Atÿla

Nom : Arendearh
Prenom : Atÿla
Surnom : Yla
Age : 19 ans

Race :Semi-Elfe
Classe : Necromancienne
Alignement : Neutre
Experience : 3800
Niveau : 3

PO(Pièce d'Or) : 2355 PO
Arme et armure : une arbalète de poing et un fouet
Objets Magiques : Rien au départ
Objets divers : Rien au départ
Livre en votre possession : Rien au départ



Caractéristique :



Force : 5
Endurance : 7
Dexterité : 7
Sang froid : 6
Intelligence : 7
Sagesse : 5
Eloquence : 3



Description



Atÿla est une demi-elfe de 19 ans. Elle est plutot grande, vestige de son appartenace au monde des Elfes, et à une taille étranglée. Elle a de très longs cheveux noirs qui encadrent un visage d'une paleur de morte. Ses traits sont fins et comme tracé à la plume. Elle a des yeux vairons, l'un couleur d'ambre, l'autre d'un vert pâle inquiétant. Tout son pouvoir est toujours passé par ses yeux. Elle est toujours vêtue de noir, de blanc ou de rouge, et a des tenues très extravagantes. Elle porte toujours une mitaine de cuir pour cacher sa paume droite. Atÿla n'a aucune culture, n'ayant jamais reçu d'éducation, et ne sait pas vivre en société. Elle a toujours un comportement étrange qui entrâine, souvent, son exclusion vis-à-vis des autres. Elle est emportée et insolente, mais son esprit non-éduqué reste immensément naïf. Elle a un grand sens de l'honneur et de la fierté. Elle n'a, a ce jour, aucun ami.


Historique



Atÿla est née de mère elfique et de père humain. Sa mère l'a abandonnée, pour ne pas être bannie de son peuple. Son père n'a jamais voulu la recueillir, et l'a abandonné à son tour dans une forêt voisine, à la merci des bêtes sauvages. Elle n'avait, comble de déshonneur, encore aucun nom.
Le bébé a été recueilli par une famille de loups qui la nommèrent Atÿla (C'est-à-dire Esprit vivace en langue loup, mais Destruction en langue ancienne), et a grandi avec eux, dans la forêt. De cette enfance, elle conserve une grande endurance et un don pour dresser les animaux. A l'âge de 15 ans, Atÿla a décidé de quitter les bois pour retourner vivre près des hommes. Avant cela, sa mère louve, Sind'ra, lui a fait passer l'initiation. Elle était désormais louve à part entière, et pourrait compter sur le soutien du clan en toutes occasions.
La jeune demi-elfe est partie. Elle travailla comme serveuse, avec un salaire de misère, pour bénéficier d'une chambre. Mais les serveuses étaient la proie idéale des soudards qui fréquentait la taverne. On tenta d'atteindre à sa personne. Elle ne fut sauvée que par l'intervention d'un magelame de passage, qui disparut sans laisser de nom. Sa rencontre, à l'âge de 17 ans, avec un mage étranger qui maîtrisait l'air, lui laissa dans la main un "kaz'anan", sorte de gouffre sans fond qui aspirait les monstres. Il ne devait se déclarer qu'à l'âge de 20 ans, et pour l'instant, c'était juste un trou qu'elle avait dans sa main. Elle rencontra une nécromancienne mystérieuse, a qui elle voua une adoration sans bornes.
La jeune fille n'aspirait qu'à être tranquille, mais la mort de son père vint perturber ses projets. Il lui légua 500 PO contre la promesse qu'elle irai aider sa cousine, à Girk'an. Atÿla partit donc, avec sa bourse en poche. Elle trouva ladite cousine, qui s'avéra être déja trépassée.
Atÿla devait à présent réapprendre à vivre en ville...


Sort Appris



Malédiction vampirique

Malédiction - L'ennemi ciblé perd du sang intérieurement et vous redonne de la vie.
2 dégâts par tour

Voyage Nécrotique
Vous vous téléportez à côté de l’ennemi et lui volez 4D6 PV (vous en gagnez autant).

Ouaaaaiiiiis, je suis plus le seul nécromant.
Un petit historique serait bienvenu.
A part sa c'est bon.

et mince, c'est pas moi qui ait un pyromancien ><

Je déclare cette séance officielle du Conseil des Sages ouverte. Elfe Lastelle, veuillez avancer.

L'elfe obéît à l'injonction, et fit quelques pas en avant. C'était une jeune elfe, d'environ 16 ou 17 années humaines, qui portait dans ses bras un nouveau-né emmailloté. Elle avait les cheveux d'une blancheur de cygne, longs jusqu'à son séant, et pour le moment nattés en une lourde tresse qui lui tombait dans le dos. Ses yeux avaient la couleur de la glace au soleil, d’un gris brillant et métallique, qui transperçait d'un regard farouche les cinq elfes assis devant elle.

Il y avait Dorean, l'aïeul. Un fort caractère, intransigeant quand il s'agissait de la pureté de la race. Puis, Jindr, une femme à la forte carrure, réputée pour l'efficacité de ses chants. Le troisième se nommait Yun, et était l'elfe le plus sage de toute la forêt. Venait ensuite Gondrun, un elfe effacé, mais qui possédait un grand savoir en matière de magie. La dernière était Ionys, une guerrière réputée pour être aussi belle que terrible au combat. Les cinq Sages la regardaient avec attention. Le plus vieux, Dorean, se leva et prit la parole d’une voix terrible :
-Elfe Lastelle, vous êtes accusée d’avoir porté atteinte à la pureté de la noble race elfique. Cette enfant, que vous portez dans vos bras, est le fruit de ce péché, et couvre votre front d’opprobre et tâche votre nom de honte. Elfe Lastelle, voici la sentence du Conseil. Pour ce crime, vous devrez opter pour l’un où l’autre de ces châtiments : vous pouvez abandonner l’enfant, et rester dans le clan. Mais vous avez aussi la possibilité de garder votre fille, en étant bannie à jamais de la tribu. Choisissez !
Lastelle frissonna, et serra son bébé dans ses bras, la protégeant de quelque agresseur invisible. Elle protesta avec véhémence :

- Je ne peux pas la laisser ! Son père n’a que 16 ans ! Je vous en prie, comprenez-moi !
- Cette enfant que vous chérissez tant est une hybride, qui souille notre sang en le mêlant à celui, impur, d’un homme. Elle ne peut vivre parmi les Elfes ! Si vous voulez la garder, alors, partez !

La jeune fautive jeta un regard désespéré à l’assemblée qui l’entourait, en quête d’une aide quelconque. Mais il n’y avait aucune sympathie dans les regards rivés sur Lastelle. Tous savaient qu’elle allait prendre une décision capitale pour son futur. Soir vivre avec la honte d’avoir abandonné son enfant, soit s’exiler à jamais de sa famille et de ses amis, sans rien pour recommencer une nouvelle vie… La jeune elfe regarda sa mère, le front baissé et couvert de honte. Et son père, qui lui jetait un regard suppliant… Elle tomba à genoux, berçant sa fille tendrement. Une larme coula sur sa joue, petite perle irisée et suivie de tant d’autres. Lastelle dit d’une voix noyée de larmes :

- D’accord… Je confierais mon enfant à son père… Mais laissez-moi le revoir une dernière fois, je vous en prie !
- Requête accordée. C’est la fin de cette séance.