à faire demain, aller voir le maître clerc, sa maîtresse... Partager étude et boulot. Elle soupira, elle n'avait pas la chance d'avoir des parents qui lui "subventionne" ses études, elle devait donc travailler pour pouvoir continuer. Pas que le métier lui déplaise, loin de là, mais elle perdait du temps pour ses recherches. D'un autre côté c'était un joli avantage pratique. Oui, mieux valait le prendre comme cela. Elanor entama une longue prière à la Déesse pour remercier sa grandeur et son intervention. Elle leur avait permis de survivre, sans cette intervention, ils seraient morts à l'heure actuelle. Oui... Et puis, elle avait du mal à comprendre les intentions de Sarius. Que voulait-il d'elle et cette histoire de magie ..soustravctive. Qu'était-ce ? Et pourrait-elle seulement aider le jeune homme ? Elle n'était pas très utile.. ou alors justement ce qu'il avait besoin c'était d'amour et de douceur. D'après son passé il avait l'air d'avoir beaucoup souffert, et puis ces meurtres n'étaient pas une surprise pour elle. Cela se voyait au fond de ses yeux, et ses sincères regrets atténuaient la faute, son chemin de Rédemption serait long et elle serait là pour le guider sur la bonne voie. Il avait de la chance que la Déesse ait mis une de ses Protectrices sur son chemin et peut-être était-ce là sa première véritable mission.

Demain est un autre jour..

Sarius savait qu'elle ne le trahirait pas, il voulait juste se rassurer.

Il allait avoir beaucoup de travail dans la journée mais sa pouvais encore attendre encore un peu

La bibliothèque, il était déjà allé et il n'avait rien trouvé, se qui n'était pas étonnait car tout se qui avait un rapport avec la magie soustractive avait était détruit, seul quelques ouvrages en parlaient c'était juste pour que cette magie ne soit pas oublier complètement.

Il repensa à son apprentissage, il devait continuer à étudier a magie des lames mais il comptait peut être aussi commencé étudier d'un autre domaine de magie, vu son jeune âge il pouvait assimiler plus d'information que les personnes d'un certain âge.

Il regarda par a fenêtre de chambre, bien qu'il faisait noir dehors on pouvait voir des feux, ils devaient bruler les cadavres.

Il avait quelque chose d'important à faire, voyant que Elanor dormait il décida de laissé un mot.
il prit un crayon et une feuille et écrit:

"Je doit te laisser, je te retrouverais plus tard, je t'aime."

Il laissa la lettre à côté d'elle, il parti en prenant soin de fermer la porte doucement.

Sarius:
Qualité du RP (225)/ Idées, Originalité(50)/ Orthographe et syntaxe(75)

Total: 350xps

Elanor:
Qualité du RP (250)/ Idées, Originalité(50)/ Orthographe et syntaxe(75)

Total: 375xps

C'est très bien. ("Ils vécurent heureux et firent beaucoup de beaux RPs" Razz

)

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